• Cette photo m'a servi d'illustration d'une anecdote.Pendant notre guerre de Libération, Il y avait une infirmerie de l'ALN implantée dans le Zaccar dont Dr Ysmail Dahlouk Mahfoud en fut responsable un temps. Et dans cette infirmerie, il y avait un blessé,le Chahid Capitaine Si Tahar Bouchareb, de Laghouat dont je suis originaire, qui avait déserté du lycée de Médéa.Il m'envoya un jour un ittisal, intermédiaire, Ben Sidi Aissa pour me saluer et me dire de lui faire parvenir un kaabouche fait à Laghouat dont il avait la nostalgie. Un kaabouche est une pâtisserie faite de semoule grillée, dhane - beurre, dattes et miel en forme de cône et de très longue conservation. ça m'est resté en travers de la gorge car je n'ai pu satisfaire son désir alors. Et sur cettte photo apparait le Zaccar ou l'infirmerie pour combattants moudjahidine était implantée.

     

    Mohamed Hebboul

    Que d'amis disparaissent en nous laissant revivre des instants toujours de joie.                           Avec Cheikh Ali Ferhat à la démarche particulière, nous étions très souvent ou chez l'un ou chez l'autre et son fils Mohamed, que Dieu ait son âme lui aussi, projetait , devenu grand, de s'établir à Miliana.                                                                                                                                     Lorsque j'avais une importante démarche à faire et que j'hésitais sur son résultat, il m'y poussait , me disant : "Le non tu l'as, vas chercher le oui". Et en son atelier de menuiserie à Fouka, je rencontrais très souvent des Laghouatis, comme Madani Gourine, Laoufi Mostefa ou le Colonel Baghdadi. Souventes fois nous eumes droit à de succulentes grillades de sardines achetées à quelques pas de l'atelier.Il est parti rejoindre ou voir venir nos autres amis, Benattallah Kada, Boutaïba dit El Mour, Bada,Hadj Lamine Ferhat, le Commandant Bouchareb dit Benkarno et bien d'autres...Lahoum Errahma et moi les larmes.
     
     

    Tayeb a été rejoindre mes autres valeureux coéquipiers du Hilal Club Laghouati

    dont le Chahid Belkacem Hadj Ali - le Beau Gosse à la cravate -

     Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas

    محمد هبول يعزي الآغواط في فقدانها الحاج الطيب بن سماعين Rahimouhou Allah, notre ami Tayeb Bensmain, figure du monde sportif de Laghouat où il trônait impérialement au centre de la défense du Hilal Club de Laghouat (HCL).où nous étions coéquipiers.Grand, rieur, muslim véritable, je lui tenais souvent compagnie en son épicerie du ...Shettet el Gharbi.Son père Benyoucef, portait le nom de Sidi Ahmed Benyoucef, le Saint Patron de Miliana.Il disait faire partie de ses descendants au même titre que mon autre ami récemment disparu Hadj Tahar Benamar. Et d'ailleurs j'avais demandé à Tayeb de me rejoindre au SC Miliana comme je l'avais fait auparavant pour Abdelkader Benchenati, l'un des plus grands footballeurs que Laghouat ai connus.L'amour de leur ville Laghouat qui les a vus naitre les en empêcha.Lahoum Errahma.Et comme dit une chanson "
    "Et moi, je pleure parce que la mort, c'est pas marrant.
    Parce que la mort, c'est dégoûtant, parce que la mort, ça te prend tout.
    Ça te laisse comme une loque, ça plonge ta vie dans la boue
    Et ça te noie et ça te bloque, ça te rend vieux, ça te rend fou
    Et moi, je pleure, même que le jour où je mourrai
    S'il est encore quelqu'un qui m'aime, je voudrais qu'il vienne pleurer."
    Et moi, je pleure...
     
    Oui...Oui...C'est de ce Laghouat-là que je veux parler...

