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    Photo de Farid Ouali.

     

     

     

    La Smala de l'Emir Abdelkader

     

     Miliana,l'Horloge, Place Emir Khaled

     

    Coeur de galets.Oui, même nos galets ont du coeur et vous attendent...

    Photo de Nina Imé.

    Photo de Ramdane Ramdane Meziane.

     

     

    Pour les envieux qui meurrent de rage

    Photo de Ramdane Ramdane Meziane.   Photo de Noureddine Meguireche.

    Photo de Becissa Said.

    Photo de Noureddine Meguireche.    Photo de ‎الجزائر كما لم ترها من قبل‎.

     

    Il y a ceux qui connaissent notre pays mieux que nous

    Un adage dit :

    le premier thé est amer comme la vie »,

    le second est fort comme l’amour »

    et le troisième est doux comme la mort ».

    Futur ingénieur en infrastructures

     

    Photo de Berkoud Belaid.

    Et il fera appel à ce futur topographe bien équipé, jusqu'au stylo

    Photo de Sameh Amine.      Photo de Abdelkader Dib.

     Tous les chemins mènent à ....................Alger

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

        

    Maurice Audin mort pour son Algérie

     

      Préservons l'intégralité de notre pays, le plus beau du monde

    Photo de Club de français ( FLE ).

     

     

    Photo de ‎هدُوء‎.

    Tous les chemins mènent ... à Alger

    Photo de Hamza Koliai. 

     

     

     

    Photo de Fadila Chouiter.

    Photo de Rama Bouk.Mme Veuve Abane Ramdane

     

    Photo de Sameh Amine.
     
    ekladata.com
     

    Salle de bain

    Photo de Arbi Abdelouahab.

     

     

     

     

    Les mûres  (Ettout)  de toutes couleurs dont les arbres semblent en déperdition

     
    Photo de Noureddine Meguireche.

     

     

    Ce qui est le plus cher pour l'Arabe : sa femme, son cheval et son fusil.

    Mais dans quel ordre ?

     

     

     

     

    Lire    http://hebboul.over-blog.com/2016/04/l-auresienne.html

     

     

     

    Couscous, plat national

     

     

    Photo de Oum El Bouaghi La Perle.

     

     

     

    Equipe nationale de Foot-ball.

    A quand les équipes mixtes comme chez nous ?

    Photo de Buud Oucha.

     

    Amel, la Soprano, Elle porte loin son excetionnelle voix.Et c'est la voix miliano-algéroise....Une voix ambassadatrice très écoutée.

     

     

     

    Photo de Noureddine Meguireche.

    La liesse en transport

     

    Ils ont fait leur devoir, prenons la suite

     

     

    Et mérité leur merdoud

     

     

    La Cathédrale d'Alger, appelée "Madame l'Afrique" 

     

     

     

     

     

    Giacomo Molinari à Laghouat  

     Lors de la conquête de l'Algérie,la ville de Laghouat (al Aghwât) représentait un point stratégique,car en tant que porte du Sahara,elle pouvait servir comme base pour une expansion ultérieure vers le sud.Laghouat fut conquise après de durs combats,en 1852.Le général Du Barail,commandant de la place,fit débarrasser les gravats de la ville et, sans attendre les directives du gouverneur général de l'Algérie,ordonna que l'on récupère briques et pierres afin de construire les édifices nécessaires à l'exercice de l'administration.

    Pendant la reconstruction de la ville,on procéda aussi à l'édification de la grande mosquée de El-Saffeh,qui commença en 1853,année ou arrivèrent de Lombardie Vénétie,sept maçons italiens. L'un d'eux aurait donné son propre nom à ce lieu de culte, qu'on nomme encore de nos jours:la mosquée de "Mouninar". "Mouninar" était Giacomo Molinari. Lorsqu'il arriva à Laghouat,il avait 39 ans,et avait une formation d'architecte. C'est lui qui conduisit les travaux.Il était né le 28 août 1814 à Cavagnano (aujourd'hui province de Varese) de Giovani Molinari et Giuseppa Bianchi. Il fut baptisé,sous le nom de Giacomo ,dans l'église de Sant'Ambrogio di Cuasso al monte. Une fois la construction de la mosquée achevée, le groupe de maçons italiens quitta Laghouat,à l'exception de Giacomo Molinari qui resta et se convertit à l'islam,prenant le prénom d'Ahmed. Nous ne savons pas la date exacte ni les circonstances de sa conversion,mais il est incontestable qu'il s'intégra parfaitement à la population et aux coutumes musulmanes. Il épousa une femme de la tribu de Sidi Bouzid avec qui il eut quatre enfants:un garçon (Mohammed) et trois filles.

