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Par gadames le 23 Mai 2016 à 17:00
Plaisanteries...
Plaisanter, c'est bien. Il y a cependant des limites
que d'aucuns outrepassent...
Une blague de mauvais goût
En voulant sortir de chez lui, samedi matin, un père
de famille habitant le quartier du vieux Biskra a eu
la désagréable surprise de voir un mur de parpaings
cimenté érigé juste derrière la porte de son domicile.
«Je n’en croyais pas mes yeux. Je ne savais plus si
je rêvais ou si j’étais éveillé», raconte-t-il.
L’homme et les siens ont alors appelé des voisins qui
les ont aidés à desceller les barreaux d’une fenêtre et
à sortir de la maison. Hors de lui, il a déposé plainte
pour atteinte à un bien privé auprès de la 3e sûreté
urbaine de Biskra, dont les éléments n’ont pas tardé à
découvrir le fin mot de l’histoire. Ce sont deux proches
qui avaient, durant la nuit, emmuré leur ami et sa famille
«juste pour rigoler», ont-ils déclaré aux policiers.
Le magistrat instructeur a décidé de ne pas poursuivre
les auteurs de cette blague de très mauvais goût. On ne
sait pas si les deux plaisantins ont toujours de bons
rapports avec leur victime, qui n’en a pas du tout ri,
en vivant cette blague de mauvais goût qui a gâché
son week-end et celui de sa famille.
Histoire vraie
Ce qui suit s'est réellement passé et concerne
un ami disparu récemment, que Dieu l'accueille
en son vaste Paradis.Pour une fois, il nous invita
avec deux ou trois copains à un thé qu'il nous
apporta non loin de chez lui à la Pointe des Blagueurs,
une placette de Miliana qui domine la plaine du Cheliff
avec vues magnifiques, cernée par un rempart
de pierres de tailles qui arrivent à ...la taille.
Il déposa donc le plateau de thé sur le rempart.
Les verres avec sous-tasses avaient une anse
et sur le ton de la plaisanterie je lui dis
- oh, qu'ils sont beaux !
Il voulut appuyer mon compliment avec un air de suffisance en ajoutant :
- Et incassables !
- Ah, bon ?
Je me devais de tester ses dires et confirmer cette rare qualité du verre et pris un premier
verre pour le jeter sur le dessus du rempart.
Bien sûr, il vola en éclats.
- Peut-être que ce verre a un défaut, lui dis-je en
prenant un deuxième pour refaire le même test.
Et en il résulta le même dégât !
Vous imaginez la colère de mon ami, en rentrant à la maison suite à ce
désastre et surtout comment devra-t-il l'expliquer
à la maitresse de maison !
Il jura que plus jamais il n'inviterait personne alors
qu'il en était à sa première générosité !
Bien sûr, le soir même j'achetais un beau service à
thé que je lui offris ce qui atténua son courroux et
calma la colère de son Ministre de l'Intérieur.
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Par gadames le 22 Mai 2016 à 11:47
Par gadames le 22 Mai 2016 à 11:19
" L'Esprit s'enrichit
de ce qu'il reçoit
Et le coeur grandit
par ce qu'il donne."
Méditation :
"Une fille aveugle se détestait à cause de son handicap. Elle haïssait tout le monde sauf un garçon qui était son ami. Il était toujours là pour elle.
Un jour, elle lui dit : "si seulement je pouvais voir le monde, je me marierais avec toi."
Un jour, quelqu'un lui a fait don de ses yeux, un donneur anonyme.
Quand les bandages furent enlevés, elle pouvait tout voir et donc aussi son ami.Il lui dit : "maintenant que tu peux voir le monde, veux-tu m'épouser ?"
La fille le regarda et vit qu'il était aveugle.
La vue de ses paupières fermées la bouleversa.
Elle ne s'attendait pas à ça. La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie ne lui plut pas et elle refusa de l'épouser.Son ami la quitta en pleurs.