    Mohamed Hadj Aissa :

    Peu de jeunes le connaissent, il demeure connu seulement par les gens de notre génération qui ont la chance et le plaisir d’apprécier les qualités sportives de hadj Tahar MAICHA , que j’ai rencontré ce matin toujours au même endroit à proximité de la quincaillerie Benmoussa , en plein centre-ville

     

    Hadj Tahar a fait partie de la glorieuse équipe du Hilal en compagnie des Mechattah Abdelkader, Mohamed Hebboul , Tayeb Zaabta ….Il a également fait partie de l’équipe des 3 S sous la direction de hadj Bachir Khalifa . Tous de grands noms dont s’enorgueillit Laghouat , Le Laghouat qui reconnait ses enfants et qui n’a point oublié  leurs lourds sacrifices pour sa cause …..C’est de ce Laghouat que je veux parler …Pas de celui qui a la mémoire courte et qui a le reniement assez facile …. Vous me comprenez ???    Oui ! C’est bien cela , vous avez parfaitement compris !      MHA

     
     
     
     
     

     


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     L'Aurésienne et le Centurion

    LA VIERGE DE TIFELFEL

    Aurès, l’an 115

    C’était du temps des conquérants romains. Etait-ce à l’époque de l’empereur Trajan ? Qu’importe. De ces légionnaires qui passaient par ce pays des Chaouias construisant Thamugadi, Théveste et Mascula, un bel homme, fier dans son allure à la robe pourpre et casque brillant, arborant armes et armures, avait mis pied un jour à Tifelfel, établissant un fortin à l’entrée du défilé, afin de surveiller son passage et les villages qui, plus bas dans la vallée verdoyante, se chevauchaient presque … Mchounech, Tamrit, El-Arrich, Banian, Tighanamine.

     

    Il faisait doux et bon ce matin-là. Un printemps déjà précoce titillait la nature et sur les chemins tortueux, la destinée d’une jeune fille se dessinait. La vieille l’avait prévenue : « Sur ton chemin aujourd’hui, Ô ! Belle d’entre les Belles tu enchaîneras ta vie.» Un rire cristallin répondit à la prédiction. Parée d’amulettes et de talismans « Quatre fois la terre aura tournée… juste quatre fois et ton sang de vierge aura coulé » enchaîna la vieille. « Me prédit-elle un mariage ? » Pensa la belle. Debout, immobilisée par les yeux noirâtres de la prêtresse qui pointait son doigt charnu vers elle dans une attitude agressive, les autres filles arrivaient derrière, en file indienne, cruches sur les épaules « Allez, avance, avance » lui criaient-elles dans un chahut gai.

     

     

    La petite troupe reprit sa marche dans un tintement de bracelets ciselés et d’anneaux argentés, cliquetant joyeusement autour des fines chevilles. Le sentier montait péniblement jusqu’au sommet. La source convoitée, le seul point d’eau où les filles venaient puiser l’essentiel de leurs besoins, coulait généreusement abreuvant assoiffés, passants, voyageurs et vagabonds. Pour se soulager de cette corvée toujours harassante, la jeune fille se mit à chanter. Sa voix mélodieuse s’éleva dans les airs, réveillant arbres et oiseaux, fleurs et abeilles, faisant frémir les vents et les nuages. Le chant s’éclata sur les rochers et sur les sentiers d’où arrivait le bel homme. Il descendit de son cheval et s’approcha de la fontaine.Ultime instant de rencontre. Les yeux se posèrent sur elle, sur ses courbes, détaillant sa taille fine enroulée dans une série de ceintures en laines tressées, accentuant la finesse et le galbe… Le regard s’attarda. Le sourire effleura les lèvres et une caresse interdite esquisse le geste. Des vagues tourmentèrent le soldat, pénétrèrent en lui en saccades le traversant de haut en bas. Dans ces lieux lointains, sur cette piste poussiéreuse, lui qui avait traversé mers et montagnes, auréolé de gloires et de batailles gagnées Il venait de rencontrer sa défaite

    .

