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Avez-vous été prénommés de noms qui rappellent un événement
et en avez-vous donné en souvenirs mémorables à vos enfants ?
Nous en diriez-vous un peu sur ce sujet ?
Jouez le jeu que je commence.
Les miens ont été prénommés ainsi :1er - Saâd-Eddine, chercheur,du prénom de mon Père,
2ie - Zeineddine, enseignant, du nom du Ministre des Affaires Etrangères Syrien qui défendit à l'ONU notre cause pour l'Indépendance durant notre lutte pour la Liberté,
"L'affaire algérienne est à l'ordre du jour de l'Assemblée des Nations Pour la troisième année consécutive, l'Assemblée générale des Nations unies a inscrit le problème algérien à l'ordre du jour de sa session ordinaire. (...) ... L'an dernier, le F.L.N. avait pris pour avocat le délégué syrien. Le discours de M. Zeineddine, violent et (...)"
3ie - El Malik-Mohamed, pilote, du nom du nom du Roi du Maroc Mohamed V déporté avec sa famille, partie pour son soutien à la Cause Algérienne,
4ie - Mohamed-Ali, topographe, du nom du grand boxeur Cassius Clay, objecteur de conscience qui refusa d'aller combattre au Viet-Nam alors qu'il était le champion du monde toutes catégories. Il fut suspendu avec perte de son titre, (topographe)
5ie - Benyoucef, usine fabriquant des pièces pour avions,du nom du Saint-Patron de Miliana, Sidi Ahmed Benyoucef, , Amateur music : http://www.soundclick.com/bands/default.cfm?bandID=289516
6ie - Merouane, informatique, en celui de Sidi Merouane de Ténès, ce grand marin qui termina sa vie en prières sur le mont de Ténès au-dessus de la mer. L'un de mes joueurs de foot, pour une erreur de jeunesse, était sous menace et j'ai dû pré-plaider sa cause auprès du juge qui était en pélerinage à Sidi Mérouane et dont le dénouement fut heureux.Merouane a crée un site, Corbusmil
CORBUS=mer, MIL=Miliana, très fréquenté, Corbusmil.com, Merouane pratiquement né au bord de mer à GourayaJe n'eus pas de fille. Leur aurais-je donné ceux de mes ancêtres ? :
Nakhla (palmier femelle), Chouikha, Rbeïha, Messaouda, Aouali, Hanina, Fatna.
Mes petites filles ont été prénommées Mériem, Rym, Maroua, Kenza, Louiza.
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Si j’étais millionnaire !
« Aujourd’hui vous allez faire une rédaction », dit le maître en classe de Sixième. « Prenez vos cahiers et écrivez : Ce que je ferais si j’étais millionnaire. »
Oh ! pour une fois, c’était un sujet formidable, et les enfants se mirent au travail avec enthousiasme. Les plumes grinçaient avec zèle sur le papier, et çà et là, un garçon ou une fillette rêvait, le bout du porte-plume entre les dents, avant de continuer. Comme c’était intéressant de décrire ce qu’on entreprendrait si, par hasard, on gagnait un million à la loterie.
À la fin du cours, le professeur ramassa les cahiers. Rentré chez lui, il alluma sa pipe et commença à lire. Ceci, c’était la rédaction de Roger, un joyeux petit garçon à la bouche et aux yeux rieurs, et qui prenait la vie du bon côté.
« Si j’avais un million », écrivait le garçon, « je m’achèterais un magnifique chalet sur les bords du lac des Quatre-Cantons et une auto grande comme un camion de déménagement. Il me faudrait également un yacht de luxe avec un moteur. Je sillonnerais alors le lac du matin au soir, comme une flèche, et les gens nageant dans l’eau, seraient épouvantés quand je m’amuserais à les frôler. Par mauvais temps, je prendrais place dans ma voiture du tonnerre et je parcourrais à cent à l’heure, tous les cantons, et tous les gens me regarderaient et diraient : c’est Roger, le millionnaire. Voilà qui serait chic ! Comme j’aimerais être millionnaire ! »
Le professeur ferma le cahier avec un sourire, saisit le suivant qui appartenait au gros Jeannot.