    Un jour alors que j'étais à Nice et que je rencontrais un ami de Laghouat, je lui avais demandé des nouvelles de Santana Zenou, épouse Mardochée, mère de mes copains d'enfance Jeanne et Coco. Il m'apprit que Santana était décédée et qu'elle avait dit à ses enfants : "Quand je mourrai, je voudrais être enterrée à Laghouat et que l'on m'accompagne au cimetière aux chants d'El Quadria", psaumes récités sur le chemin du cimetière.Voulait-elle embrasser la religion musulmne ?

     Son mari Mardochée Zenou,ferblantier, à l'Indépendance était membre de la Kasma FLN de Laghouat pour participation à la Révolution.

    En 1962, au moment de baptiser l’Avenue du Premier Novembre,
    Zenou Mardochée présent à la cérémonie et en présence d’un nombre important de citoyens a déclaré :

    "Mes ancêtres, les juifs de Laghouat,en 1852 ont assisté à la création, ou plus exactement à l’ouverture de l’Avenue Cassaigne et au scellement de la plaque portant le nom du Enfin, après plus d’un siècle, exactement en 1962,je dirai à mes aïeux,votre progéniture, en la personne de Zenou Mardoché aprocédé à l’enlèvement de la plaque portant le nom du général Cassaigne,pour la remplacer par celle de l’Avenue du 1er novembre."

      


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      Aux Etats-Unis, une ville porte le nom de l'Emir. La ville d'El Kader (1 500 habitants) se trouve aux Etats-Unis d'Amérique, dans l'Etat de l'Iowa. Elle est jumelée à la ville de Mascara depuis 1984. C'est en 1846, lorsque l'Emir Abd El Kader combattait l'envahisseur français depuis déjà 16 longues années, que trois Américains, John Thompson, Timothy Davis et Chester Sage décidèrent de nommer leur petit campement El Kader, pour rendre hommage à la bravoure devenue légendaire, à l'esprit chevaleresque et à la grandeur d'âme de l'Emir Abdelkader.

     

    C'était l'Eglise St Sulpice de Laghouat

    Giacomo Molinari à Laghouat  

     Lors de la conquête de l'Algérie,la ville de Laghouat (al Aghwât) représentait un point stratégique,car en tant que porte du Sahara,elle pouvait servir comme base pour une expansion ultérieure vers le sud.Laghouat fut conquise après de durs combats,en 1852.Le général Du Barail,commandant de la place,fit débarrasser les gravats de la ville et, sans attendre les directives du gouverneur général de l'Algérie,ordonna que l'on récupère briques et pierres afin de construire les édifices nécessaires à l'exercice de l'administration.

    Pendant la reconstruction de la ville,on procéda aussi à l'édification de la grande mosquée de El-Saffeh,qui commença en 1853,année ou arrivèrent de Lombardie Vénétie,sept maçons italiens. L'un d'eux aurait donné son propre nom à ce lieu de culte, qu'on nomme encore de nos jours:la mosquée de "Mouninar". "Mouninar" était Giacomo Molinari. Lorsqu'il arriva à Laghouat,il avait 39 ans,et avait une formation d'architecte. C'est lui qui conduisit les travaux.Il était né le 28 août 1814 à Cavagnano (aujourd'hui province de Varese) de Giovani Molinari et Giuseppa Bianchi. Il fut baptisé,sous le nom de Giacomo ,dans l'église de Sant'Ambrogio di Cuasso al monte. Une fois la construction de la mosquée achevée, le groupe de maçons italiens quitta Laghouat,à l'exception de Giacomo Molinari qui resta et se convertit à l'islam,prenant le prénom d'Ahmed. Nous ne savons pas la date exacte ni les circonstances de sa conversion,mais il est incontestable qu'il s'intégra parfaitement à la population et aux coutumes musulmanes. Il épousa une femme de la tribu de Sidi Bouzid avec qui il eut quatre enfants:un garçon (Mohammed) et trois filles.

