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    Quand on est une femme, et de surcroît algérienne, les Yézidites, esclaves sexuelles des terroristes islamistes nous parlent avec un sentiment de soulagement et de peur.

     

    Soulagement : ils sont occupés ailleurs.

     

           Peur : ils reviendront un jour de Syrie      

    comme ils sont revenus d’Afghanistan avec un baril de pétrole qui risque de ne jamais remonter pour acheter la paix. Quand ils auront fini avec la dernière Yézidite, ils iront vers d’autres minorités jusqu’à ne trouver sur le «marché» que celles qui appartiennent à leur majorité. On ne sait pas combien d’Algériens sont là-bas. Emballé et sous vide, le pays échappe à toutes les statistiques. Seule l’annonce de la mort, l’élection d’un Rais, un attentat sanglant, un séisme à grande échelle, des inondations meurtrières lui permettront d’accéder à l’actualité. 3000 à 4000, le nombre estimé en Tunisie. Comment des jeunes peuvent sacrifier leur vie avant de la vivre. «Rien n’est plus douloureux qu’un cœur mort» dit le proverbe chinois. Traduction en arabe : Rien n’est plus modelable qu’un cœur mort. C’est en prison que des associations islamiques recrutent ces morts-vivants. La grâce présidentielle acquise à condition qu’ils acceptent de partir faire le djihad. La boîte de Pandore s’est ouverte, non pas durant le règne de Ben Ali, mais sous la présidence de Moncef Mazouki, défenseur mondialement connu des droits de l’Homme, auteur "Des Dictateurs en sursis et Arabes, si vous Parliez ?" Sérieusement, que serait devenue la Tunisie et son fameux prix Nobel de la Paix s’il avait refusé ?

     

    On ne dit jamais non à l’Arabie des Ibn Saoud qui importe esclaves sexuelles et djihadistes de n’importe quelle frontière. Seule l’Arabie saoudite peut dire non à environ un milliard et demi de musulmans à l’idée simplement d’une réflexion sur l’hécatombe chronique des bousculades des Lieux saints. Dans le Deuxième Sexe, concernant la reproduction des espèces, Simone de Beauvoir écrit : «L’espèce qui tient les femelles en esclavage punit le mâle qui prétend lui échapper : elle le supprime brutalement.» C’est le principe de la razzia. On le voit chez Daech qui tue d’abord les hommes pour s’accaparer des femmes de la communauté dite impie. Idem, pour les groupes islamistes algériens qui avant d’enlever les filles, massacraient toute la famille y compris les bébés qui pourraient plus tard se venger ou demander des comptes à l’Oumma dont ils sont censés appartenir depuis plus de 1400 ans. Seule différence c’est qu’une fois usées, les esclaves sont liquidées au lieu d’être vendues. Une légende raconte que Dieu, un jour, a voulu rendre visite à ses créatures : Adam, Eve et les enfants. Ces derniers poussaient au petit bonheur la chance, livrés à eux-mêmes du lever au coucher du soleil. La mère passait son temps à se prélasser, se faire belle, noyée dans ces futilités spécifiques à la gent féminine responsable du péché originel. Prise de panique et dans l’impossibilité de rendre présentable sa progéniture au complet, Eve en choisi quelques-uns pour les présenter au Tout-Puissant, pimpants et pomponnés tels de petits princes.

     