    Le centurion se mit à la courtiser, surveillant ses allées et venues, rêvassant devant la fontaine, de ses yeux noirs et brillants. Il lui envoya avec des porteurs, présents et fleurs. La belle se tenait à distance. Dans sa tête cheminaient de drôles d’idées. Elle savait qu’elle pouvait aider les siens en exploitant l’amour que lui offrait le Romain. « Il est puissant et riche. C’est un colonisateur qui a vaincu mon peuple en s’établissant sur la terre de mes ancêtres. Il est à mes pieds aujourd’hui, aux pieds des monts de ich Aziza » se disait-elle Blog de ghadames : ghadames, LA VIERGE DE TIFELFEL Filles des Aurès Elle renversa sa tête, jouant avec sa chevelure d’ébène, les tchoûchânat (grands anneaux en argent) qui pendaient à ses oreilles balançaient gaiement. Câline, ensorceleuse, elle colla presque ses lèvres sur les siennes, le laissant entrevoir une infinie parcelle de jouissance et de volupté « je suis à toi, beau centurion, mais avant, tu dois faire quelque chose pour moi. Veux-tu faire quelque chose pour moi ? » Le romain de la 6ème légion était prêt à vouer son âme au diable, pourvu que la belle puisse lui accorder ses faveurs. Son doigt fin traçait sur la poitrine de l’homme des cercles imaginaires « veux-tu apporter de l’eau à mon village ? » « Juste cela » se demanda le Romain. Bientôt la berbère lui appartiendrait. Mais la tâche allait être pénible, longue et épuisante. Sans attendre davantage, encouragé par les caresses et les regards de sa belle, il se mit à l’œuvre. Il traça des plans, calcula des chemins, dessina des détours et des courbes, s’initia au savoir des architectes et embaucha de la main d’oeuvres. « L’eau arrivera au village de Tifelfel et à mes lèvres aussi » se disait-il.

      Jeunes filles des Aurès

    Il s’abreuvera enfin et abreuvera cette soif intense qui embrasait sa gorge. Les saisons s’écoulèrent, les hivers s’en allaient remplacés par d’autres et les étés remplissaient la vallée de chants de grillons. Quatre années s’étaient écoulées. Quatre années d’un dur labeur, de patience, de rêves interdits, de murmures suggérant, de frôlements incitants. Par désir, par amour, le romain avait réussi à tracer un cour d’eau dans la roche, venant de la fontaine tout au sommet de la colline jusqu'au village.

    Il réussit enfin son pari. L’eau arriva au village de Tifelfel. Cette nuit…Oh ! Cette nuit la lune sera en lui. Elle lui avait donné rendez-vous le premier jour de la fontaine. La belle, parée de tous ses atouts, robes en soie aux couleurs claires, chamarrées, la gorge opulente ornée de bijoux en argent, le front appesanti de plaques et de chaînes, les yeux noircis et les joues fardées, se tenait offerte dans ce clair de lune qui s’auréolait autour d’elle, l’emprisonnant dans une lueur argentée. Fébrilement, il s’approcha d’elle, posa ses lèvres fiévreuses sur les siennes. Il en rêvait de cet instant depuis des mois, depuis des siècles. Elle le laissa faire et ne dit mot. Ferma les yeux pour échapper à cette étreinte qui la faisait souffrir. Elle s’allongea sur la couche satinée du romain, lui, s’éloigna pour se débarrasser des ses armes. Quand sa tête se tourna vers elle, son regard s’assombrit, son geste se suspendit. Une auréole de sang fraîche nappait le parterre, s’infiltrait dans le sol devenu humide. Sur la couche, les yeux ouverts, la main encore sur la manche de la dague enfoncée dans sa poitrine, la belle dormait d’un sommeil éternel.

    Commentaires

     BELLOULA 19/06/09 13:02 J'aime beaucoup les illustrations qui accompagnent mes deux textes La belle de Tifelfel et le lit d'une reine, merci encore

    automathing: Toujours votre talent pour nous proposer des faits historiques qui nous semblent tellement contemporains... Non ,on ne peut prendre de force le coeur d'un(e) autre, c'est une clause de sauvegarde pour les âmes qu'elles soient faibles ou fortes


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    D'où êtes-vous : du bord de mer, des Oasis, Targui, de la Kabylie, du Djebel Boukhil, des Aurès, des Iles Habibas  Pourriez-vous situer Foum Toub, Terga,Tamentit, In Guezzam, Guerara, l'Oued R'hir,ⵜⵉⵣⵉ ⵡⵣⵣⵓ, Makouda, Zelfana, Miliana ?
    Ne vous défilez pas, esssayez, cela vous fera connaitre votre Algérie et ses doux produits. Avez-vous été accueillis en ces régions ? Bien, mal ? L'hospitalité algérienne est-elle surfaite ?