« Si j’étais millionnaire, j’épouserais la cuisinière de l’hôtel de la Rose, parce qu’elle cuisine comme pas une. Il faudrait qu’elle me serve chaque jour mes mets préférés, du veau froid, en entrée, un grand plat de nouilles au gruyère, de l’oie rôtie et des fraises à la crème fouettée. Si je recevais cela tous les jours, je serais content. Je n’aurais pas d’autre désir. Ah ! si, il me faudrait encore, bien entendu, une glace aux fruits chaque jour. »
« Quel affreux gourmand », murmura le professeur, en souriant. Puis, il prit le devoir de Rosette, qui avait tendance à être coquette.
« Si j’avais un million », y lisait-on, « je m’achèterais les plus beaux vêtements, comme on en voit au cinéma. Je changerais de robe trois fois par jour, avec l’aide d’une femme de chambre, toujours comme dans les films. Et puis, je ferais moi-même du cinéma, naturellement, parce que, quand on a beaucoup d’argent, on arrive à ce que l’on veut. Je jouerais les plus beaux rôles, et les gens diraient : c’est la millionnaire, voyez comme elle joue merveilleusement bien. »
« Eh bien ! » murmura le maître, en hochant la tête « Que de rêves dans cette petite tête ». Puis venait la rédaction du petit Frédéric, le fils du forestier.
« Si je gagnais un million, je serais forestier comme mon père, car il n’y a rien de plus beau que d’être forestier, même si on est millionnaire. Mais j’achèterais alors toute la forêt, ainsi elle m’appartiendrait avec tout le gibier, et j’irais à la chasse tout seul, parce que je ne veux pas que les chasseurs du dimanche blessent le gibier. »
« Voilà qui n’est pas mal du tout, ce petit Frédéric fera son chemin », se dit le maître en lui-même. Il eut encore bien des cahiers en mains, et les châteaux en Espagne que les enfants se construisaient s’échafaudaient toujours plus haut. Enfin, il ne resta plus que le cahier de Rosine, une petite fille pauvre, dont la maman était malade. Le père était mort par accident quelques années auparavant.
« Si j’avais un million », écrivait l’enfant, « j’achèterais une petite maison avec un toit rouge et des volets verts. Et c’est là que je voudrais vivre avec ma mère, et il y aurait beaucoup de fleurs aux fenêtres. J’appellerais aussi le médecin le plus réputé auprès de ma mère, afin qu’il la guérisse. Je ne désirerais rien de plus pour moi, parce que quand je serai grande et si maman est en bonne santé, nous gagnerons assez d’argent pour ne pas souffrir de la faim. Le reste de l’argent, je l’emploierais pour les pauvres, afin qu’eux aussi n’aient plus faim et qu’ils puissent également se soigner et guérir s’ils sont malades. Ainsi, je pourrais faire beaucoup de bien, car, il me semble que celui qui possède un million doit aussi faire le bien et secourir les pauvres là où il peut. Voilà ce que j’aimerais réaliser, si j’étais millionnaire. »
Le lendemain, le professeur rendit les cahiers.
« Vous avez tous employé le million à des fins différentes », dit-il, tandis que les enfants dressaient l’oreille. « Certains d’entre vous ont écrit des choses réellement insensées, et il faut se réjouir sincèrement qu’ils n’aient point gagné le million à la loterie. Roger, avec son yacht, deviendrait probablement fou de vitesse et ne ferait rien de bien de toute sa vie. Il est plus sage pour lui d’apprendre un métier honorable, pour devenir un maître adroit et il sera ainsi plus utile à ses semblables que s’il était un millionnaire qui avale des kilomètres. »
Roger regarda son professeur d’un œil un peu sceptique. Tout cela ne lui semblait pas tellement vrai.
« Jeannot, lui, n’aspire qu’à la bonne chère. S’il faisait de tels festins chaque jour, il aurait vite une maladie d’estomac qui lui provoquerait d’horribles douleurs et il finirait bientôt à l’hôpital ou même au cimetière. Pour celui-là aussi, il vaut mieux qu’il ne gagne pas le million. »
Les enfants jetèrent un regard malicieux à Jeannot qui, à son tour, ne paraissait pas très convaincu par les paroles du maître.
« Rosette aimerait de beaux vêtements, devenir une élégante et embrasser la carrière de star de cinéma. C’est bien la chose la plus idiote, à mon avis. Tout mannequin de mode ne devient pas forcément une bonne actrice, et il vaut mieux, sans nul doute, qu’elle apprenne à cuisiner, à raccommoder et à repriser des bas. Et elle sera plus heureuse. »
Rosette baissa la tête, son joli visage tout empourpré.
