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Par gadames le 26 Mars 2017 à 16:53
A chaque gazelle qui lira cette histoire...
Rym la Gazelle
Tristesses de la vie...
De bien tristes histoires que je réchauffe poussé que je suis par le souvenir de mes amies, la maitresse de Mlle Sousou et ma Gazelle, disparues toutes deux...chacune à sa manière.
L'Amitié, ce sentiment à géométrie variable
Un grand débat que celui traitant de l'Amitié !Et tout d'abord, qu'est-ce que l'amitié ?
Avez-vous été largué par un ami et en avez-vous fait de même?
Vous en sentez-vous libéré ou le regrettez-vous?
Peut-on vivre sans amitié ?
Qu'apporte t-elle ?
Peut-on, doit-on, avoir beaucoup d'amis ou en limiter le nombre ? Comment entretenir une amitié ?
Vous liez-vous facilement ou après une longue période d'observation ?
Avez-vous cherché une fois à réactiver, réanimer une amitié moribonde ? Pourquoi ?
L'amitié des animaux est-elle plus solide que celle des humains ?L'Amour des bêtes
Voici une correspondance adressée à une amie blogueuse,
amoureuse des bêtes, et qu'accompagne une chatte,
Mlle Sousou,pour laquelle elle est aux petits soins.
Moi-même ai deux chatons, prénommés tous deux BijouEt c'est à la suite d'un échange sur ces animaux dont nous ne pouvons nous éloigner, tellement présents qu'ils sont, par le regard et le calin auprès de nos enfants avec lesquels ils savent si bien jouer, que je lui ai relaté la bien triste histoire ci-après in extenso :
La Gazelle:
"Je vous disais donc, qu'au retour d'une virée à Laghouat pour aller voir mes parents, encore vivants à cette époque, je ramenais avec moi un bébé gazelle que nous élevames au biberon.
La détention et la chasse étant interdites, nous primes mille précautions pour rentrer à Miliana sans encombres, le bébé gazelle bien blotti dans le sac à main de madame avec de souventes haltes tout au long des 400 km de route pour lui permettre de se détendre.
Après quelque temps cet amour fut lâché dans la journée en notre jardin et le soir il rejoignait une pièce qui lui fut destinée.Et il fallait voir cette grâce gambader, sautiller, s'étendre dans l'herbe, reprendre ses sauts bondissants et impressionnants. Elle devint rapidement une curiosité pour toute la ville et beaucoup de monde venait la voir à travers le grillage et admirer sa majestueuse démarche et ses beaux yeux. En grandissant, ses cornes aussi se développèrent et paufinèrent donc sa silhouette.
Une Belle Beauté pour laquelle chacun d'entre nous était aux petits soins! Et Dieu, qu'elle était heureuse !Gazelle « Mon bien-aimé est semblable à une gazelle » chante l'amoureuse du Cantique des cantiques, dans la Bible, tant cet animal léger, vif et fin semble le plus gracieux de la planète.
Mais, sous son apparence douce et fragile, la gazelle cache une étonnante résistance qui lui a permis de s'adapter aux régions les plus arides de la
Terre.Et puis, un jour...
Toute joyeuse qu'elle était à gambader et sautiller, elle s'y prit mal et tomba sur l'une de ses cornes, se tordant le cou, suite à ce choc. Et il n'y eut rien à faire....Tout le monde l'entoura et personne d'entre nous ne put retenir ses larmes à la vue des siennes.
Oui, la gazelle pleure quand elle est en peine ou épuisée devant la poursuite d'un chasseur en 4x4 , tueur de l'innocence !
Elle est toujours avec nous, enterrée en notre jardin, manière aux enfants de refouler son oubli.
Bien triste histoire que de perdre l'un des siens...
L'une de mes petites filles s'appelle Rym, la gazelle...en son souvenir.Et que Dieu vous préserve ainsi que tous ceux qui vous sont chers.
Bien à vous,
Ghadamès "En suite de quoi, mon amie me répondit:
"Mon cher ami,
La tristesse fait partie intégrante de tout homme, sans tristesse nous ne pourrions pas apprécier nos joies,et nos joies nous font supporter nos tristesses. Oui c'est une bien belle histoire que celle-ci et triste au demeurant, mais vous avez eu la chance de connaitre cette belle gazelle qui vous a procuré un grand moment de bonheur...___________________________
Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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Par gadames le 25 Mars 2017 à 17:24
Se croire....
J'étais en l'Ecole Hôtelière d'Alger - Ben Aknoun et à l'occasion de stages, on m'envoya chez moi à Laghouat, Hôtel Saharien. Nous reçumes des touristes Allemandes et suissesses et le patron Mr Léo me chargea de les guider dans la visite de la petite oasis de Tadjemout toute proche.
Nous voilà donc à Tadjemout dont la visite se termina par celle de son fameux barrage qui vit quelques unes de ces dames se déchausser et faire trempette dans cette eau tranquille.
Et puis, vint à passer un homme sur son âne...
Et toute la gente féminine m'accompagnant de s'extasier à l'unisson " Oh, Quel Bel Homme"...
