• Traverser la vie...

     

     

     

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     Il parait que les juifs ont déposé une plainte à l'ONU
     pour que les arabes leur rendent leur tayhoudite, leur juiverie...
    Cette ONU si tolérante et permissive envers Israel
    si ignorante à l'égard du massacre des PALESTINIENS colonisés...
     
     
     
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    L'Amitié, ce sentiment à géométrie variable
    Un grand débat que celui traitant de l'Amitié !

    Et tout d'abord, qu'est-ce que l'amitié ?
    Avez-vous été largué par un ami et en avez-vous fait de même?
    Vous en sentez-vous libéré ou le regrettez-vous?
    Peut-on vivre sans amitié ?
    Qu'apporte t-elle ?
    Peut-on, doit-on, avoir beaucoup d'amis ou en limiter le nombre ? Comment entretenir une amitié ?
    Vous liez-vous facilement ou après une longue période d'observation ?
    Avez-vous cherché une fois à  réactiver, réanimer une amitié moribonde ? Pourquoi ?
    L'amitié des animaux est-elle plus solide que celle des humains ? 

     

     
    Raconte, ô conteur, raconte-nous ya Kheira Dahmani
    Raconte une histoire, qu'elle soit une légende.
    Parle-nous des gens d'antan, de Loundja, la fille du Sultan , de l'ogresse.
    Remets-nous dans le sans soucis de notre enfance
     
     

    Deglet Nour

    Deglet Nour fidèle à la légende :
    c'est-à-dire exceptionnelle !
    Deglet Nour signifie « doigt de lumière » ,
    une datte très savoureuse, moelleuse, claire, translucide.
    On aperçoit le noyau au centre du fruit.

      
     
    Je voudrais tant, avant que de part, voir l'Algérie retrouver
    la Paix, la Santé, la Consorde, la Soldarité, l'Amitié, le Bonheur
    et que les coeurs s'attendrissent et se lient d'amitié. Et que chaque Algérien reçoive ses amis dans une demeure à leur hauteur
     
     
     
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    Emouvante lettre de Hassiba Benbouali (1938-1957) à ses parents dont elle se languit étant dans la clandestinité pour la libération du pays.Elle est née le 18 janvier 1938 à Orléansville (aujourd'hui Chlef), son père, médecin de profession, est originaire de Chlef, sa mère de Kabylie, la famille Nait Saada.  Elle adhère au scoutisme et ses voyages à travers l'Europe lui permettent de découvrir la misère du peuple algérien en exil. En 1954 à 16 ans, elle intègre l'Union générale des étudiants musulmans algériens, premier pas de son engagement nationaliste qui durera jusqu'à sa mort durant la bataille d'Alger.

    Mes très chers parents

    Je viens d’avoir vaguement de vos nouvelles par la mère du frère «Si Abderezak». Il paraît que vous allez bien. Je l’espère de tout mon cœur. Voilà près de 9 mois que nous n’avons pu communiquer. Je me faisais un mauvais sang de tous les diables. Car je savais que vous étiez très ennuyés à cause de moi; que la police ne sortait plus de la maison et il m’était impossible de vous écrire ou de vous envoyer qui que ce soit. J’aimerai tellement vous revoir, je vous ai terriblement languis, il ne se passe pas un jour où je ne pense à vous. Presque chaque nuit je rêve de vous.

    Nous avons eu des moments très difficiles et même maintenant ça ne marche pas comme sur des roulettes, mais enfin cela ne fait rien nous sommes pleins de bonne volonté et des frères meurent tous les jours pour conduire leur pays à la liberté.

    J’ai entendu que vous aviez déménagé, cela m’étonne, mais enfin c’est très possible je serai bien curieuse de savoir où vous habitez maintenant et comment est votre nouvelle maison. Une chose pourtant m’ennuie, je ne peux plus vous imaginer vivre comme je le faisais avant. Je me dis toujours: «Tiens en ce moment ils sont à table» et je vous revois chacun à sa place. Lala et Tata Zahia avec vous bien sûr car elles n’ont pas où aller étant dit que mes deux oncles sont en dehors de l’Algérie. Au fait, avez-vous de leurs nouvelles? Vous-écrivent-ils? C’est terrible comme la famille nous manque quand on est loin d’elle.

    Vous savez que je suis très recherchée ici à Alger donc il m’est impossible de rien faire. Aussi ai – je décidé enfin, il est de mon devoir de partir au maquis où je sais que je pourrais servir comme infirmière ou même s’il le faut et je l’espère de tout mon cœur combattre les armes à la main, enfin la route sera bien sûr assez difficile pour arriver jusqu’à un maquis, mais j’espère qu’avec l’aide de Dieu j’arriverai saine et sauve.

