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    El Hachemi Guerouabi a chanté ses 20 ans :    

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     en 6ie, à 20ans, à beaucoup +

    Aujourd'hui les gens passent leur temps

    à désirer ce qu'ils nont pas

    et à regretter ce qu'ils n'ont plus.

    Ah, ya el bareh  -  Oh, mes vingt ans!

     

    El bareh
    Wana b'chababi fareh
    Bechouk wel hawa sareh
    Ken fi omri aachrine

    Hier
    Fier de mon célibat
    Vivant d'amour et de passions
    J'avais vingt ans

    El bareh
    Kanet lemoual tetlaoueh
    Sahhat lebdane tetrayeh
    Ya zahret essinine

    Hier
    Je n'avais pas de soucis d'argent
    Et jouissant d'une bonne sante
    Oh, fleur de l'âge !

     
    El bareh, el bareh, ken fi omri aachrine
    Hier, hier, j'avais vingt ans.
     

    1
    El bareh
     Wana zahi b'chababi   
    Maa djemlet ahbabi
    Ellil weddoudja wemhanou
    Wahnaya sahranine
    Ebdaat ferryam gharami
    Lafdhi r'kik arabi
    Elli n'houzha wenkellemha katdebbel el ain.
    El bareh, el bareh, ken fi omri aachrine

    Hier
    Heureux de ma jeunesse
    Avec tous mes amis.
    La nuit, l'obscurité et ses peines
    ne nous empêchaient pas de veiller.
    Je séduisais toutes les femmes
    Avec mon accent arabe fin
    Chacune d'elle que j'isolais et interpellais me faisait les yeux doux.
    Hier, hier, j'avais vingt ans.


    Refrain

     

    2
    El bareh
    Chatt el b'hour mouadji
    Ken el ghram tehiyadji
    Ensarref chaaour echagra
    Wou nelteha beloukhrine
    Wana maa lehbab entadji
    Essoughr wel aakal ennadji
    Enkhateb el kamar we n'djoumou tefhem ghir bel ain.
    El bareh, el bareh, ken fi omri aachrine.
     

    Hier
    Les vagues de la plage n'étaient que pour moi
    Et l'amour me donnait de grands élans
    Je caressais les cheveux de la rousse
    Et je m'occupais des autres filles.
    Et avec mes amis je bénissais
    La jeunesse et l'ésprit.
    J'interpellais la lune et ses étoiles qui me comprenaient à l'oeil.
    Hier, hier, j'avais vingt ans


    El bareh
    Ken ezzamane soltani
    Wel youm ki sar khellani
    Hatta chib beddel louni
    R'ma ddelam fel ain
    Hassit belkebor zamani
    Ezahou wessoughor enssani
    Webkitt enkhammem aala dek el khelass meskine.
    El bareh, el bareh, ken fi omri aachrine

    Hier
    J'étais maître de mon temps
    Mais aujourd'hui, je ne le maitrise plus.
    La vieillesse a changé mon apparence
    Et a jeté du noir dans mes yeux
    J'ai senti le poids des années
    Et l'oisivité et la jeunesse m'ont abandonné.
    L'idée de ma pauvre fin m'obsède.
    Hier, hier, j'avais vingt ans

     

     


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  •  Il m'a dédicacé son roman ainsi :

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    De Lazhari Labter
    à mon ami Mohamed avec mon estime,
    cette Hiziya Princesse des Ziban
    en partage dans l'amour des belles choses
    qui nous sont communes.
    le 7 octobre 2017
    Lazhari Labter    

     

    Amour passion : Hiziya et Sayyed

      Elle s'en est allée à 23 ans...

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    Hiziya à Sayyed

    Elle lui murmura au creux de l'oreille: mets mon coeur en émoi Sayyidi,
    tatoue-moi avec tes yeux et tes baisers. Dis-moi les mots que seul l'Achiq
    peut dire. Invente-moi un nom, invente-moi un pays, invente-moi une
    patrie au plus profond de ton être. Même le jour où je ne serai plus là,
    je sommeillerai toujours en toi. Je veillerai toujours sur toi. Un bel amour
    bat avec chaque battement de coeur des amoureux, un bel amour ne
    s'oublie pas, un bel amour ne meurt pas, un bel amour survit à ceux
    qui l'ont vécu dans la mémoire des hommes et de l'Univers qui l'a porté.
    J'aime ton amour, j'aime t'aimer, je t'aime amoureux de moi, je m'aime
    amoureuse de toi.

    Résultat de recherche d'images pour "hiziya et said"

    Maitre de mes prairies parfumées, je m'aime rêveuse
    rêvant de mon homme à mes côtés, jouant avec moi et jouant de moi.
    Nous deux simplement comme des enfants sur la rive de la vie, nous deux
    emplis de cette joie si grande qui ne nous fait penser à rien d'autre qu'au
    bonheur que nous éprouvons ensemble. A voler des fragments d'éternité
    tout comme nous volions des instants  d'amour interdits, à l'ombre des
    palmiers, cachés derrière les troncs de figuiers aux larges feuilles vertes
    ou des grenadiers en fleurs. 