    Quant aux autres, la majorité, elle les enferma dans un immense hangar. Dieu fut tellement charmé à la vue des splendides bambins qu’Il décida d’offrir un cadeau à chacun : «Toi, tu seras un médecin. Toi, un avocat. Quant à toi, tu seras un artiste etc.» Prise de remord, la mère se précipita pour délivrer les autres en implorant : «et pour ceux-là ?» Réponse du Créateur : «Ceux-là, serviront les autres.» Puis les religions monothéistes sont venues avec l’homme au centre de la Terre, la Terre au centre de l’univers. Affirmant que tout est écrit. Leitmotiv sacré : celui qui n’est pas avec moi est contre moi. Puisque la femme n’est pas l’homme, elle est son ennemie. Contrairement aux religions primitives à plusieurs dieux où les contraires ne sont pas dans l’opposition, mais dans la complémentarité. C’est le cas de ces malchanceux Yézidites qui considèrent que le diable, Malek Taous, l’ange paon, ne s’est pas opposé à Dieu, mais veille sur la Création. Par prudence, ils reconnaissent le prophète de la Bible et du Coran avec une religion antérieure au christianisme de 4750 ans, de 990 pour le judaïsme et de 5329 ans pour l’Islam(1). Sous prétexte d’adorer Satan, l’EI (l’Etat islamique) élimine ces descendants de la Mésopotamie en triant les femmes à partir de 5 ans. «Ils cherchent à détruire ces femmes, à les réduire en esclavage, à leur laver le cerveau et à prendre le contrôle de leurs corps et de leur âme, au point qu’elles sont même forcées de prélever leur propre sang pour les transfusions sanguines des soldats blessés.» (2) Passage à tabac viols collectifs grossesses non désirées conversions forcées brisées psychologiquement pour les muer en mères dociles pour fortifier le califat…Ce peuple multimillénaire a connu persécutions et massacres dès le 13e.

     

    En 2007 en Irak, Al Quaïda en a tué 400 dans 4 attentats suicides simultanément parce qu’un garçon yézidi est tombé amoureux d’une fille musulmane(3). Ce qui explique leur nombre fort bas et leurs conditions de vie assez rudes. L’Algérie est infiniment mieux pourvue pourtant, elle a engendré des Yazidites en son sein moins d’une décennie après son fameux Code de la Famille qui n’a rien à voir normalement avec le Code de la Traite. Mortes pour la plupart après avoir endurées l’innommable. Les rares survivantes accueillies en lépreuses dans le pays des moudjahidates avec des maquis à l’ère du numérique. Dans les photos des disparus brandies par des mères, aucun visage féminin n’apparait ni avant ni après la Réconciliation nationale. Disparues telles des bêtes malfaisantes ou emmurées dans la folie, la déchéance et la haine de soi. Quand quelque chose ne va pas, on désigne automatiquement les femmes et les bourreaux ne sont que leurs propres frères dont le seul privilège est d’être les geôliers.

     

    Dans le livre : «Laissées pour Mortes»(4) le lynchage des femmes de Hassi Messaoud, on peut lire que le journal d’El Khabar en a fait illico des prostituées. Une lapidation de lettrés très efficace. Ahurissant quand on sait qu’au moment des faits juillet 2001, bon nombre de journalistes algériens de sexe masculin ont été tués suivant le même procédé : un prêche où seuls les mots furent adaptés au genre. «300 à 500 hommes se sont passé le message. L’expédition punitive ordonnée par l’imam d’El Haïcha, aurait lieu cette nuit…il leur avait enfin donné le feu vert. Depuis déjà bien longtemps, il pointait d’un doigt accusateur ces fornicatrices porteuses du sida et autres maladies. Elles s’emparaient du travail des hommes…elles attiraient la colère d’Allah… «Allahou akbar ! El Djihad fi sabil Allah ! Dieu est grand !...C’était le signal du départ…

     