« Ce qu’a écrit Frédéric, me plaît beaucoup. Il veut devenir forestier, malgré le million, et prouve son bon cœur vis-à-vis des animaux de la forêt. Je lui souhaiterais volontiers le million. Cependant, c’est Rosine qui en ferait le meilleur usage. Elle secourrait sa mère malade, et se procurerait pour elle-même une aisance modeste, donnant le reste aux pauvres. Et elle a bien raison, parce que celui qui est riche, doit faire beaucoup de bien. Et les autres n’y ont même pas pensé. Nous restons, même avec un million de fortune, les régisseurs de Dieu sur la terre. C’est pourquoi nous n’avons pas le droit de penser uniquement à nous-mêmes, mais au contraire, nous devons aider notre prochain dans toute la mesure du possible. Parce que nous devrons rendre compte à Dieu de nos biens terrestres comme du reste. C’est pourquoi je souhaiterais le million à Rosine. Elle en a fait le meilleur usage dans sa rédaction.
Les enfants rentrèrent pensifs à la maison. Le maître avait raison, sans aucun doute ; c’est Rosine qui seule avait pensé qu’avec une telle somme d’argent on devait penser également à rendre heureux ses semblables. Roger, cependant, dit à son ami, le fils du forestier :
« Dis, Fredy, tu sais, je m’achèterais quand même une auto et un yacht. Je ne serais pas forcé de faire des randonnées chaque jour, et il me resterait encore assez d’argent pour les pauvres. »
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El midad : le porte-plume et son encrier (ecole coranique)
A l'école coranique, el midad (l'encre) et le qalam (porte-plume),
el laouha (ardoise en bois) étaient de notre fabrication et
une pierre blanche "sansal" servait de gomme.L'école coranique : nous apprenions le Coran sans le comprendre,
notre taleb s'abstenant de nous l'expliquer...
Il fallait apprendre les Sourate par coeur sous peine de falaka
J'ai eu la chance de ne pas y goûter...Cette lampe à pétrole communément appelée " quinquet" a été pendant longtemps et pour beaucoup de familles l'unique moyen d'éclairage. Dans la liste des courses, il ne fallait surtout pas oublier le bidon de pétrole lampant. ! D'autres types de lampe à pétrole étaient également d'usage.
Cette lampe à pétrole communément appelée " quinquet" a été pendant longtemps et pour beaucoup de familles l'unique moyen d'éclairage. Dans la liste des courses, il ne fallait surtout pas oublier le bidon de pétrole lampant. ! D'autres types de lampe à pétrole étaient également d'usage
La bougie était indispensable dans chaque demeure, nous éclairant en se consumant
Boumediène comprit vite le sous-entendu d'El Gueddafi et l'insinuation de son intervention. Mal lui en prit, car Boumediène, en plus d'être un homme avisé et prévoyant avait la faculté de connaître minutieusement tout le personnel présidentiel et pour la circonstance, le médecin présidentiel algérien était un médersien, excellent francophone et arabophone, qui en plus d'être un brillant clinicien, avait une immense culture dans plusieurs domaines. Ce à quoi Boumediène rétorqua, d'une manière subtile à El Gueddafi, avec le large sourire qu'on lui connaît et le cigare à la main : «Comme tu le sais, mon frère Mouammar, les Algériens te seront toujours utiles ! Mon médecin va non seulement soulager tes maux, mais connaissant ton penchant pour la poésie arabe, tu auras le privilège d'apprendre avec lui quelques notions sur la balagha, les mouaâllakat et les différences de style entre Imrou El Kaïs et Zoheir Ibnou Abi Salma ; et si tu me le permets, je peux le détacher pour quelques jours, en Libye, pour disserter avec lui sur la science, le fiqh, l'histoire des civilisations et sur toute la littérature latine, particulièrement italienne et non pas uniquement française.
Enfin, pour la khaïma, ne te sens pas gêné vis-à-vis de lui, parce qu'il est issu du même milieu que toi ; c'est un fils d'une région de notre cher Sahara, connue par sa race ovine, ses palmiers et par ses poètes ; il a grandi dans une ‘‘moins luxueuse'' khaïma que celle qui nous abrite, mais équipée d'une bougie, pour éclairer ses longues nuits, d'une outre pour étancher sa soif, sans oublier la terrine dans laquelle il s'abreuvait de lait de chamelle !»La lampe à acétylène (ou lampe à carbure) est un moyen d'éclairage
le plus souvent portable. La source lumineuse est la flamme de
combustion du gaz acétylène, celui-ci résultant de la réaction de
l'eau sur le carbure de calcium tous deux contenus dans la lampe.Presque pour tout le monde, le salon-salle à manger
Ma maman tissait des tapis, des burnous, des couvertures (hiak),
des oreillers, des pans de tissus en laine. Leur vente lui permettait
d'aider son époux et de nous "burnousser", nous les garçons.J'ai connu la faim, j'ai connu le froid, j'ai connu les pieds nus...