    Ne vous en faites surtout pas pour moi, il faut penser aux petits qui vont bientôt reprendre l’école et qui j’espère travailleront bien. Vous ne pouvez vous imaginer combien ils me manquent, en effet voici un an que je ne les ai vus ils ont dû grandir surtout mon petit Mohamed, est – il aussi méchant? parle-t-il quelquefois de moi, ou bien m’ont-ils oublié et la concierge toujours aussi bavarde? Setty maintenant je crois que je ne la reconnaîtrai peut-être pas, c’est une vraie jeune fille. J’aimerai avoir leurs photos et la vôtre aussi. Ainsi, il me semblera porter avec moi en mon coeur toute ma famille.

    J’aimerai beaucoup vous voir avant de partir. Je ne sais pas si je pourrai, mais sachez que je ferai mon possible car une fois au maquis vous n’aurez que très peu ou rarement de mes nouvelles, bientôt Inch’Allah nous serons tous réunis mais peut-être ou si la mort nous arrache à la vie nous nous rencontrerons chez notre Dieu. Si je meurs vous ne devez pas me pleurer, je serai morte heureuse je vous le certifie. Enfin, il n’en est pas question, mais on ne sait jamais c’est si vite arrivé surtout dans la vie que je mène.

    Enfin, bref tâchez de m’indiquer une adresse sûre où je pourrais vous écrire il le faut absolument quant à vous répondez – moi par la personne qui vous apportera cette lettre. Enfin chers parents j’espère que avez reçu les lettres que j’ai écrites à Tata Sakina. Je ferai tout mon possible pour vous voir avant de partir mais je ne sais pas s’il faut beaucoup y compter. Enfin tâchez de m’envoyer les photos que je vous demande. Je vous embrasse tous très très fort. Lala et Tata surtout qui doivent beaucoup penser à leur petite fille et vous mes parents adorés, il n’est pas de mots pour vous exprimer mon affection. Mille baisers Votre fille qui vous aime.Hassiba .exprimer mon affection. Mille baisers Votre fille qui vous aime.Hassiba .

     
     
    Chahid du combat pour la liberté de l'Algérie:
    Un Algérien, mathématicien et patriote : Maurice Audin
    Qui ne connaît pas la Place Maurice Audin, à Alger ?
    Mais qui connaît Maurice Audin ?
    Josette et Maurice étaient très, très beaux
    Maurice Audin sera soumis à des techniques de tortures, décrites avec précision par Henri Alleg. Ensuite et selon le général Aussaresses, il sera « étranglé des mains ...du lieutenant Charbonnier, devenu fou de colère… » À son arrestation, le capitaine Devis avait dit à Josette Audin "Votre mari reviendra dans une heure, s’il est raisonnable." Donc Audin est assassiné, son corps jamais rendu aux siens. Audin a 25 ans, marié, père de trois enfants, fils de militaire, mathématicien, bientôt professeur des universités. Errahma lah.  
     
     
     
     

    L'Algérie, mon beau pays

    Je me rappelle cette nuit d'orage

    Entouré de mon père et de ma mère
    En exil dès mon jeune âge
    J'ai préparé mes affaires
    Pour mon premier voyage
    M'exiler au-delà des mers
    Je revois d'ici mon village
    Et tous ceux qui me sont très chers
    Pour moi ce paysage
    Est le préféré de la Terre
     
     
     
     
     
     
    Meriem a dit : des cerises en boucles d'oreilles, quelle fille de Miliana
    n'en a pas porté avant de les croquer. Et les confitures de cerises qu'on
    réservait à nos invités. je me souviens aussi que nous tressions des colliers
    de jasmin que nous offrions à notre grand'mère Mimi
     
     
     
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    El Haik
    Je n'ai pas eu de filles mais des soeurs,
     des brus et de nombreuses petites filles
     Je ne suis ni pour ni contre le port du voile
     mais pour la liberté de le porter ou non
     
     
    Essadane, les "inviteuses"
    Cela faisait intime. On sonne, on ouvre, on fait entrer "moulat" "essadane",
    on s'embrasse, on fait l'invitation orale, "on sucre", on parfume. Parfois,
    elles étaient deux ou plus pour le faire et repartir, mission accomplie.
    Les traditions du mariage, rappellent aussi que jadis, au temps où les moyens
    de communication étaient inexistants, on recrutait des femmes dites « sèdna »
    pour faire passer les invitations à travers les différents quartiers de la ville.
     