    Les sangs bouillonnants, ils ont balancé des pneus enflammés au milieu de la route pour empêcher quiconque de venir à l’aide aux femmes. Au loin, un homme agitait une chemise grise à la main. Il les appelait. Tels des loups affamés, ils se sont rués vers leur première victime.» Si comme l’avait affirmé le journal arabophone, le métier de ces femmes était la prostitution et que d’après l’imam, elles avaient volé le travail des hommes, cela fait désordre chez les croyants. Surtout que le chef de l’Oumma, le président Bouteflika à l’époque avait envoyé de l’argent de sa propre poche avait précisé son messager, le ministre des Affaires maghrébines et africaines. 260000 dinars à repartir entre les 13 victimes qui avaient refusé de disparaitre sans laisser de trace. L’une d’elles a profité de la générosité présidentielle pour payer l’enterrement de sa mère victime d’un cancer. Cette dernière, avant de mourir, lui avait fait jurer sur le Coran de ne pas poursuivre en justice son frère ainé qui l’avait expulsée de la maison paternelle avec 3 enfants en bas âge… Il y a des «idiotes» qui ne prennent pas le boulot des hommes, mais sont forcées de le faire à leur place. Elles préfèrent l’enfer du Sud au paradis du Nord. «Vaste est la prison» écrivait Assia Djebbar. Au départ, la malchance. Pour finir par tout perdre : famille, santé, réputation, papiers avec gourbi saccagé brûlé...Une fois les caméras éteintes, la Régence d’Alger, spécialiste de la Rahma, a veillé à ne pas les laisser mourir de faim avec de gros sacs de lentilles, de pâtes et le fameux couffin du Ramadan. L’ironie du sort c’est que certaines auraient pu décrocher un bon travail tout près de chez elles et même un logement social si elles avaient accepté le droit de cuissage, condition souvent nécessaire et fort suffisante chez nous. Deux parmi une centaine ont osé témoigner, que sont devenues les autres ? Que sont devenues les survivantes des maquis islamistes ? Du point de vue de l’Islam, si elles étaient des prostituées, leur châtiment n’est pas le viol, mais la mort. Sans oublier le «cadeau souvenir» du siècle : le sida. Si elles ne l’étaient pas, le viol est une aberration dans une société hyper conservatrice et croyante où l’honneur de la tribu repose sur les épaules du sexe faible.

     

    Ironie du sort le père de l’une des victimes de Hassi Messaoud était imam. Il a fini par se suicider au lieu de tuer sa fille ou mieux faire un procès au journal ou à son collègue. Le pays est malade en s’obstinant à chercher la guérison dans l’amnésie à se demander pourquoi on continue à former des avocats des juges des procureurs là où un simple cadi ferait largement l’affaire. Quand la pression est trop forte, c’est plus facile de sombrer dans la violence totale que d’apprendre un brin de sagesse. L’esclavage sexuel n’a jamais été remis en question, pire on remarque que plus la société se modernise plus il prend de l’ampleur. Dans son livre référence «Les Batards de Voltaire», John Saul écrit que le capitalisme libéral a évolué sans la femme. Pour lui, elle ne compte pas.

     

    Quelle différence existe entre la prostitution et l’esclavage sexuel quand 90% des prostituées pour ne pas dire 100% bossent sous le contrôle de proxénètes dont les méthodes n’ont rien à envier à celles de Daech. Le plus vieux métier se révèle en ce 21e siècle le plus tenace des esclavages. Son industrie ne connait aucune crise au contraire. Dans les pays évolués qui n’ont pas de Code pour tenir en laisse leur sexe faible, la majorité des pauvres sont des femmes, la majorité des cas sociaux sont des femmes, la majorité des foyers monoparentaux sont des femmes, la majorité des chômeurs sont des femmes, la majorité des victimes de la violence sont des femmes…et aucune femme n’apparait dans le cercle des maitres du monde encore moins parmi le club des milliardaires ou le top des idoles. Pire, les plus grands couturiers sont des hommes et les plus grands cuisiniers de même. Que dire du monde arabo-musulman classé dernier dans le développement du facteur humain catégorie F. Sans jalousie, la catégorie M partage le même honneur.