     

    Même le roc a du coeur...

     

    Hospitalité:  Toc, toc  d'accueil

    Aucun texte alternatif disponible.

    Invitation et accueil souriant pour un thé d'amitié

    L’image contient peut-être : 1 personne, sourit, assis

    Un esprit qui ne lit pas est comme un corps qui ne s'alimente pas......il meurt, 

    L’image contient peut-être : une personne ou plus et plein air

    Sur ce banc du jardin public de Miliana, combien se sont assis pour se conter des histoires de joies, parfois de peines  et ce platane a récolté et emmagasiné tout ce qu'il a entendu....

    L’image contient peut-être : arbre, ciel, plein air et nature

    Le cœur de l'homme
    est comme la mer,
    il a ses tempêtes,
    il a ses marées
    et dans ses profondeurs...
    il a aussi ses perles.

    Vincent Van Gogh

     le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas


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    Fille ou garçon ?

    Barack Obama, enfant, dans les bras de sa mère Ann Dunham.                                                               Le 44e président des Etats-Unis est né le le 4 août 1961 à Honolulu.

    Il dit toujours avoir été élevé dans un univers "idéaliste et exigeant". 


     

    Il ne veut pas être seul et réclame une soeur ou un frère.  Alors...qu'attendez-vous ?
     
    Bertrand et Christophe ont des anecdotes. Des histoires classiques : se faire passer l'un pour l'autre en classe ou pour les épreuves du brevet. Mais aussi des récits plus étonnants : « J'allais passer à la radio pour parler de la gémellité, raconte Bertrand, et deux minutes avant d'être à l'antenne je me suis mis à penser très fort en me disant : Christophe écoute la radio. » À l'autre bout de la ville, au même moment, Christophe arrêtait de travailler pour descendre écouter la radio dans sa voiture,« Juste au moment où mon frère intervenait. »

      Des jumeaux black and white



     

    Pour la photo, à chacun sa couleur...

    Des jumeaux de couleur différente sont nés au mois de juillet à Berlin en Allemagne. Cas extrêmement rare, mais pas impossible. Les deux garçons s’appellent Ryan et Leo, et sont les enfants d’un couple mixte. Florence, la mère est originaire du Ghana tandis que Stephan, le père, est originaire de Postdam en Allemagne.« Ryan est sorti en premier et les choses se passaient tranquillement. Mais quand Leo est né, je n’en croyais pas mes yeux » a déclaré le docteur, Mme Birgit Weber. Elle affirme avoir assisté à près de 10 000 naissances en vingt années de carrière, mais n’avoir jamais vu un événement pareil.
    « Les deux enfants ont bien le même père » a-t-elle ajouté. Les jumeaux sont nés le 11 juillet, mais avaient été gardé à l’écart des médias jusqu’à ce que la presse soit invitée.



    Et trois paires de jumelles

    Mon père, ne nous reconnaissait pas et il lui arrivait fréquemment de nous confondre et de se tromper dans nos prénoms, il arrivait moins souvent mais également à ma mère de se tromper. Il arrivait également de temps en temps qu'à l'école, qu’ un soit puni pour l'autre sans que l'autre le dénonce
    A notre service militaire au moment des classes, je me souviens que mon frère Laurent avait été pris et moi ayant mieux négocié auprès du sergent recruteur n'est pas été pris, j'ai donc été trouver mon frère Laurent et je l'ai ramené au sergent recruteur qui a accepté de nous exempter de notre service militaire tous les deux parce qu'il avait compris qu'on ne pouvait séparer des jumeaux

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    L’été dernier, Leanne Salt devenait la plus grosse femme du monde ayant donné naissance a des triplés. Cette jeune maman, âgée de 24 ans, pèse aujourd’hui 184 kilos.

