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Par gadames le 19 Août 2017 à 10:44
Il y a un an et demi, cette idée fut lancée mais demeure sans suite
Le jumelage Miliana - Nice
et Miliana - Laghouat
Ce qui suit me rappelle une tentative de jumelage entre Nice et Miliana que voulait réaliser un ami niçois, ancien élève du Lycée Mustapha Ferroukhi, venu me rendre visite et nostalgique de son ancienne ville, un ferroukhien donc, alors qu'il était aux affaires à Nice. Si du côté français, cela semblait avancer, il n'en fut rien du côté milianais. Et l'affaire fut abandonnée...
Lotfi Khouatmi (à gauche) va sursauter....
Nadir Boumaza (à droite) : Bravo Lotfi bravo l'association, merci à tous et notamment à SI Mohamed HEBBOUL pour son usage généreux de l'intelligence et de l'esprit sportif.
Mohamed Mohamed Azizi : Merci Lotfi, pour ton dévouement . Un journée réussie avec plein d'émotions...ça paraissait simple mais je suis sûr que c'est le résultat de bcp, de sacrifice.Merci...
Benyoucef Abbas-Kébir: Pourquoi pas un jumelage Miliana Laghouat? Pensez-y
Sadek Brahim-Djelloul (à droite):Très bonne idée mon cher BENYOUCEF.
Mohamed Mohamed Azizi :
Bonne idée, mais il ne faut pas que ça reste au niveau de l'idée..passons à l'action...
Sadek Brahim-Djelloul :
Tout à fait mon cher MOHAMED.Bonne fin d'après-midi.
Malika Martini :
C'est super! Tres contente de voir combien les gens t'aiment et t'apprecient, mon cher oncle !!!!! par moi titrée deMyriam Makeba.
Radhia Boumaza :
Ça c'est une très bonne et belle initiative . Bravo
Mohamed Hebboul :bonjour ma fille, je t'espère en bonne santé et bises aux enfants)
Miliana
Le Jumelage Miliana - Laghouat en discussion entre amis, 2 milianais, et 2 laghouatis . De quoi discutent-ils ?
Des laghouatis hôtes de leurs amis milianais et dans quelques jours les milianais serons chez leurs amis laghouatis
Deux de mes amis poètes Lazhari Labtar (à gauche) et Benyoucef Abbès-Kebir ou l'amitié de Laghouat et Miliana, villes chères à mon coeur
Laghouat
Miliana - Nice
NiceLe coueur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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Par gadames le 17 Août 2017 à 17:49
Ils étaient de la Marine Nationale...
Benyoucef Dellouci
Benyoucef DELLOUCI, accidenté en service commandé et enterré à Miliana alors que sa mère et son père étaient en pélerinage à la Mecque. Bien qu'il était mon beau frère, je le considérais comme mon fils
Il me fit visiter notre base navale de Mers El Kébr à Oran dont il avait probablement la chargeMerouane Subaquatique, son neveu, a créé un site en son souvenir, le très fréquenté : www.corbusmil chasse.com/ en rapport avec la chasse sous-marine et la mer
Après la Seconde Guerre mondiale, la France utilisa sa base navale à Mers el-Kébir comme base de soutien pour ses essais atomiques. Les accords d'Évian du 18 mars 1962, qui reconnaissaient l'indépendance de l'Algérie, autorisaient la France à conserver sa base durant 15 ans, mais la France se retira au bout de cinq années seulement.
L'enterrement à Miliana à l'automne 68 de
Benyoucef Dellouci,
Allah yarhmou.L'un des premiers officiers de la Marine Nationale Algerienne formés au lendemain de l'independance á la base navale de Skotchi en mer noire dans l'ex URSS. Benyoucef avait deux autres frères tombés lors du combat pour l'indépendance du pays,allah yarhamhoum, et laissa derrière lui une femme enceinte qui donnera naissance à un garçon qui sera prénommé Benyoucef du prénom de son père, trois frères et trois soeurs et des parents inconsolables. Certains reconnaitront en tête du cortége Mohamed Messaoudi allah yarhmou.Un autre Milianais, son ami de promotion et dans la vie, également formé en Russie. C'est lui qui fut chargé de l'organisation de l'hommage militaire rendu au defunt. Le colonel Mohamed Messaoudi plus tard chef de la sécurité maritime et membre de la commission d'enquête sur l'assassinat de feu Mohamed Boudiaf sera à son tour lâchement assassiné par la horde islamiste à El Biar en presence de son fils par un groupe de 4 tueurs. Une grande foule est venue rendre un dernier hommage à Benyoucef dont Haddad Abdelkader, que Dieu préserve, leur ami et beau-frère de Benyoucef faisait lui aussi partie du contingent envoyé en Russie.