Quelques jours plus tard, il lui fit parvenir une note qui disait :
"prends bien soin de tes yeux, ma chérie,
car avant qu'ils deviennent les tiens, ils étaient miens."
Et ainsi, il perdit et ses yeux et celle qu'il aimait....
Je continuerai...
Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d'une guerre.
Je continuerai à illuminer, même au milieu de l'obscurité.
Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.
Je continuerai à crier, même si les autres se taisent.
Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes.
Et j’essaierai d’apporter le soulagement, quand on me montrera la douleur.
Et j'offrirai des motifs de joie là où il n'y avait que tristesse.
Et j’inviterai à marcher celui qui a décidé de s'arrêter.
Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés.
J'envelopperai ceux qui se sentent abandonnés.
Abbé Pierre
Car au milieu de la désolation, il y aura toujours un enfant qui nous regardera.
Plein d'espoir, attendant quelque chose de notre part.
Même si nous sommes au milieu de la tourmente,
Le soleil surgira toujours de quelque part,
Et de la pluie de nos larmes, une plante poussera dans le désert,
Un oiseau chantera pour nous, un enfant nous sourira,
un papillon nous fera cadeau de sa beauté.________________________________________
Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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Par gadames le 22 Mai 2016 à 11:19
Méditation :
"Une fille aveugle se détestait à cause de son handicap. Elle haïssait tout le monde sauf un garçon qui était son ami. Il était toujours là pour elle.
Un jour, elle lui dit : "si seulement je pouvais voir le monde, je me marierais avec toi."
Un jour, quelqu'un lui a fait don de ses yeux, un donneur anonyme.
Quand les bandages furent enlevés, elle pouvait tout voir et donc aussi son ami.Il lui dit : "maintenant que tu peux voir le monde, veux-tu m'épouser ?"
La fille le regarda et vit qu'il était aveugle.
La vue de ses paupières fermées la bouleversa.
Elle ne s'attendait pas à ça. La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie ne lui plut pas et elle refusa de l'épouser.Son ami la quitta en pleurs.
Quelques jours plus tard, il lui fit parvenir une note qui disait :
"prends bien soin de tes yeux, ma chérie,
car avant qu'ils deviennent les tiens, ils étaient miens."
Je continuerai...
Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d'une guerre.
Je continuerai à illuminer, même au milieu de l'obscurité.
Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.
Je continuerai à crier, même si les autres se taisent.
Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes.
Et j’essaierai d’apporter le soulagement, quand on me montrera la douleur.
Et j'offrirai des motifs de joie là où il n'y avait que tristesse.
Et j’inviterai à marcher celui qui a décidé de s'arrêter.
Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés.
J'envelopperai ceux qui se sentent abandonnés.
Abbé Pierre
Car au milieu de la désolation, il y aura toujours un enfant qui nous regardera.
Plein d'espoir, attendant quelque chose de notre part.
Même si nous sommes au milieu de la tourmente,
Le soleil surgira toujours de quelque part,
Et de la pluie de nos larmes, une plante poussera dans le désert,
Un oiseau chantera pour nous, un enfant nous sourira,
un papillon nous fera cadeau de sa beauté.________________________________________
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Par gadames le 19 Mai 2016 à 10:33
La Smala de l'Emir Abdelkader
Miliana,l'Horloge, Place Emir Khaled
Coeur de galets.Oui, même nos galets ont du coeur et vous attendent...
Pour les envieux qui meurrent de rage
Il y a ceux qui connaissent notre pays mieux que nous
Un adage dit :
le premier thé est amer comme la vie »,
le second est fort comme l’amour »
et le troisième est doux comme la mort ».
Futur ingénieur en infrastructures
Et il fera appel à ce futur topographe bien équipé, jusqu'au stylo
Tous les chemins mènent à ....................Alger
Maurice Audin mort pour son Algérie
Préservons l'intégralité de notre pays, le plus beau du monde
Tous les chemins mènent ... à Alger
Mme Veuve Abane Ramdane
ekladata.comSalle de bain
Les mûres (Ettout) de toutes couleurs dont les arbres semblent en déperdition
Ce qui est le plus cher pour l'Arabe : sa femme, son cheval et son fusil.