     

    Le changement de pouvoir entre les hommes ne se fait que dans le sang et pendant ce temps-là, les femmes font des enfants pour compenser les pertes et effet de cage, s‘enflent. En Arabie Saoudite, une femme sur deux est obese. Le corps qui porte la vie est déjà bourré de toxines, cause de la plupart des maladies. Un corps malsain peut-il contenir un cerveau sain ? Un corps sain ferait-il peur ? «Les qualités qui valent à la femme les compliments et les bonnes grâces de l’homme sont celles du castrat : la timidité, l’embonpoint, la langueur, la délicatesse, la préciosité.»(5) La totale pour dénaturer une proie, la rendre plus facile tout en cherchant à la protéger. Une petite fille a raté son bus pour rentrer à la maison. Prise de panique, elle téléphona à sa maman avec l’argent qui lui aurait permis de prendre le bus suivant. Cette dernière, n’ayant pas de voiture, lui conseilla de rentrer à pieds. En cours de route, un individu tout sourire l’aborda avant de la violer et de l’étrangler…Un fait divers en Occident.

     

    Dans le monde arabo-musulman, une fillette obligée de prendre le bus seule pour aller à son école, a de fortes chances de ne jamais être scolarisée. En plus le violeur n’est pas obligée de la faire taire en la tuant, très tôt on apprend à sa victime que le viol est pire que la mort ... Apparemment, l’Algérienne jouit de plus de liberté que sa «sœur» la Saoudienne, mais ce n’est pas facile de dire laquelle envie l’autre. En moins d’une décennie, la femme en Algérie a changé, en moins d’une génération, elle a chevauché les extrêmes. Cette accélération aurait mis au moins 1000 ans pour se réaliser dans une société évoluant normalement. Un traumatisme sociétal. Pour une esclave sexuelle au maquis combien sont-elles à être «éduquées» à distance par la terreur de subir le même sort ? Pourquoi s’étonner du voile généralisé, de l’argent primant sur l’amour, de la prostitution, de la polygamie qui n’épargne même pas l’université, pourquoi s’étonner de voir des fillettes momifiées à 5 ans et déjà en surpoids ; pourquoi s’étonner que les femmes de 2015 semblent appartenir à une autre espèce comparées à celles de 1990, que dire de celles des indigènes de 1962 descendues tout droit de l’ancêtre du singe ?

     

    Dans les camps de réfugiés, de riches cheikhs inventent des «organisations humanitaires» grâce au mariage de jouissance avec des Irakiennes des Syriennes à peine sorties de l’enfance vendues par des parents abrutis par leurs souffrances. Sont-ils plus humains que les esclavagistes ? En Algérie, si on n’importe pas l’esclave sexuelle, on la fabrique et pourquoi pas l’exporter sous le couvert classique de la domestique. Le Code de la Famille ne donne le choix à la femme qu’entre la soumission la mendicité ou la prostitution. La veille du lynchage au quartier d’Al Haïcha, la bête, qui porte bien son nom, un jeune voisin inquiet avait proposé l’hospitalité à l’une des victimes. Cette derrière avait refusé malgré elle : «Hassi Messaoud et ses bases pétrolières sont la zone la plus sécurisée d’Algérie. Le terrorisme n’arrivera jamais jusqu’ici…et puis si la police débarquait chez lui à ce moment-là…sous prétexte de veiller aux bonnes mœurs…on embarquait les couples non mariés et on les traduisait en justice. Sur simple dénonciation d’un voisin…» Des travailleuses exploitées en plus par le système de la sous-traitance qui leur enlève une bonne partie de leur salaires de femmes de ménage dans un pays où la misère sexuelle est entretenue par la famille l’imam le maire le juge le wali et le Rais. Dès l’Indépendance, on a interdit les maisons closes pour les rendre invisibles. Comment obliger des femmes normales en sus auréolées du prestige de la guerre de libération à vendre leur corps. Vendre leur chair au rabais après avoir défendu chèrement leur peau face à l’une des plus puissantes armées du monde. Le gouvernement a fait la chasse aux couples illégitimes où seule la femme surprise est fichée comme professionnelle du vice. Comme le crime d’honneur, la lapidation qui ne concernent que le sexe faible.