    Un jour que j'étais à Nice et que je rencontrais un ami de Laghouat, je lui avais demandé des nouvelles de Santana Zenou, épouse Mardochée, mère de mes copains d'enfance Jeanne et Coco. Il m'apprit que Santana était décédée et qu'elle avait dit à ses enfants : "Quand je mourrai, je voudrais être enterrée à Laghouat et que l'on m'accompagne au cimetière aux chants d'El Quadria", psaumes récités sur le chemin du cimetière.Voulait-elle embrasser la religion musulmne ?

     Son mari Mardochée Zenou,ferblantier, à l'Indépendance était membre de la Kasma FLN de Laghouat pour participation à la Révolution.

    En 1962, au moment de baptiser l’Avenue du Premier Novembre,
    Zenou Mardochée présent à la cérémonie et en présence d’un nombre important de citoyens a déclaré :

    "Mes ancêtres, les juifs de Laghouat,en 1852 ont assisté à la création, ou plus exactement à l’ouverture de l’Avenue Cassaigne et au scellement de la plaque portant le nom du Enfin, après plus d’un siècle, exactement en 1962,je dirai à mes aïeux,votre progéniture, en la personne de Zenou Mardoché aprocédé à l’enlèvement de la plaque portant le nom du général Cassaigne,pour la remplacer par celle de l’Avenue du 1er novembre."

     

    En 1868, David Levi, président de l'Université Israélite, fait don par testament de ses biens pour la réalisation d'une nouvelle synagogue à Florence « digne de la ville ».

     

      Mr Delanoé Maire de Paris

    Extraits de l’allocution de Monsieur Delanoë :

    « Quand j'honore l'Emir Abdelkader, je sais que j'honore un nationalistequi s'est battu contre la France, qui n'acceptait pas la domination de son peuple par le peuple français. C'est aussi le sens de cette inauguration. (...)

    « Cette inauguration je la veux avec la gratitude d'un enfant du Maghreb, moi qui ai reçu du Maghreb des leçons de fraternité, d'égalité, maire de Paris je vous dis merci. C'est Paris qui dit merci à l'Emir Abdelkader, qui dit merci au peuple algérien, qui a subi la violence et l'injustice de la colonisation. (...) La colonisation a été d'une violence inouïe en Algérie, une action injuste. »

        La formation:

    Abd-El-Kader est né à la Guetna près de Mascara en 1808, élevé dans la zaouïa paternelle dirigée par si Mahieddine, il reçoit une éducation solide qu 'il complète auprès des maîtres éminents à Arzew et à Oran. Il apprend les sciences réligieuses,la littérature arabe, l'histoire, la philosophie, les mathématiques, l'astronomie, la médecine...  Platon et Aristote, AI-Ghazâli, Ibn Rushd et Ibn Khaldûn lui sont familiers, comme en témoignent ses écrits. Toute Sa vie, il étudie et développe sa culture.

     L'Emir Abdelkader

    Chef de guerre, législateur, poète, son adversaire, le général Bugeaud n’occultait pas la dimension de l’homme : « Abdelkader était un homme de génie… certainement l’une des plus grandes figures historiques de notre époque… c’est un ennemi actif, intelligent et rapide, qui exerce sur les populations arabes le prestige que lui ont donné son génie et à la grandeur de la cause qu’il défend. C’est beaucoup plus qu’un prétendant ordinaire, c’est une espèce de prophète. C’est l’espérance de tous les musulmans fervents. » ( La vie d’Abdelkar – Charles-Henri Churchill Londres 1867)

     

     Retour au pays  -  Enterrement au Cimetière d'El Alia 

    Résultat de recherche d'images pour "enterrement en Algérie de L'Emir Abdelkader, boumediene"

     
     