    Et c’est sans retenue ni complexe qu'elle a expliqué aux journalistes venus l'interviewer qu'elle amène régulièrement ses triplés de huit mois au McDo. Elle se dit "trop occupée" pour nourrir sainement ses filles Deanna et Daisy et son fils Finlee.  "Mes enfants avaient six mois quand je les ai emmenés pour lapremière 
    fois au McDonald’s. Ils ont mangé du poisson et des frites. Je mâchais d’abord la nourriture, parce qu’ils n’avaient pas encore de dents," explique-t-elle. "Parfois je leur cuisine des lasagne au micro-onde. Les bébés ont toujours faim. C’est plus simple de leur donner de la nourriture déjà préparée."
      Elle déclare encore : "Je laisse les triplés manger des frites parce que je pense que c’est la meilleure façon pour savoir quelle nourriture ils aiment." La jeune femme affirme que ses enfants sont en bonne santé
    Une lueur d’espoir tout de même : "Je donne des légumes à mes bébés tous les dimanches et il y a des fruits dans beaucoup de plats tout faits pour les bébés." La maman de Leanne, quant à elle, explique qu’elle essaye de changer les habitudes alimentaires désastreuses de ses petits-enfants, en vain : "J’achète de la salade mais  personne n’en mange. Ils préfèrent la nourriture sucrée." Je ne sais pas pour vous mais moi... ça me fait peur...


      Des triplés heureux


    Une femme blanche peut aussi avoir des jumeaux noirs.

    C'est une blonde qui a accouche de 2 beaux bébés, des jumeaux, cependant, elle pleure a n'en plus finir ! 

    L’infirmière lui dit alors :             

    - Mais voyons madame ! Pourquoi pleurez-vous ? Vous êtes maintenant mère de 2 beaux bébés bien en santé !                                                  

    - Je sais, répond la blonde, mais je ne sais pas qui est le père du deuxième !


     
     Quadruplés en mélange



    Que du bonheur !!!


    D'après un sondage :63% des jumeaux sont de même sexe .

    Quintuplés grandiront...





    sextuplés en mélange
    et 3 filles 3 garçons



    Alors voilà. on est 7. 7 ados totalement identique, à quelque détails prés. on est né le 9 septembre 1990 entre  10h00 et 10h42. aujourd'hui, à 23h34, nous avons décidé de vous montrer le phénomène des septuplés. on se ressemble totalement au niveau physique. y a que dans la tenue vestimentaire qu'on change (de temps en temps, la plus part du temps on s'habille pareil), dans le caractère, et par notre point de différence (chacun s'est fait un point reconnaissable par rapport à son carctère). c'est trés bizarre mais c'est comme ça. sur cette photo vous allez pouvoir nous voir tout les sept (enfin, six sont visibles et le septième est un peu au fond). au premier coup d'oeil, on est sûr que vous allez trouver nos caractères et ce qui nous différencie les uns des autres.




     A la douzaine !...

     A.F. est une jeune Tunisienne d’une trentaine d’années qui est en voie de battre un record mondial.
    Imaginez-vous, elle est enceinte de... douze enfants!
    Oui, vous avez bien lu, douze enfants : six garçons et six filles, selon Le Figaro.fr.
    La jeune maman, originaire de Gafsa, dans le sud de la Tunisie, est à terme et «se porte bien ainsi que ses futurs bébés» précise le journal local Essabah.
    Son époux ne semble pas «épaté» par ses douze futures naissances.
    «Elle est très heureuse et attend avec impatience de les voir tous les douze gigotant en bonne santé entre ses mains» a-t-il déclaré, selon Le Figaro.fr.
    Les ministères de la Santé et des Affaires sociales ont d'ores et déjà annoncé qu'ils prenaient en charge ce cas unique, précise le quotidien Essabah.
    La Tunisie pratique la limitation des naissances depuis plus de 40 ans...Si l'ensemble des bébés survivent, ce qui, d'après  les médecins, est peu probable, cette Tunisienne pourrait battre le record de naissances détenu par une femme Grecque.
    En 1996, cette dernière avait mis au monde... onze bébés.

    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas


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