     

    Le Japon a demandé pardon au sujet des esclaves sexuelles qu’il a utilisé dans son armée au cours de la guerre mondiale. En tant de guerre, il a suivi la voie classique, puiser les «geishas» dans les pays vaincus. La Turquie est géographiquement bien placée pour se fournir en esclaves sexuelles et servir de plaque tournante de la prostitution sans inquiéter les femmes turques. Les naïves filles de l’Est issues de pays «ratés» comme l’Ukraine, le pays des Femen, tombent facilement dans le piège des annonces fictives qui assurent un travail honnête et en toute sécurité à l’étranger. Sans aucune razzia, on assure le cheptel. «Rien n’existe qui ne soit le fait de l’homme, ni pensée, ni parole, ni mot. Rien n’existe encore qui ne soit le fait de l’homme ; pas même moi. Surtout pas moi. ..Du temps où Dieu parlait, la Vérité ne sortait que de sa bouche. Depuis que Dieu s’est tu, les hommes ont pris le relais… La Vérité peut sortir de n’importe où. Pourvu que certains parlent et les autres se taisent.» Parole de femme, d’Annie Leclerc, une féministe désenchantée dans la France de 1974. Pendant ce temps-là, en Algérie, quelques hommes réfléchissaient au fameux Code de la Famille de 1984 qui a donné officiellement à la femme algérienne le statut de débile à vie. On sait que les sociétés primitives depuis la nuit des temps pendant des millénaires n’ont pas été perturbées par les problèmes du genre. Les premiers graffitis, dessins représentaient des femmes, les premiers dieux étaient des déesses. C’est plus tard avec la sédentarisation, l’apparition de l’argent que le dieu est apparu au côté de la déesse avant de la faire disparaitre avec l’avènement des religions monothéistes. Résultat, tout va mal, tout a empiré pour les hommes et les femmes, à l’ère de la mondialisation, la civilisation monothéiste laïque ou athée semble synonyme de fin du monde. De nos jours, c’est aux USA, au Canada, en Belgique, en Allemagne…que les citoyens les plus avertis s’organisent reviennent à la nature à la tribu primitive. Au savoir archaïque, aux aliments bios et mettre le plus de distance avec le leurre des institutions modernes. Ils aspirent à la communauté primaire de l’entraide de la fraternité afin de retrouver le zen qu’ils ont perdu. Dans son livre «La sexualité et sa répression», B. Malinowski, premier ethnologue à avoir appliqué l’analyse psychologique à l’étude des primitifs écrit : «…dans toutes les circonstances où la présence du père et de la mère sont d’une nécessité vitale, essentielle pour les enfants, la parenté est ramenée à l’un et à l’autre.

     

    L’institution même de la famille, en tant qu’elle comporte toujours deux progénitures et s’attache l’enfant par un double lien, constitue le point de départ de la double généalogie.» On a tout en double, les yeux, les oreilles, deux mâchoires, deux poumons, deux reins… un cerveau à deux parties un cœur aussi…Un plus un c’est plus riche et moins fatigant que l’un contre l’autre surtout que la Nature ne fait jamais de doublon pour rien. Or la plupart des victimes de Hassi-Messaoud ont été abandonné dès l’enfance sinon au berceau par un père souvent polygame, volage ou violent. Persécutées par des frères misogynes avec la complicité, l’impuissance de la mère. Une manne intarissable pour la traite des femmes… Grâce à la psychologie expérimentale on sait comment faire des tueurs en série c'est-à-dire des terroristes comment faire des prostituées, des esclaves sexuelles, comment faire des zombies, des détraqués, des délinquants, des drogués, des ivrognes, des obèses, des suicidaires à petit feu, des manipulés en manque du berceau à la tombe. Les Américains qui sont forts dans ce genre d’expériences devraient se pencher sur ce Terminator de Daech. Expliquer comment des énergumènes incapables d’aligner quelques mots pour une phrase niveau préscolaire, tiennent tête à une coalition internationale pourvue de satellites capables d‘ espionner les milliards d’êtres humains animaux compris et tout le système solaire avec sa poussière cosmique et ses météorites baladeurs. De simples marionnettes droguées et téléguidées par des gourous pas plus alphabétisés qui ont saccagé l’héritage d’un Ibn Sina et d’un Ibn Roch qui ne revendiquaient que le droit à la réflexion avant la décapitation. Seuls les Kurdes, les sans-pays, secondés par leurs femmes leur ont résisté. C’est vrai que là où il y a des hommes libres, on trouve forcément des femmes libres.