     
    La Smala de l'Emir Abdelkder
     
     
     

     

    L'Emir Abdelkader a dit :

     

     Blog de ghadames : momentdevie, Les Juifs d'Algérie 

    Déjà en son temps l’Emir Abdelkader a montré que la religion n’excluait pas la science, que la science n’excluait pas l’humanisme, que la foi n’excluait pas le spiritualisme».Initiateur du dialogue islamo-chrétien, il montre le chemin de la réconciliation entre les deux rives de la Méditerranée.....
    " Mon cœur est devenu apte à revêtir toutes les formes:Il est pâturage pour les gazelles et couvent pour les moines Temple pour les idoles et Kaaba pour le pèlerin Il est les tables de la Torah et le livre du Coran.Je professe la religion de l’amour, quel que soit le lieu Vers lequel se dirige ses caravanes "
    Abd el Kader est un personnage éminent et charismatique, inscrit au panthéon de l’histoire de l’Algérie contemporaine. Fondateur d’un état moderne, humaniste et mystique, il ne cessa d’œuvrer au rapprochement de l’Orient et de l’Occident et au dialogue des cultures et des religions.
    Après dix-sept années de lutte contre l’occupation française en Algérie, emprisonné puis libéré par Bonaparte, il s’exile en Turquie, puis en Syrie, où il se consacre à l’enseignement et à la méditation. Il est inhumé à Damas, aux côtés de son maître soufi, Ibn `Arabi, puis au cimetière d'El Alia à Alger.

     

     

    Tableau de Jean-Baptiste Huyesmans représentant l'émir Abd el-Kader, protégeant les chrétiens à en 1860, lors des massacres commis par les Druzes

     

     

     

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    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas

     

     

     

     


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  • Les naufragées de Beni-Haoua

      

       Etaient-elles Hollandaises, Françaises, Espagnoles, Italiennes                           à s'échouer à Béni Haoua ? ("Les Enfants d 'Eve"), petit port de pêche à l'ouest d'Alger entre Cherchell et Ténès ?

       Etaient-elles des religieuses ou des aventurières ?

       Que faisaient-elles sur un batiment en partance pour la guerre ?

       Incertitudes ...    

    Voici l'histoire du naufrage de

    leur bateau "Le Banel"

     

     http://normandie-zoom.com/blog/images/live-armada/2008/041-amerigo-vespucci.jpg

      

    .....Suite à la révolte fomentée par Toussaint-Louverture, Bonaparte envoya une escadre dans le but de la mater.Sur l'un des vaisseaux,le Banel, prirent place des nonnes Hollandaises. Partie de Toulon (1802)..l'on dit pour les Amériques, l'escadre croisa d'abord en méditerrannée. A la suite, d'une tempête, le Banel s'échoua dans une crique abritée sur les côtes Algériennes.

    Mais, surtout, la légende d'un voilier qui a échoué sur la grande plage et dont les récits et témoignages meublent les fraîches soirées estivales du village.
    Lhistoire particulière du banel, un trois mats sorti un mois d'avril de l'année 1802 du port français de Toulon, cinglant toutes voiles dehors vers les Amériques sera dévié de sa route et ira s'échouer sur la baie des Souahlias, prés de Béni-Haoua, à une quarantaine de kilomètres de la ville de Ténès. Pour les passagers du "Banel", c'est le début d'une autre aventure.
    A cette époque, l'Algérie étant sous régence ottomane, les côtes de la baie des Souahlias et de Doumia étaient désertes, hormis celles près de Ténès où les bateaux napolitains, français ou britanniques de passage devaient payer un droit de péage. Pas âme qui vive jusqu'à Ténès.Pourtant, les secours viendront de la montagne, où vivait une petite communauté berbère sur les contreforts des montagnes de Bissa. Aujourd'hui encore, témoin du destin tragique de cette expédition vers les Amériques, l'ancre du ''Banel'' (El Fès en langage local) orne toujours, immense et rouillée, l'une des criques de Béni-Haoua, sur la route vers Ténès. Les naufragés, dont sept religieuses, seront secourus par les populations qui habitaient les montagnes environnantes. Très vite, ils s'intègrent parmi la population berbère locale. Les sept religieuses, selon la légende, auraient surtout pris en charge sur le plan sanitaire les besoins des populations locales, au point que de tous les naufragés du Banel, il ne reste jusqu'à présent que le souvenir des sept soeurs, enterrées prés du village et que le touriste de passage peut visiter.