Dieu, merci, mes enfants et les leurs, de g. à d. au 1er rang
Maroua, Louiza, Kenza et au 2e de g.à d. Abderrahim, Rym, Mériem,
Hamza et Zakaria ci-après ont connu une autre vie que je la leur souhaite,
en même temps qu'aux vôtres longue dans la santé et le bonheur. Amine...A ceux qui se plaignent de la vie
Comment vous sentez-vous après avoir visionné
le vécu d'autres êtres que la vie n'a pas ménagés ?
“On ne pourrait apprendre le courage et la patience
s'il n'existait que de la joie dans le monde.”
"J'ai pleuré parce que je n'avais pas de souliers
jusqu'au jour où j'ai vu quelqu'un qui n'avait pas de pieds."
Dites avec moi, El Hamdoulillah ? الحمد للهLe coeur perçoit ce que l'œil ne voit pas
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LA KHEÏMA DU JOUD WA EL KARAM -
(la kheïma de l’hospitalité et de l’excellence)Dans la région entre Biskra, M'Sila, Bou Saâda et Laghouat, s'est implantée une chaine hôtelière à la mode de l'ancienne société des Hôtels Transatlantiques de renommée internationale. De sages recommandations rédigées et affichées dans chaque kheïma par son PDG Mohammed-Seddik LAMARA, auxquelles sont tenus les kheimistes :
- 1/ Dans la kheïma, il faut porter l’habit de la modestie, elle n’a pas de portes, il suffit de dire : « essalamou ‘alaykoum », d’enlever ses pénates et de s’y engouffrer ;
- 2/ L’hôte qui y est accueilli, doit laisser, mêlé au sable mouvant, les mauvais compagnons que sont l’égotisme et la fatuité ;
- 3/ S’armer de patience et de bon sens et savoir écouter quand quelqu’un prend en premier la parole ;
- 4/ Ne pas écorcher un « kheïmiste » s’il commet quelque étourderie et de le corriger avec le doux « fouet » de la persuasion fraternelle ;
- 5/ D’allier la parole au geste, car les deux doivent battre le rythme rassembleur propre à la kheïma pour conjurer les maléfices de l’aridité du langage et des fiertés mal placées ,
- 6/ les seuls présents agrées par la kheïma sont : l’amitié sincère, l’empathie, la sympathie et les sourires épanouis, les rictus et grimaces malveillantes ne sont pas les bienvenus,
- 7 Sont exclus, sans appel, l’insulte, la mauvaise foi, la tristesse, la médisance et les pics malséants,
- 8 Les fêtes, toutes les fêtes sont les bienvenues, celles des cœurs comme celles des esprits ouverts sur le beau et les prétextes qui raffermissent la cohésion et la pérennité de la kheïma ,
- 9 Ses hôtes doivent veiller à l’agrandir pour recevoir plus de monde et, pourquoi pas, la faire voisiner avec d’autres kheïma,
- 10 Et enfin, veiller à semer, sans relâche, les graines du bonheur pour faire verdir les déserts de l’égoïsme et y faire émerger les oasis de la bonté et de la résilience contre les viles semences de la médisance et de la « fitna » !Vous y rencontrerez entre autres :
- A la réception, la Directrice de l'Etablissement, l'accueillante et polyglotte Lemkhalat Oulad Hmaida, alias Bab Rayan, dans le traditionnel habit de ses ancêtres
- Le Directeur Culturel et Animateur des gaâdates poétiques et des Bibliothèques de toutes les kheimas et des Moyens Généraux, Mr Mohamed Hadj-Aïssa en lahfaya et gandoura comme se vêtait mon père. La dernière gaâda de la khaïma a été consacrée au poète laghouati Abdallah Benkerriou et si vous y étiez, vous avez entendu déclamer ces quelques vers:" En moi une vieille blessure s'est ravivée
Que j'avais négligée depuis des années
Mon cœur ne me laisse plus tranquille
Il ne pense qu'à celle qui est comme la pleine lune
O toi la belle aux cils et aux yeux noirs
Ton amour me tue à petit feu de désespoir "La Chef-Cuisinière Lla Messaouda, aux succulents plats variés allant du traditionnel couscous à la paella espagnole en passant par le soufflé, le tout "mjammar" - braisé - à petit feu de bois...
