•  

     

    387887 289370084438398 100000962251672 791512 33199263 n

     "El Kanbouz Labyedh" n'existe pratiquement plus dans les rues de Laghouat, quant à "Lazreg", lui a complètement disparu

     

    Je n'ai pas eu de filles mais des soeurs,

    des brus et de nombreuses petites filles

    Je ne suis ni pour ni contre le port du voile

    mais pour la liberté de le porter ou pas

     

    Ce voile de tant de débats

    N'avait-il pas son charme ?

    Servait-il de cache-misère ?

    Derrière ce voile : une Beauté, une laideur ?

    Une jeune, une moins jeune ?

    Un homme peut-être ?

    Souvent, mystère....

     

    Est-elle voilée ainsi ?

     

    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    L’image contient peut-être : 1 personne

    Ma grand mère Kerroum Chouikha

    Ma grand mère Kerroum Chouikh, laha errahma, dont j'étais le petit-fils préféré à qui elle offrait toujours la plus belle part de quoi que ce soit, ce qui attirait la jalousie de mes cousines et cousins quant j'allais lui rendre visite à Ksar El Hirane, 30 km au sud de Laghouat.   
     
     
    1-copie-16.jpg
     

     
    A l'époque il y avait profusion de scorpions et nous dormions sur un lit de branchages surelevé par 4 piliers en bois pour éviter leurs piqûres. Elle détenait la clef de la "Houjra" - pièce de stockage - attachée à sa ceinture, répartissait les tâches domestiques à ses 3 brus qui se mettaient à ses côtés derriere le métier à tisser.   
     
                                                                                                                       Au diner, nous nous mettions tous autour d'une immense gassaâ de couscous - tous les soirs couscous - avant une longue veillée que je terminais endormi sur la cuisse de grand mère. Levé tôt le matin, je passais la journée avec mes oncles Laïd, Ferfat et Haoua aux travaux du jardinage de leur propriété sise 3 à 4 km au bas du village. 
     
                                                                                                                         Pour notre "repas" de midi, grand mère nous donnait à chacun une metlouâ, 3 dattes et pour nous tous un "tass" - broc - plein de chnine, petit-lait. Ce frugal déjeûner se déroulait sous un grand arbre centenaire aux branches duquel flottaient de nombreux bouts de tissus attachés là en guise de voeux par les dames du village. Cet arbre était vénéré comme un Marabout...Elle dort à Sidi Yanès à Laghouat où je lui rends visite à chaque occasion, Errahma laha...

     


    votre commentaire
  •  

    D'où êtes-vous : du bord de mer, des Oasis, Targui, de la Kabylie, du Djebel Boukhil, des Aurès, des Iles Habibas  Pourriez-vous situer Foum Toub, Terga,Tamentit, In Guezzam, Guerara, l'Oued R'hir,ⵜⵉⵣⵉ ⵡⵣⵣⵓ, Makouda, Zelfana, Miliana ?
    Ne vous défilez pas, esssayez, cela vous fera connaitre votre Algérie et ses doux produits.

     

     

    •  

     

     

     

    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas

     


    votre commentaire
  •  

     

     

    Alger, Aéroport Houari Boumediène

    L'Aéroport Houari Boumediène

    A son arrivée de son lointain pays de résidence, Saâd-Eddine, l'un de mes enfants, trouva à son accueil trois générations: son père, ses frères, ses neveux et nièces dans un aéroport digne de ce nom à l'extension bientôt achevée. J'y ai retrouvé tout un échantillonnage de la société algérienne     - dans les 42 millions, recencement récent - et de joyeux enfants courant par-ci, par-là, montant et descendant les escalators. En comparaison, un éclair me transporta à ma prime jeunesse où nous étions souvent pieds nus et le ventre pas toujours rassasié.                                                              J'y ai vu aussi une centaine de petits enfants sahraouis accroupis et leurs moniteurs m'apprirent qu'ils allaient passer quelques jours au bord de mer, mer que beaucoup d'entre eux verront pour la première fois. Merci à mon pays pour sa généreuse hospitalité                                                         Et puis Saâd m'apprend que l'avion d'Air France en provenance de Paris était plein d'Européens, ce qui montre que notre pays redevient "fréquentable" , un signe rassurant...                                       Une belle journée !                       

     A propos de l'Aéroport Houari Boumediène

     

    J'étais président de l'Association des Parents d'élèves de l'Ecole Primaire Nasreddine Dinet         (ex-Maubourguet) de Miliana et nous organisions des sorties d'élèves en divers endroits pour découvertes pour beaucoup d'entre eux et susciter ou éveiller quelque vocation 

    La visite de la Tour de Contrôle de l'Aéroport Houari Boumediène d'Alger nous fut permise par son Directeur, mon ami Hamza Djéridane, et il fallait voir la curiosité et les questions de ces bambins aux Contrôleurs du Ciel que j'ai remerciés pour leur disponibilité.

    De là naquit le désir de l'un de mes enfants, Malik, pour le pilotage d'avion...et son entrée à l'Ecole d'Aviation de Tafraoui, près d'Oran. Après quoi, il fut envoyé en Angleterre, ACEG Anglo-Continental School of English à Bournemouth , où il résida chez l'habitant pour perfectionnement de son anglais. Au terme de ce séjour de 6 mois, il se retrouva en Hollande à l'Ecole Internationale de Pilotage NLS, National Luchtvaart  School à Maastrich d'où il ramena son diplôme de Pilote de Ligne.

    Et ainsi, il eut à transporter entre autres Yasser Arafat, Président de l'Autorité Palestinienne, le Président François Mitterand et son épouse vers Djanet et faire des recherches aériennes au Sahara pour retrouver le fils de Madame  Margaret Tatcher, Premier Ministre du Royaume-Uni, égaré dans l'immensité saharienne qui fut repéré et ainsi sauvé d'une mort certaine, sans parler de Chefs d'Etat et autres personnalités....                                                                                                                                           Et ainsi Malik parvint-il à réaliser ses désirs d'enfance...

     

     Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas

     


    1 commentaire
  •  

     

    Depuis le départ d'El Merhouma vers le Paradis, ces douceurs ont déserté ma table

     

    Confiture de cerises toujours en réserve prête à servir aux invités

     

    Pâte de coings (les coings de Miliana sont recherchés pour leur senteur) 

    Pâte de coings


     - et aussi les petites poires entières pochées en gardant la queue,
    -  la confiture de cerises entières en gardant la queue

    Demain rentre au pays pour courtes vacances l'ainé des enfants de la marhouma et à son retour il manquera dans ses bagages son habituel bocal de confiture de cerises qu'elle lui réservait spécialement.

    Anecdote:

    Un jour nous reçumes un architecte parisien et sa compagne venus à Miliana - aux frais d'un ami - pour l'implantation d'un stèle en l'honneur de la Révolution. Se trouvait aussi dans le plateau thé, café, petits gateaux, une assiette de confiture qu'ils trouvèrent à leur goût et demandèrent quel en était le composant et à el marhouma de répondre: "c'est de la confiture de carottes"

     

    Résultat de recherche d'images pour "petites poires avec queue"

     

    Le coeur perçoit ce que l'oel ne voit pas


    votre commentaire