Mais dans quel ordre ?
Lire http://hebboul.over-blog.com/2016/04/l-auresienne.html
Couscous, plat national
Equipe nationale de Foot-ball.
A quand les équipes mixtes comme chez nous ?
Amel, la Soprano, Elle porte loin son excetionnelle voix.Et c'est la voix miliano-algéroise....Une voix ambassadatrice très écoutée.
La liesse en transport
Ils ont fait leur devoir, prenons la suite
Et mérité leur merdoud
La Cathédrale d'Alger, appelée "Madame l'Afrique"
Giacomo Molinari à Laghouat
Lors de la conquête de l'Algérie,la ville de Laghouat (al Aghwât) représentait un point stratégique,car en tant que porte du Sahara,elle pouvait servir comme base pour une expansion ultérieure vers le sud.Laghouat fut conquise après de durs combats,en 1852.Le général Du Barail,commandant de la place,fit débarrasser les gravats de la ville et, sans attendre les directives du gouverneur général de l'Algérie,ordonna que l'on récupère briques et pierres afin de construire les édifices nécessaires à l'exercice de l'administration.
Pendant la reconstruction de la ville,on procéda aussi à l'édification de la grande mosquée de El-Saffeh,qui commença en 1853,année ou arrivèrent de Lombardie Vénétie,sept maçons italiens. L'un d'eux aurait donné son propre nom à ce lieu de culte, qu'on nomme encore de nos jours:la mosquée de "Mouninar". "Mouninar" était Giacomo Molinari. Lorsqu'il arriva à Laghouat,il avait 39 ans,et avait une formation d'architecte. C'est lui qui conduisit les travaux.Il était né le 28 août 1814 à Cavagnano (aujourd'hui province de Varese) de Giovani Molinari et Giuseppa Bianchi. Il fut baptisé,sous le nom de Giacomo ,dans l'église de Sant'Ambrogio di Cuasso al monte. Une fois la construction de la mosquée achevée, le groupe de maçons italiens quitta Laghouat,à l'exception de Giacomo Molinari qui resta et se convertit à l'islam,prenant le prénom d'Ahmed. Nous ne savons pas la date exacte ni les circonstances de sa conversion,mais il est incontestable qu'il s'intégra parfaitement à la population et aux coutumes musulmanes. Il épousa une femme de la tribu de Sidi Bouzid avec qui il eut quatre enfants:un garçon (Mohammed) et trois filles.
Un jour alors que j'étais à Nice et que je rencontrais un ami de Laghouat, je lui avais demandé des nouvelles de Santana Zenou, épouse Mardochée, mère de mes copains d'enfance Jeanne et Coco. Il m'apprit que Santana était décédée et qu'elle avait dit à ses enfants : "Quand je mourrai, je voudrais être enterrée à Laghouat et que l'on m'accompagne au cimetière aux chants d'El Quadria", psaumes récités sur le chemin du cimetière.Voulait-elle embrasser la religion musulmne ?
Son mari Mardochée Zenou,ferblantier, à l'Indépendance était membre de la Kasma FLN de Laghouat pour participation à la Révolution.
En 1962, au moment de baptiser l’Avenue du Premier Novembre,
Zenou Mardochée présent à la cérémonie et en présence d’un nombre important de citoyens a déclaré :"Mes ancêtres, les juifs de Laghouat,en 1852 ont assisté à la création, ou plus exactement à l’ouverture de l’Avenue Cassaigne et au scellement de la plaque portant le nom du Enfin, après plus d’un siècle, exactement en 1962,je dirai à mes aïeux,votre progéniture, en la personne de Zenou Mardoché aprocédé à l’enlèvement de la plaque portant le nom du général Cassaigne,pour la remplacer par celle de l’Avenue du 1er novembre."