    Nous, tout simplement nous, toi et moi,
    l'amour, la tendresse, la passion pour réchauffer nos coeurs sur cette
    contrée où s'aimer est si dur. Oui, mets mon corps fiévreux sens dessus
    dessous autant que tu aimes, autant que j'aime, autant que nous aimons. 

    La tombe de Hizyia partie à 23 ans

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    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas


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  • Merci à tous pour tout

    Hier, sont venus me rendre visite et me procurer une immense
    joie ceux que j'ai toujours considérés comme mes autres enfants
    du Sport Club Milianais (SCM) qu'ils soient joueurs, supporters ,
    jeunes dirigeants. Une affectueuse et heureuse surprise de
    Mohamed Landjerit, leur ainé, Abdelkader Tibahine, Cherchali Mourad,
    Oularbi Abdelkader, Ahmed Benbelkacem, Dellouci Aziz et Aliouat Boumad
    le Capitaine de la célèbre équipe des minimes, émigré en Italie où se trouve
    Abdelkader Barbara, un autre inconditionnel du SCM.
    Que de joies, d'affectueuses embrassades, de rires, d'évocation
    de souvenirs et d'anecdotes d'il y a plus de 50 ans.
    Après leur départ, je découvris un sachet contenant un beau
    survêtement, flacon de parfum et gâteries. Merci à eux
    Merci pour ces moments inoubliables...

    "Les gens ne meurent pas quand on les enterre,
    ils meurent quand on les oublie..."

     

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     Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas

     

     


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    Aux Ferroukhiens dont je suis

    Et Félicitations au nouveau Président de notre Association

    Plus que centenaire, notre lycée Mustapha FERROUKHI, a largement contribué à la formation de chacun d'entre nous. Il était aussi, au même titre que Miliana, un foyer de nationalisme puisque nombre de ses élèves l'ont quitté pour rejoindre le combat libérateur dont très peu en sont revenus.

                                                                                                                                        ~~Mustapha FERROUKHI -

     

    Errahma lahoum

    Savez-vous que :


     Lors de mes premières années au Collège de Miliana, qui deviendra à l'indépendance, Lycée Mustapha Ferroukhi, j'ai a eu le privilège de côtoyer souvent Mustapha Ferroukhi dans le "Cercle de la Médersa" qui se trouvait à l'angle de la Rue Belabbes-Nabi et du Boulevard de la République, tenu par "Ammi Ahmed" de Cherchell, un homme charmant et au thé excellent. C'était autour de discussions à sujets divers et naturellement politiques.
    Chacun à sa manière préparait au Combat Libérateur au terme duquel Mustapha Ferroukhi n'assistera pas pour fêter l'Indépendance, décédé dans un accident d'avion avec sa famille (sauf une fille qui n'était pas du voyage) en allant rejoindre la Chine auprès de laquelle il venait d'être désigné Ambassadeur de l'Algérie Combattante par le GPRA

    De beaux gosses ils étaient......De beaux gosses, ils sont restés


     La "descente"

    Nous étions internes en l'ex-Collège Moderne de Garçons de Miliana, devenu Lycée Mustapha Ferroukhi (ouvert également pour quelques jeunes filles).
    Il y avait trois dortoirs:
    un pour les petits - le mien -
    un deuxième pour les moyens
    et le troisième pour les aînés.
    Un soir, alors que nous étions couchés, les élèves du second dortoir firent une "descente" (un raid) dans le nôtre et nous "massacrèrent" à l'aide de leurs polochons.
    Bien sûr, la pareille devait leur être rendue au plus tôt, ce qui se fit le lendemain. Et, malins que nous étions, nous nous sommes positionnés dès notre retour, derrière la porte de notre dortoir, armés de nos polochons, dans l'attente de leur venue pour laver l'affront qu'ils venaient de subir des "petits".
    Et donc, dès que la porte s'ouvrit, tous nos polochons s'abattirent avec rage sur les agresseurs! Malheureusement, c'étaient.., alertés par le vacarme qui provenait des dortoirs, le Proviseur accompagné d'un Surveillant ! ! ! Le Proviseur y perdit ses lunettes...
    En punition, en plus des privations de sortie du dimanche, nous passames une bonne partie de la nuit debouts au pied du lit.