     

    Mimi Massiva

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    L'Algérie des records

    La ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication,
    Houda-Imane Faraoun Houda Imane Faraoun est née le 16 juin 1979 et a grandi à
    Sidi Bel Abbès, à l'Ouest du pays. Elle a mené une enfance tranquille dans une fratrie
    de quatre enfants. Après avoir obtenu son baccalauréat en sciences exactes, en 1995,
    au lycée Si El Haouès de Sidi Bel Abbès, alors qu'elle n'était âgée que de seize ans,
    elle s'inscrit à l'université Djillali Liabes de Sidi Bel Abbès où elle décroche un DES
    en physique en 1999 ; cette réussite l'incite à poursuivre ses études dans le même domaine.
    C’est ainsi qu’elle soutient en 2001 son magistère, toujours en physique de l’état solide,
    avec la mention très honorable. Elle continue sa spécialité en s'inscrivant en doctorat
    dans la même université, pour développer un travail théorique sur les méthodes
    de simulation des métaux et leurs alliages. 

     

    Avec une moyenne de 75,6 ans, les Algériens ont
    la meilleure espérance de vie du continent africain. 
    Les Algériens vivent en moyenne 75,6 ans. 
    C’est du moins ce qu’indiquent les statistiques de
    ce mois de mai publiées par l’Organisation mondiale
    de la santé (OMS). Cette dernière classe les Algériens
    comme étant le peuple qui a la meilleure espérance
    de vie du continent africain

     

     

    En nommant Boualem Bessaïeh (86 ans) ministre d'état,
    l'Algérie fait une seconde entrée très remarquée dans le
    livre Guiness des records, après celle de Abdelaziz Bouteflika,
    nommé ministre des affaires étrangères en 1963 à l'âge de 26 ans.
    (Certainement le plus jeune au monde à cette époque-là)

     

                       

     

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     Foot-Ball et 

    anecdotes

     

    L'un de mes amis, après avoir raccroché ses crampons de foot-ball, voulut rester dans le même domaine et se consacrer à l'arbitrage au foot-ball où il avait excellé. Il jouait à l'époque au centre de la défense du SC MILIANA - arrière central alors - et avait une renommée régionale tant il "éteignait" son adversaire direct.
    Etant encore nouveau dans l'arbitrage, on lui confiait la direction de petites équipes et il officiait dans les environs de MILIANA. Et c'est ainsi qu'il fut amené à arbitrer une rencontre au stade de KHEMIS-MILIANA qui se jouait en ouverture d'un match de plus haut niveau opposant l'équipe locale (SKAF) à une formation d'Alger.
    C'est dans un stade plein comme un oeuf que la partie débuta. A un moment donné, mon ami, donc Mr l'Arbitre, voulant faire une remontrance à l'un des joueurs, lui intima l'ordre d'un geste menaçant, de venir vers lui. Craignant, je ne sais quoi, ce joueur détala à toute vitesse s'éloignant d'un danger imminent.

     

                         storybild                  Le 9 juillet 2006, en finale de la Coupe du Monde de football, Zinédine Zidane avait répondu à une provocation de Marco Materazzi par un coup de tête qui lui a valu l'expulsion.
     
