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Vous êtes en Algérie
La Smala de l'Emir Abdelkader
Miliana,l'Horloge, Place Emir Khaled
Coeur de galets.Oui, même nos galets ont du coeur et vous attendent...
Pour les envieux qui meurrent de rage
Il y a ceux qui connaissent notre pays mieux que nous
Un adage dit :
le premier thé est amer comme la vie »,
le second est fort comme l’amour »
et le troisième est doux comme la mort ».
Futur ingénieur en infrastructures
Et il fera appel à ce futur topographe bien équipé, jusqu'au stylo
Tous les chemins mènent à ....................Alger
Maurice Audin mort pour son Algérie
Préservons l'intégralité de notre pays, le plus beau du monde
Tous les chemins mènent ... à Alger
Mme Veuve Abane Ramdane
ekladata.comSalle de bain
Les mûres (Ettout) de toutes couleurs dont les arbres semblent en déperdition
Ce qui est le plus cher pour l'Arabe : sa femme, son cheval et son fusil.
Mais dans quel ordre ?
Lire http://hebboul.over-blog.com/2016/04/l-auresienne.html
Couscous, plat national
Equipe nationale de Foot-ball.
A quand les équipes mixtes comme chez nous ?
Amel, la Soprano, Elle porte loin son excetionnelle voix.Et c'est la voix miliano-algéroise....Une voix ambassadatrice très écoutée.
La liesse en transport
Ils ont fait leur devoir, prenons la suite
Et mérité leur merdoud
La Cathédrale d'Alger, appelée "Madame l'Afrique"
Giacomo Molinari à Laghouat
Lors de la conquête de l'Algérie,la ville de Laghouat (al Aghwât) représentait un point stratégique,car en tant que porte du Sahara,elle pouvait servir comme base pour une expansion ultérieure vers le sud.Laghouat fut conquise après de durs combats,en 1852.Le général Du Barail,commandant de la place,fit débarrasser les gravats de la ville et, sans attendre les directives du gouverneur général de l'Algérie,ordonna que l'on récupère briques et pierres afin de construire les édifices nécessaires à l'exercice de l'administration.
Pendant la reconstruction de la ville,on procéda aussi à l'édification de la grande mosquée de El-Saffeh,qui commença en 1853,année ou arrivèrent de Lombardie Vénétie,sept maçons italiens. L'un d'eux aurait donné son propre nom à ce lieu de culte, qu'on nomme encore de nos jours:la mosquée de "Mouninar". "Mouninar" était Giacomo Molinari. Lorsqu'il arriva à Laghouat,il avait 39 ans,et avait une formation d'architecte. C'est lui qui conduisit les travaux.Il était né le 28 août 1814 à Cavagnano (aujourd'hui province de Varese) de Giovani Molinari et Giuseppa Bianchi. Il fut baptisé,sous le nom de Giacomo ,dans l'église de Sant'Ambrogio di Cuasso al monte. Une fois la construction de la mosquée achevée, le groupe de maçons italiens quitta Laghouat,à l'exception de Giacomo Molinari qui resta et se convertit à l'islam,prenant le prénom d'Ahmed. Nous ne savons pas la date exacte ni les circonstances de sa conversion,mais il est incontestable qu'il s'intégra parfaitement à la population et aux coutumes musulmanes. Il épousa une femme de la tribu de Sidi Bouzid avec qui il eut quatre enfants:un garçon (Mohammed) et trois filles.
Un jour alors que j'étais à Nice et que je rencontrais un ami de Laghouat, je lui avais demandé des nouvelles de Santana Zenou, épouse Mardochée, mère de mes copains d'enfance Jeanne et Coco. Il m'apprit que Santana était décédée et qu'elle avait dit à ses enfants : "Quand je mourrai, je voudrais être enterrée à Laghouat et que l'on m'accompagne au cimetière aux chants d'El Quadria", psaumes récités sur le chemin du cimetière.Voulait-elle embrasser la religion musulmne ?
Son mari Mardochée Zenou,ferblantier, à l'Indépendance était membre de la Kasma FLN de Laghouat pour participation à la Révolution.
En 1962, au moment de baptiser l’Avenue du Premier Novembre,
Zenou Mardochée présent à la cérémonie et en présence d’un nombre important de citoyens a déclaré :"Mes ancêtres, les juifs de Laghouat,en 1852 ont assisté à la création, ou plus exactement à l’ouverture de l’Avenue Cassaigne et au scellement de la plaque portant le nom du Enfin, après plus d’un siècle, exactement en 1962,je dirai à mes aïeux,votre progéniture, en la personne de Zenou Mardoché aprocédé à l’enlèvement de la plaque portant le nom du général Cassaigne,pour la remplacer par celle de l’Avenue du 1er novembre."
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