     
     
    Elles noublient pas, nous, non plus..Ni oubli, ni pardon.
    Elles étaient jeunes alors et ces "Femmes Courage",
    El Fahlate, paginent une dizaine d'années de terrorisme où
    beaucoup d'entre nous avions perdu un parent, un ami,
    un ALGERIEN, un invité étranger.
    Au sortir de chez nous ou en prenant la route,
    nous récitions la Chahada au cas de non retour.
     
      
     


    Mohamed Hadj Aissa, Kad Benbahaz, Mohamed Hebboul
    et bien d'autres esseulés à la perte de leurs épouses

    "Et moi, je pleure parce que la mort, c'est pas marrant.
     Parce que la mort, c'est dégoûtant, parce que la mort, ça te prend tout.
     Ça te laisse comme une loque, ça plonge ta vie dans la boue
     Et ça te noie et ça te bloque, ça te rend vieux, ça te rend fou
     Et moi, je pleure, même que le jour où je mourrai
     S'il est encore quelqu'un qui m'aime, je voudrais qu'il vienne pleurer."
     Et moi, je pleure...
     
     
     
     
    On dit de lui qu'il est le premier algérien écrivain. Mohamed ben si Ahmed ben Sidi Chérif (16 février 1879-21 mars 1921) était un fils de grande tente de la région de Djelfa
    Dans l'un de ses livres, on peut relever:    
        "Il parait, l'interrompt une jolie femme blonde, que chez vous, monsieur, on mange des sauterelles et qu’on fait sa prière sur les terrasses ! "
     - Qui vous a dit cela Madame ?
     - Mais je l’ai, je crois bien, lu dans Tartarin de Tarascon ,
     - On prétend même, interroge une autre, que les arabes ont l’hospitalité si généreuse qu ils offrent tout, et, rougissant un peu, elle ajoute: même leurs femmes à l’hôte qui ils reçoivent..Pourtant vos femmes sont voilées et enfermées..
      - Vous ignorez tout de notre mentalité, les colons, qui exploitent mon pays font du sensationnel et déforment la réalité. Ils divisent mon peuple et lui inventent des fables. Nos épouses arabes, si on leur offrait de partager ce qui fait votre joie, madame, vos élans vers l’intellectualité masculine, votre souci constant et si charmant d’une vie plus active, plus agitée, elles vous répondraient que, seules suffisent à leur bonheur la satisfaction du mari et les joies de la famille.
     
     
     
     
     
    Khaled : un braiement désagréable...
    Hihan, hihan, hihan ou quand les ânes braient
    « Au Maroc, je suis dans mon pays », a martelé Khaled, qui a toujours du mal à s’exprimer. « Je ne suis pas un attardé », s’est-il défendu traitant ses concitoyens – algériens – de « parasites » et de « grandes-gueules » qui « aboient du matin au soir ». Khaled enchaîne en avouant son « grand amour » pour « sidna ...» (notre maître, ndlr) qui est « adulé autant que moi par tout le peuple marocain ». (prétentieux ! hmar, tu es, âne tu resteras pour toujours...)                                                       Hadj Belguer :Comparer cet idiot à un âne est une insulte pour ce dernier. J'ai vu un documentaire ou le général GIAP faisait ( comme certains moudjahidines chez nous ) l'éloge des ânes et affirmait qu'il ( âne) très utile pour le transport d'armes qui avaient libéré DIEN BEIN FU
     
     
     
    Salim Halali,
    le juif algérien sauvé par le Recteur de la Grande Mosquée de Paris des mains de la gestapo.           En 1940, alors que Paris était sous occupatio...n allemande, le fondateur et recteur de la Grande Mosquée de Paris, Si Kaddour Benghebrit, parent de l’actuelle ministre de l’Éducation nationale, parvint à dissimuler les origines juives de Salim Hallali en expliquant aux agents de la Gestapo qu’il était musulman. Benghebrit engage alors le jeune Salim dans le café maure de la mosquée pour se produire avec des artistes de renommée, comme Ali Sriti.  
     
     
     
    Pareil à la fleur, l'homme s'épanouit et se fane, à devenir comme son ombre.
    Ne détournons pas le regard de la main tendue de notre semblable qui espère
    un petit secours. Vous est-il arrivé de vous jalouser devant votre belle assiette
    à la pensée de ces gens-là ? Eux qui font Ramadhan de tout, toute l'année...
     
       
    La transparence
     
     
    Vous souvient-il du vitrier ?
    Vitrier ! Vitrier !...nostalgie d'une utilité disparue...
    Sur son dos, une impressionnante cargaison de vitres rangées dans une espèce de cadre en bois !     Il passait dans les rues des villes... Et pour attirer l'attention, il criait: Vitrier!....Vitrier!....
     
    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
     

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