    Pourtant, c'est l'une d'elles, celle que les gens de Béni-Haoua et des villages avoisinants appellent encore "Yemma Binette", qui fera l'histoire de cette région nichée entre criques sauvages et forêts de pinèdes, de romarins et de figuiers.

      .http://i168.photobucket.com/albums/u171/mesk-ellil/yemmabinettezz7.jpg

    Mausolée de Mama Binette


    A la mort de "La mère Binette", qui serait "la seule à mourir religieuse" selon certaines versions du récit de ce naufrage, un mausolée a été construit et les sept religieuses y ont été enterrées. Le mausolée, avec les sept tombes orientées vers La Mecque, existe toujours, malgré quelques prédations. Entre-temps, la mémoire des sept religieuses s'était déjà confondue avec l'histoire sociale et culturelle de la région, au point que des "ziaras"(visites religieuses)  s'effectuaient jusqu'à une date récente à la tombe de "Yemmaa Binette".


    Un film a été produit raconte ce naufrage: Le Banel, coproduit par ENTV-Algérie et France 3 Méditerranée

    http://cheliff.org/images/banel.jpg

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     le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas

     


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  •    MESSAGERS DE LA LIBERTE     
     

          

          
     Messager de la Vérité      
    Chantez parlez écrivez la Vérité      
    Jusqu'à ce que la Paix soit installée,      
    Jusqu'à ce que tout humain soit libéré,      
    Jusqu'à ce que la Terre soit purifiée.      
    Et vive la Liberté !      

          
    La Paix est en chemin      
    Le nettoyage est certain      
    La Vie est en train de reprendre ses Droits      

          
    Et vive la Liberté !      
     
    La ville de Miliana a toujours été une place forte militaire.
    Sans doute instruits par l'expérience de l'Emir Abdelkader,
    les Français y casernèrent les tirailleurs algériens dès les
    premières années de l'occupation et s'arrogèrent une
    grande partie de la ville pour l'hébergement de ces soldats.

    Jusqu'avant l'indépendance, était domiciliée en ces lieux
    l'Ecole des Enfants de Troupe de laquelle sortirent quelques
    cadres qui participèrent à la Révolution: Colonel Latrèche,
    Secrétaire Général au Ministère de la Défense sous
    le Président Boumediene, Commandant Allahoum, chef
    de protocole du Président Boumediène, Hamid Bouyarbou,
    mon ami, tombé au Champ d'Honneur, un autre ami
    Randi Mohamed, Surveillant Général du Lycée Ferroukhi,
    Kastali Abed, Enseignant, et bien d'autres dont j'oublie les noms.
    Post-indépendance, cette Ecole fut transférée à Koléa pour
    devenir l'Ecole des Cadets de la Révolution
     

     

     

    Les plus âgés se rappelent de Blida d'antan


     

    Le Guide Fleuri de Blida par Mme Luc Billet

     

    Elissa Rahis le décrit de cette façon:Pot-de-fleurs, c’est un bohème honnête et gai qui se tient en faction sur la place d’Armes. Un sourire amène éclaire sa barbe de patriarche, et dans son turban, il y a toujours planté, selon la saison, du géranium, de la rosé ou de la fleur d’oranger, parfois le tout ensemble

     

     

     



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  •  A la mémoire de mon ami Mohamed TRABLES, Jeune Commissaire Central de Police à Laghouat où il fut victime du terrorisme. ll rendait souvent visite à ma maman, laha Errahma
    L'enterrement à Miliana de ce Fils de Chahid...
    coincida avec le jour du mariage de l'un des enfants, Zein-Eddine.
    Le cortège traditionnel de la mariée à travers la ville fut bref et des plus silencieux. Rahimouhou Allah. Il était un fervent supporter du Sport Club Milianais (SCM)

     


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