Et moi de me dire, vexé : Qu'est-ce qu'il a de mieux que MOI ?
Je me croyais donc...
Ma déception fit que j'écourtais la visite en punition...ça leur apprendra à ouvrir les yeux !
Et ça me rappelle un ami alors que nous étions en classe de 3ie au collège
- le prof de français : "Citez-moi une phrase avec un adjectif qualificatif ."
Et mon ami de répondre : - "Je suis BEAU"
Lui l'était effectivement
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Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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Par gadames le 23 Mars 2017 à 03:44
Se livrer sans retenue...
Bonjour aux enfants de Laghouat
Caravanier revenant de l’oasis enchanteresse Je te prie, arrête ta monture et délivre moi Que devient Laghouat, et ses douces ivresses Son éloignement a laissé mon âme en émoi ( M.S.LAMARA)
Bonjour aux enfants de Si El Hadj Aissa et Abdallah Benkerriou, du Rey Malek, d'Oued M'zi, de l'avenue Cassaigne, de Bab Dzair, du Chetett, du cimetière des Premiers Combattants de 1852 contre la prise de la ville où périt plus de la moitié de la population,des Chouhada du 1er Novembre 1954, de l'OML, du Hilal, du sig, de la mlemma, du chach bach, de la hsira, de la guerba, de la gnouna, du sefridj, de Bab Errabt, du pont, du stade de garnison, des aissaoua, de la talma, du toute, des blahs, de rahbet ezzitoun, du thé mouz, de la zerda, dama, feldja, de zag etter, de la fantasia, des b'haïr, de la datte touajate, du lagmi, du kabou, de la maâmoura, dhalaâ, de "tu l'as"(Kada Benattallah), de "Chicha"(Tahar Benamar) de son ami Talbi Mohamed, Hadj Tayeb Zaabta, des Ferhat Lamine et Cheikh Ali, de Tayeb "Lmour", Badda,du mardoud et du couscous nabri, des séguias, de la zlabia et beignet aux oeufs, du coup de canon du ramadhan, de Messieurs Kada, Soufi, Lalmi, de la Medersa et ses chouyoukh, du mguettaâ, de l'Hôtel Saharien, de l'Hôtel Transalantique et de son assigné à résidence le Bey Moncef de Tunisie ainsi que l'ensemble des habitants de ma ville à l'hospitalité légendaire, la plus belle du monde. LAGHOUAT qui m'a vu naitre et Miliana ma ville d'adoption...
Et des réponses d'une gentillesse toute laghouatie..
Soukehal Djamal Abdenasser 21/03/2017 :Aux enfants que nous sommes, aux enfants que nous étions, aux éternels enfants que nous serons .. Bonjour ...je suis redevenu l'enfant que j'étais ...Merci pour ce rappel .....
Chicha ben 21/03/2017 : Je vous souhaite une vie pleinne de sante et de bonhneur
HADJOUDJA KAMEL 20/03/2017 : A notre tour, nous les Enfants de Laghouat; ou ce qu'il en reste; de vous rendre hommage; car parmi les personnalités que vous avez citées, beaucoup ne sont plus de ce monde. ( Que DIEU leur accorde le Paradis Éternel) ...CROYEZ EN NOS SENTIMENTS FRATERNELS
Le sefridj : Que de souvenirs pour lesgamins que nous étions qui profitions de la présence de nos grand mères qui lavaient la laine pour le tissage pour piquer un plongeon dans le bassin d'eau et narguer le surveillant de la distribution des eaux (wakaf). Impuissant à nous chasser par respect de ces femmes âgées
Convivialité
Le Palmier Amoureux - gadames gadames.eklablog.fr/le-palmier-amoureux-a125880080
Dr Ahmed Benhaouach
Claude-Maurice ROBERT, écrivain, à qui je tapais à la machine ses écrits pour en faciliter l'édition, résidait depuis longtemps à Laghouat, rue du Kabou, dans une maison avec jardin. Il se retrouvait presque tous les soirs avec ses amis, Avenue Cassaigne à l'Hôtel Saharien de Mr Valluis Léo et son épouse Jeanne et aussi, entre autres, Mr Soufi Mohamed, mon cher instituteur, le Juge Brassens , Mr Tadj Bachir dit Baïliche, Greffier (père de Mohamed dit "Largo" un ancien joueur de foot-ball de l'OML, en compagnie de mes amis Kada Benattallah, Talbi Mohamed, Benamar Tahar, Rayane Mahmoud dit Errous ,le Russe), Mr Dhina Mohamed interprète judiciaire auprès du Tribunal, fondateur en 1948 du Hilal Club de Laghouat (HCL) en compagnie entr'autres de Si Mohamed Bensalem, de Si Abderrahmane Rahmani mon cousin, émérite mécanicien, de "Papa" Hamza (à la mémoire duquel j'ai prénommé mon premier petit-fils, Hamza), Mr Fernand Bourgeois, mon autre instituteur, qui sera muté à Miliana - en même temps que Mr Kahlouche Arezki et Mr Dieudonné, notre Directeur d'Ecole qui attendait à l'entrée, accompagné de son gros chien, tout retardataire pour lui provoquer la peur de sa vie -.Et Mr Bourgeois deviendra mon correspondant au Collège Moderne de Garçons de Miliana et me fera partager sa table familiale tous les dimanches. M'y rejoindront par la suite, Mimouni Attallah, Gourine Madani, Ferhat Said, Baïliche Baïliche (Tedjini-Baîliche ?).