Aux environs de la Khaima, vous trouverez souvent des centres de soins
e
t s'il vous en dit, un liseur sur le sable
Le guide des circuits touristiques et des oasis El Makhloufi, le célèbre à la pipe, est à la tête de compagnons expérimentés pour vos randonnées et circuits touristiques sahariensavec des haltes et un thé revigorant
Le Sahara, "Du Sable, du Vent, des Etoiles" d'après Saint Exypéry,
j'y ajoute les Roses des Sables
Les touareg, très hospitaliers, ne manqueront pas de vous faire connaitre leur intérieur et vous y faire partager leur thé au 3 verres si conviviauxPremier verre de thé: Il est dur comme la vie. C’est comme ça qu’on dit chez nous. « dur comme la vie » : tous les jours on est confronté à la dureté de la vie. Qu’on soit malade ou bien portant, la dureté de la vie se lit sur tous les visages. Sous les gratte-ciel comme sous les dunes du ténéré. Il ne faut certainement pas se laisser terrasser. Il faut lutter et remporter le défi en faisant face à toutes les épreuves quotidiennes. Quand on se laisse abattre on est vite terrassé et bientôt piétiné mais si on se relève on peut recommencer…
Bon ce deuxième verre, il vient ?
Le deuxième (verre). « Il est doux comme l’amour » : L'Amour … Il nous prend en entier ou pas du tout. Il ne nous prévient pas. C’est lui qui nous retire des larmes c’est également lui qui nous fait chanter des poèmes à longueur de journée. C’est l’amour qui nous fait voir des couleurs qu’on ne connaissait pas, lui qui nous rend fous. C’est notre raison de vivre. ON EST FAIT POUR AIMER. On doit faire la place à l’amour. Sans se demander pourquoi ni comment. c’est fou !
Le troisième ! ils disent qu’il est comme la mort. Fade, suave.
Mais moi, je ne sais pas, car la mort est certainement quelque chose qui nous est donnée, une chance, un repos, une issue. Je ne sais pas. Mais les morts ne sont pas morts. Ils sont là et nous sommes tous les jours avec eux.
Bain de sable: Comme son nom l'indique, une séance de bain de sable consiste à être recouvert, durant quelque temps de sable longuement chauffé par le soleil du désert. Grâce à cette chaleur "apaisante", il soigne les rhumatismes, polyarthrites, lombalgies ou encore certaines maladies de la peau. A l'image du sauna, il faciliterait également l'élimination des toxines.
Sable sur lequel vous pouvez même skier dans l'immensité saharienne
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atmanchir, la critique
Rare, nmanchar fi rouhi, je me critique:
"haçeb rouhou", pour qui se prend-il ? Ah ya la jeunesse !
En hôtellerie, "le Client a toujours Raison".
J'ai donc enfreint cette règle élémentaire !Elles sont aveugles ou quoi...
Se croire....
J'étais en l'Ecole Hôtelière d'Alger - Ben Aknoun et à l'occasion de stages, on m'envoya chez moi à Laghouat, Hôtel Saharien. Nous reçumes des touristes Allemandes et suissesses et le patron Mr Léo me chargea de les guider dans la visite de la petite oasis de Tadjemout toute proche.
Nous voilà donc à Tadjemout dont la visite se termina par celle de son fameux barrage qui vit quelques unes de ces dames se déchausser et faire trempette dans cette eau tranquille.
Et puis, vint à passer un jeune homme sur son âne...
Et toute la gente féminine m'accompagnant de s'extasier à l'unisson " Oh, Quel Bel Homme"...
Et moi de me dire, vexé : Qu'est-ce qu'il a de mieux que MOI ?
Je me croyais donc...kount haceb rouhi !Ma déception fit que j'écourtais la visite en punition...ça leur apprendra à ouvrir les yeux !
Et ça me rappelle un ami alors que nous étions en classe de 3ie au collège
- le prof de français : "Citez-moi une phrase avec un adjectif qualificatif ."
Et mon ami de répondre : - "Je suis BEAU"
A ma différence, lui, l'était effectivement !
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