     

    Réminiscences du collège

     Savez-vous que :
     Le stade de basket du (collège) lycée Ferroukhi se trouvait à l'angle de l'entrée de la caserne (actuellement annexe du lycée)

    L'équipe cadette de Basket du Collège de Garçons de Miliana battue aux Jeux Universitaires 1948 de Blida par le Lycée Ardaillon d'Oran d'un panier. J'en étais le seul "musulman" comme on disait alors...Et combien, il vous sera difficile de me reconnaitre !!!

     Que le lycée avait son stade - appelé stade DONA - du nom de notre professeur d'éducation physique, agencé entre les espaces occupés par la maison de jeunes et la mosquée et aménagé par les élèves durant leurs heures de sport. Il servait à la pratique de la gymnastique et l'athlétisme uniquement

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     Que l'équipe de football du lycée s'entraînait au stade communal situé juste derrière le lycée à l'angle gauche de la rue qui mène vers Bab el Gherbi.

     Que les professeurs du lycée étaient pour la plupart agrégés dans leurs matières d'enseignement. Citons entre autre Messieurs Tahar TEDJINI en Arabe, BONNET en Maths et DAVIDOU en Histoire et Géographie.

     Que Monsieur BONNET, prof de maths, a été le dernier maire de Miliana jusqu'en 1962.

     Que Monsieur KACEDALI, surveillant au lycée vers la fin des années 40, en a été son proviseur après l'indépendance de l'Algérie et ensuite Directeur de l'Ecole Nationale d'Administration (ENA).

     Savez-vous également que nos sorties - promenades - nous emmenaient:

       -  A l'ouest, au Petit Bois sur la route de Ben Allel où deux usines ont été implantées et fermées ensuite mais causant la disparition de ce  Petit Bois , Oasis de Paix, de fraîcheur en temps de canicule.

       -  Au Sud, sur la route vers El Khemis jusqu'à Zougala, par la sortie de la Pointe aux Blagueurs, derrière la Statue de Ali la Pointe. Durant tout ce parcours, nous cueillions les fruits d'arbres surchargés dont les branches débordaient sur la route et que les jardiniers dédiaient aux passants.

       -  A l'Est, vers les 3 Pins en passant devant la piscine des Belles Sources, elle aussi disparue, route ombragée de platanes et verdoyante.

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    Mes enfants de de la JSTEH - Téniet-El-Had
    à l'instar de ceux du Sport Club Milianais (SCM)

      

     

    Bonjour aux Amis de Téniet-El-Had à travers Mohamed-Rachid Yahiaoui et cette photo.
    Equipe de foot de Teniet-El-Had (J.S.T.E.H) qui accéda en divisions supéreures 2 ans de suite Elle jouait de la même manière  que le SCMiliana en adoptant ses principes d'éducation.Ses joueurs et dirigeants étaient attachants, de grande éducation, respectueux, adorant leur ville Téniet-El-Had, bastion de la Révolution. J'en ai été l'entraineur, je préfère éducateur, durant deux ans.

    anecdote : un jour que je faisais la chaine devant la mairie pour un extrait de naissance de ma feue épouse, laha Errahma, née à Téniet-El-Had, l'un de mes anciens joueurs me sortit du rang "Si Mohamed, Téniet n'a pas le droit de te laisser faire la queue pour les services que tu as rendus à ses enfants". Et il se chargea de me ramener ladite pièce d'état civil.

     

     Avec l'âge, la mémoire défaille mais ces joueurs étaient respectueux entr'eux, envers leurs dirigeants et moi-même et avaient pour noms entr'autres Ali Hamoul, Rabah Zebar,les frères Kharroubi, el marhoum Khenchache Abdelkader, Talbi Noureddine, Cherdoudi Benaissa, Abdelhamid Djilali, Ami Abdelkader, Chadouli Bakhti etc...que je salue et me rappelle à leur souvenir. Et ces "teigneux" à l'image de mes amis de classe au Lycée Mustapha Ferroukhi, Boualem Sansal et les frères Baraka chez lesquels je passais les vacances courtes, le temps étant insuffisant pour aller chez moi à Laghouat. 


    Tous ces joueurs ont réussi leur vie familialo-professionnelle, pour mon plus grand bonheur accentué par la visite que me fit en mon domicile Ali Hamoul, devenu Ingénieur Hydraulicien, accompagné de son épouse.                                                                                               Je ne sais si dans la Salle de Délibérations de l'APC subsitent encore leurs photos encadrées, chacun dans une attitude footballistique différente et ceci pour avoir porté haut les couleurs de leur cité. Amitiés à tous et Errahma à ceux disparus

    Dernièrement avec des amis nous nous sommes retrouvés à la Foret des Cèdres, la deuxième après celle du Liban où j'ai eu la joie de rencontrer la coqueluche de la JSTEH (excellent joueur alors) Chadouli Bakhti.

    Mustapha KHODJA (ici à ma droite), ce parisien
    pour qui "rien ne vaut Théniet-El-Haad et El Medded"

     

     Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas

     

     


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