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Par gadames le 16 Mai 2016 à 15:06
Aux Etats-Unis, une ville porte le nom de l'Emir. La ville d'El Kader (1 500 habitants) se trouve aux Etats-Unis d'Amérique, dans l'Etat de l'Iowa. Elle est jumelée à la ville de Mascara depuis 1984. C'est en 1846, lorsque l'Emir Abd El Kader combattait l'envahisseur français depuis déjà 16 longues années, que trois Américains, John Thompson, Timothy Davis et Chester Sage décidèrent de nommer leur petit campement El Kader, pour rendre hommage à la bravoure devenue légendaire, à l'esprit chevaleresque et à la grandeur d'âme de l'Emir Abdelkader.
C'était l'Eglise St Sulpice de Laghouat
Giacomo Molinari à Laghouat
Lors de la conquête de l'Algérie,la ville de Laghouat (al Aghwât) représentait un point stratégique,car en tant que porte du Sahara,elle pouvait servir comme base pour une expansion ultérieure vers le sud.Laghouat fut conquise après de durs combats,en 1852.Le général Du Barail,commandant de la place,fit débarrasser les gravats de la ville et, sans attendre les directives du gouverneur général de l'Algérie,ordonna que l'on récupère briques et pierres afin de construire les édifices nécessaires à l'exercice de l'administration.
Pendant la reconstruction de la ville,on procéda aussi à l'édification de la grande mosquée de El-Saffeh,qui commença en 1853,année ou arrivèrent de Lombardie Vénétie,sept maçons italiens. L'un d'eux aurait donné son propre nom à ce lieu de culte, qu'on nomme encore de nos jours:la mosquée de "Mouninar". "Mouninar" était Giacomo Molinari. Lorsqu'il arriva à Laghouat,il avait 39 ans,et avait une formation d'architecte. C'est lui qui conduisit les travaux.Il était né le 28 août 1814 à Cavagnano (aujourd'hui province de Varese) de Giovani Molinari et Giuseppa Bianchi. Il fut baptisé,sous le nom de Giacomo ,dans l'église de Sant'Ambrogio di Cuasso al monte. Une fois la construction de la mosquée achevée, le groupe de maçons italiens quitta Laghouat,à l'exception de Giacomo Molinari qui resta et se convertit à l'islam,prenant le prénom d'Ahmed. Nous ne savons pas la date exacte ni les circonstances de sa conversion,mais il est incontestable qu'il s'intégra parfaitement à la population et aux coutumes musulmanes. Il épousa une femme de la tribu de Sidi Bouzid avec qui il eut quatre enfants:un garçon (Mohammed) et trois filles.
Un jour que j'étais à Nice et que je rencontrais un ami de Laghouat, je lui avais demandé des nouvelles de Santana Zenou, épouse Mardochée, mère de mes copains d'enfance Jeanne et Coco. Il m'apprit que Santana était décédée et qu'elle avait dit à ses enfants : "Quand je mourrai, je voudrais être enterrée à Laghouat et que l'on m'accompagne au cimetière aux chants d'El Quadria", psaumes récités sur le chemin du cimetière.Voulait-elle embrasser la religion musulmne ?
Son mari Mardochée Zenou,ferblantier, à l'Indépendance était membre de la Kasma FLN de Laghouat pour participation à la Révolution.
En 1962, au moment de baptiser l’Avenue du Premier Novembre,
Zenou Mardochée présent à la cérémonie et en présence d’un nombre important de citoyens a déclaré :"Mes ancêtres, les juifs de Laghouat,en 1852 ont assisté à la création, ou plus exactement à l’ouverture de l’Avenue Cassaigne et au scellement de la plaque portant le nom du Enfin, après plus d’un siècle, exactement en 1962,je dirai à mes aïeux,votre progéniture, en la personne de Zenou Mardoché aprocédé à l’enlèvement de la plaque portant le nom du général Cassaigne,pour la remplacer par celle de l’Avenue du 1er novembre."