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Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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Par gadames le 17 Août 2017 à 03:46
Tableaux de sable
Cet art en relief, le collage du sable et autres techniques, est pratiqué par de nombreux artistes à Laghouat dont deux de mes nièces et un neveu qui m'ont offert chacun une de leurs réalisations.
A un autre artiste, j'ai moi-même commandé un tableau pour offre à un ami, aux motifs de mon choix, fort bien réussi, et je peux affirmer que les prix sont très abordables. Et s'il vous arrivait un jour de visiter ma ville de naissance, n'oubliez pas d'entrer dans quelques ateliers où, autour d'un thé, la conversation sera un plaisir...
Et nombreuses sont les expositions dans différents pays y compris l'Amérique
L’artisan du sud qui s’inspirant de la nature et de la beauté de sa région, a eu le génie d’introduire cette nouvelle technique. Le travail du sable ou l’art de sablage consiste dans la réalisation de tableaux à l’aide du sable fin mélangé à la colle.Le sable suivant les dessins réalisés et la dextérité de l’artiste peut être en plat ou en relief .
Ali Lamri
artiste–peintre de grande renommée
natif de Laghouat en Avril 1952.
Ses tableaux sont très riches en couleurs et
reflètent son grand amour pour les paysages
du sud algerien, et des portraits fort originaux.
Le sable est souvent coloré pour des raisons artistiques. Il est à signaler que d’autres travaux de sable sont apparus dans d’autres régions du Sud et qui consistent au remplissage de bouteilles de sable naturel et coloré faisant apparaître le plus souvent des représentations de faune ou de flore .
Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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Par gadames le 12 Août 2017 à 00:27
J'espère que vous aussi avez connu des bonheurs semblables auprès de vos aïeuls...
Ma grand'mère Kerroum Chouikha fille de Moussa et Nakhla (palmier dattier femelle).J'ai eu la chance de connaitre mes aieuls jusqu'à mes années lycée et me rappelle encore le regard attendri qu'ils portaient sur leur rejeton de 4ie génération que j'étais. Errahma lahoum.
Ah ! Ya dhak el matloue !!!
Ma grand mère née Kerroum Chouikha, laha Errahma, dont j'étais le petit-fils préféré à qui elle offrait toujours la plus belle part de quoi que ce soit, ce qui attirait la jalousie de mes cousines et cousins quant j'allais lui rendre visite à Ksar El Hirane, 30 km au sud de Laghouat gérait à sa façon la marche de la maison familiale.
Au diner, nous nous mettions tous autour d'une immense gassaâ de couscous - tous les soirs couscous - avant une longue veillée que je terminais endormi sur la cuisse de grand' mère. Levé tôt le matin, je passais la journée avec mes oncles Laïd, Ferhat et Haoua se consacrant aux travaux du jardinage de leur propriété sise 3 à 4 km au bas du village et tirant l'eau d'arrosage des plantes et arbres d'un puits sis au milieu de la propriété
Pour notre "repas" de midi, grand'mère nous donnait à chacun une metlouâ, 3 dattes et pour nous tous un "tass" - broc - plein de chnine, petit-lait. Ce frugal déjeûner se déroulait sous un grand arbre centenaire aux branches duquel flottaient de nombreux bouts de tissus attachés là en guise de voeux par les dames du village. Cet arbre était vénéré comme un Marabout...Elle dort à Sidi Yanès à Laghouat où je lui rends visite à chaque occasion, Errahma laha...