    Et c'est alors que Mr l'Arbitre, oubliant que souvent se sont les joueurs qui lui courrent derrière pour l'agresser en contestation d'une décision qu'ils jugent en leur défaveur, Mr l'Arbitre donc, se mit à courir derrière le fuyard ! Et ils firent ainsi deux tours de stade l'un essayant de rattrapper l'autre, jusqu'à ce que les autres joueurs s'interposent pour mettre fin à cette course-poursuite...et aux rires des spectateurs !


    Cette anecdote nous fit bien rire lorsque je la racontais à un autre ami commun, lui aussi footballeur à TENES et Secrétaire Général de la commune de Ténès.

     

              
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    Il me gratifia à son tour d'une histoire qui s'est passée sur le même stade de KHEMIS-MILIANA opposant TENES au SKAF local.
    Auparavant, il me rappela la légende, connue dans la région et spécialement à Miliana, celle de Sidi Ahmed Benyoucef, Saint Patron de MILIANA. Invité à TENES, ses hôtes voulurent tester son pouvoir surnaturel et ce fut avec de la viande de chat qu'ils garnirent le couscous de leur invité. En se mettant à table, Sidi Ahmed Benyoucef s'en apperçut. Il dit "Essab" (manière de chasser le chat) et le chat détala de dessus le couscous...
    L'arbitre allait donc siffler le début de la rencontre SKAF - TENES lorsque, pour destabiliser l'équipe de TENES, un grand nombre de chats furent lâchés en plein terrain de jeu par les supporters du SKAF.
    Et de voir Mohamed et ses coéquipiers courir derrière eux pour les chasser hors du terrain...
    ESSAB, essab, ESSAB, essab.....
     
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  • Photo de Mohamed Benrabah.
    Photo d'une rue de Miliana avec au fond les monts du Zaccar
     
     Cette photo m'a servi d'illustration de l'anecdote avec au fond le Zaccar
     
    Pendant notre guerre de Libération, Il y avait une infirmerie de l'ALN implantée dans le Zaccar dont Dr Ysmail Dahlouk Mahfoud en fut responsable un temps. Et dans cette infirmerie, il y avait un blessé,le Chahid Capitaine Si Tahar Bouchareb, de Laghouat dont je suis originaire, qui avait déserté du lycée de Médéa.Il m'envoya un jour un ittisal, Sidi Aïssa, pour me saluer et me dire de lui faire parvenir un kaabouche fait à Laghouat dont il avait la nostalgie.
    Un kaabouche est une pâtisserie faite de semoule grillée, dhane - beurre, dattes et miel en forme de cône et de très longue conservation. Les Moudjahidine sahariens en faisaient leur "mouna" .Cette demande m'est restée en travers de la gorge car je n'ai pu la satisfaire alors. Et le Chahid Capitaine Si Tahar Bouchareb avait pour père un ami du mien.Lahoum tous Errahma.
     
     

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    Cette histoire que j'ai traduite approximativement de l'arabe:

     

     Les aleas de la vie:

     

     Photo de ‎هانى صالح‎.

     

    Un homme et sa femme sont autour de la table en train de déjeûner                                         quant on tapa à la porte.

     - Qui est-ce?

     - Un mendiant

     La femme veut lui donner un peu de poulet mais le mari s'opposa                                                  "Non, Non" et alla renvoyer ce mendiant de devant sa porte !

     Et puis...Des jours passèrent et appauvrirent ce couple au point où                                                  le mari se sépara de son épouse qui se remaria.Et un jour, alors                                                 qu'elle déjeunait avec son nouvel époux, on tapa à leur porte.

     - Qui est-ce ?

     - Un mendiant

     L'homme dit à la femme de lui donner un poulet entier !

     Elle s'exécuta et revint les larmes aux yeux !

     - Tu sais qui est ce mendiant ?

     - Non, répondit-il

     - C'est mon premier mari !!!

     Et le mari de lui poser cette question:

     -Sais-tu qui je suis ?

     - Non

     - J'étais le premier mendiant !!!

      

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