En 1868, David Levi, président de l'Université Israélite, fait don par testament de ses biens pour la réalisation d'une nouvelle synagogue à Florence « digne de la ville ».
Mr Delanoé Maire de Paris
Extraits de l’allocution de Monsieur Delanoë :
« Quand j'honore l'Emir Abdelkader, je sais que j'honore un nationalistequi s'est battu contre la France, qui n'acceptait pas la domination de son peuple par le peuple français. C'est aussi le sens de cette inauguration. (...)
« Cette inauguration je la veux avec la gratitude d'un enfant du Maghreb, moi qui ai reçu du Maghreb des leçons de fraternité, d'égalité, maire de Paris je vous dis merci. C'est Paris qui dit merci à l'Emir Abdelkader, qui dit merci au peuple algérien, qui a subi la violence et l'injustice de la colonisation. (...) La colonisation a été d'une violence inouïe en Algérie, une action injuste. »
Abd-El-Kader est né à la Guetna près de Mascara en 1808, élevé dans la zaouïa paternelle dirigée par si Mahieddine, il reçoit une éducation solide qu 'il complète auprès des maîtres éminents à Arzew et à Oran. Il apprend les sciences réligieuses,la littérature arabe, l'histoire, la philosophie, les mathématiques, l'astronomie, la médecine... Platon et Aristote, AI-Ghazâli, Ibn Rushd et Ibn Khaldûn lui sont familiers, comme en témoignent ses écrits. Toute Sa vie, il étudie et développe sa culture.
L'Emir Abdelkader
Chef de guerre, législateur, poète, son adversaire, le général Bugeaud n’occultait pas la dimension de l’homme : « Abdelkader était un homme de génie… certainement l’une des plus grandes figures historiques de notre époque… c’est un ennemi actif, intelligent et rapide, qui exerce sur les populations arabes le prestige que lui ont donné son génie et à la grandeur de la cause qu’il défend. C’est beaucoup plus qu’un prétendant ordinaire, c’est une espèce de prophète. C’est l’espérance de tous les musulmans fervents. » ( La vie d’Abdelkar – Charles-Henri Churchill Londres 1867)
Retour au pays - Enterrement au Cimetière d'El Alia
La Smala de l'Emir AbdelkderL'Emir Abdelkader a dit :
Déjà en son temps l’Emir Abdelkader a montré que la religion n’excluait pas la science, que la science n’excluait pas l’humanisme, que la foi n’excluait pas le spiritualisme».Initiateur du dialogue islamo-chrétien, il montre le chemin de la réconciliation entre les deux rives de la Méditerranée.....
" Mon cœur est devenu apte à revêtir toutes les formes:Il est pâturage pour les gazelles et couvent pour les moines Temple pour les idoles et Kaaba pour le pèlerin Il est les tables de la Torah et le livre du Coran.Je professe la religion de l’amour, quel que soit le lieu Vers lequel se dirige ses caravanes "
Abd el Kader est un personnage éminent et charismatique, inscrit au panthéon de l’histoire de l’Algérie contemporaine. Fondateur d’un état moderne, humaniste et mystique, il ne cessa d’œuvrer au rapprochement de l’Orient et de l’Occident et au dialogue des cultures et des religions.
Après dix-sept années de lutte contre l’occupation française en Algérie, emprisonné puis libéré par Bonaparte, il s’exile en Turquie, puis en Syrie, où il se consacre à l’enseignement et à la méditation. Il est inhumé à Damas, aux côtés de son maître soufi, Ibn `Arabi, puis au cimetière d'El Alia à Alger.Tableau de Jean-Baptiste Huyesmans représentant l'émir Abd el-Kader, protégeant les chrétiens à en 1860, lors des massacres commis par les Druzes
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