A l'époque il y avait profusion de scorpions à Ksar El Hirane et nous dormions sur un lit de branchages surelevé par 4 piliers en bois pour éviter leurs piqûres. Grand'mère détenait la clef de la "Houjra" - pièce de stockage - attachée à sa ceinture, répartissait les tâches domestiques à ses 3 brus qui se mettaient à ses côtés derriere le métier à tisser.
Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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Par gadames le 7 Août 2017 à 00:55
Une khalouta que vous propose "le 2 en 1" Lemkhalat Oulad Hmaida
Se Chérir jusqu'à fin
Ne gardez du passé
Que les plus beaux moments !
De cette vie passée
Ensemble à avancer,
Regardez les bonheurs
Et oubliez les pleurs...
Continuez le chemin
Sans vous lâcher la main
En sachant que c'est la joie
D'être tous les deux là.
Etapes de la vie
1°/ Les jeunes:Ils ont le temps et l'énergie, mais pas d'argent
2°/ Les adultes: Ils ont l'argent et l'énergie, mais pas le temps
3°/ Les vieux: Ils ont le temps et l'argent, mais pas d'énergie
Moralité : Profitez de la vie et du temps présent car vous ne pourrez jamais tout avoir !
Joies chantées des Bou-Saâdiates accompagnées du bendir ensorceleur du célèbre guide touristique El Khadhir
Bou Saada, au pied de l’Atlas saharien, surnommée "la Cité du bonheur " ou encore « La Porte du Désert », étant la première oasis, à 245 km au sud d’Alger. Un lieu riche d’histoire qui à inspiré de nombreux artistes, à la manière du peintre orientaliste Étienne Dinet (Hadj Nasr Eddine Dinet ) dont le musée éponyme à Bou-Saada porte son nom mais aussi du bref séjour, en 1922, de Colette à celui de Simone de Beauvoir, en 1957.Un nostalgique commentaire d'une Bou Saâdia
Ah cher ami je rêve de revivre un jour une fête d'antan dans ma ville, la porte du désert on la surnommé ainsi BOU SAADA une fête avec la GAITA qu'on organisait en plein désert femmes, hommes et enfants de la même tribu tous cousins. Les femmes, les nailiates dansaient avec un charme inouï on savait qu'elles glissaient sur le sable et les doigts virevoltaient comme seules elles savent le faire, le henné aux mains et aux pieds rajoutaient a leurs charmes et les robes a la nailiate toutes fleuries de toutes couleurs j'en ai le vertige quand j'y pense et ce Kohl qui agrandit leurs yeux pour mieux charmer, non elles ne font rien pour charmer elles sont le charme absolu, chez elles c'est inné et puis ces cousins qui sont là pour protéger la tribu et qui dansaient un peu d'ailleurs comme ZORBA LE GREC, une danse d'hommes.Oui tout cela me manque cet air du désert je crois qu' il est responsable de tant de charme et de cette liberté et ce charme des nailiates qu' on ne retrouve nul part ailleurs et cet habitat non plus.Le Bousaâdi (Autre nom El Khodmi)
J'en ai acheté un à Bousaâda il y a plus de 50 ansPoignard Algérien, du nom de la ville de Bou-Saâda dont il est issu. Il est constitué d'une lame à pointe arrondie dont le tranchant est obtenu par battage d'un côté de la lame.La fixation de la lame sur le manche oblong en bois (ou en corne de bélier) est renforcée par un mantelet de fil de fer enroulé en rangs serrés sur la moitié du manche. Le fourreau est en bois recouvert de cuir brut, souvent teinté en rouge. Le Bousaâdi était pour la défense de la Bousaâdia et se fixait de façon visible sur le côté de la ceinture...Jean de LA FONTAINE (1621-1695)
Dans "La Mort et le Bûcheron" a dit:Il appelle la mort, elle vient sans tarder,
Lui demande ce qu'il faut faire
C'est, dit-il, afin de m'aider
A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère.
Le trépas vient tout guérir ;
Mais ne bougeons d'où nous sommes.
Plutôt souffrir que mourir,
C'est la devise des hommes.Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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