Et il y a quelques années, dans ce même collège, je devins à mon tour correspondant de Benyoucef Ferhat, Directeur de la Station d'Epuration des Eaux de Laghouat et fils de mon ami Hadj Lamine.
D'opale dans l'écrin d'émeraude des palmes
Où le vent du désert fait un bruit de marée
Par ces soirs printaniers, si lumineux et calmes
Laghouat a des langueurs de vierge énamourée
De la haute terrasse où sans fin je l'admire
Les cubes de ses toits font un vaste damier
Et l'ardeur du couchant fait de chaque palmier
Un feu d'or crépitant sur un mat de porphyre
Les sierras sans humus brasillent tout autour
Et le rocher des chiens avec sa vieille tour
Que l'ombre qui s'allonge embue et passe à l'encre
Evoque on ne sait quel vaisseau fantôme à l'ancre
Heureux, je reste là jusqu'à l'heure où la lune
Ronde et rouge, émergeant de l'immensité brune
Fanal au poing de quel secret lampadophore ?
T'illumine, O Laghouat et rend plus belle encore !
Claude-Maurice Robert1 Hadj Kaddour Laggoun 2 Haddj Lamine Ferhat 3 Hassani Mahoud 4 Dada dit Hadj Badda
Anecdote :Boumediene à Kadafi
Quand Kadhafi se faisait reprendre par Boumediene
Échange entre “zaïms” sur la culture des Algériens
À la fin d’un dîner de sommet arabe des années 1970, Kadhafi fut pris d’un malaise. Ne pouvant mettre la main sur son médecin, Boumediene lui propose les services de son docteur. “D’accord, répond le “guide”, mais ça m’étonnerait qu’il comprenne l’arabe, les médecins algériens étant formés par la France et, peut-être, sera-t-il gêné par l’inconfort de la khaïma, habitués que sont vos médecins au luxe parisien…*?”
Devant ces insinuations sur l’inculture et l’influence dont souffrent les Algériens, Boumediene rétorque*: “Tu auras toujours intérêt, mon cher Mouammar, à fréquenter les Algériens. Mon médecin est medersien et excellent bilingue, en plus d’être très bon clinicien. Il va soulager tes maux, mais connaissant ton penchant pour la poésie arabe, tu auras le privilège d’apprendre, avec lui, quelques notions de “balagha”, des Mou’alakat et les différences de style entre Imr-ou-El-Kaïs et Zoheïr Ibnou Abi Salma. Il peut t’entretenir de science, de fiqh, d’histoire des civilisations et de littérature latine, et non pas uniquement française. Et pour la khaïma, c’est un fils d’une région du Sahara, connue par sa race ovine, ses palmiers et par ses poètes ; il a grandi dans une tente moins luxueuse, éclairée à la bougie et dotée de lait de chamelle !”De mon ami Brahim Boumedien : Quant à l'anecdote Boumediene-Keddafi, le médecin dont il est question, le professeur Kebbab Mohamed (Rahmatou Allahi alayhe) était un frère et ami d'Ouled-Djellal, où lui, comme moi sommes nés et avons grandi pour ensuite continuer nos études à la médersa de Constantine où il me dépassait de deux classes. C'était effectivement une sommité sur le plan professionnel et intellectuel et d'une modestie qui n'a d'égale que la tienne. C'était le genre de gars qui t'animait une discussion avec une grande spontanéité et sans effort. Il était aimé et apprécié de tous pour ses qualités morales et sa disponibilité à rendre service chaque fois que quelqu'un frappait à sa porte. Malheureusement, ce médecin-militaire, officier supérieur de surcroît a rejoint l'éternel trop tôt, à l'âge de cinquante-trois ans ! Celui qui est au ciel, saura le récompenser.
CHEZ LAZHARI LABTER EDITIONS
La plume contre le sabre, Mohamed Bensalem laghouat (1904-1985)
Je sais qu’en ce qui me concerne, je n’ai peut-être pas assez fait et pas assez donné pour la cause nationale. Colonisé, quoique je fasse et quelles que soient les souffrances que j’endure, jamais je ne me considérerais comme quitte vis-à-vis de Dieu et vis-à-vis de la patrie. Notre cause est tellement belle et si sacrée qu’elle exige de nous une vigilance sans relâche et un dévouement sans bornes. Etre militant, c’est se donner entièrement au service de la justice et de la liberté. »Rey Malek qui nous rappelle le Roi du Maroc Mohammed V
«Si El-Hadj, dis-nous, Rey Malek, c'est qui aujourd'hui ?», lui demande le journaliste.
Et son interlocuteur de répondre humblement: «C'est le vieil homme que je suis devenu et que vous voyez.
Le vieil homme qui chaque trimestre perçoit 1500 DA et qui attend calmement la mort...».
C'était en juin 1982, une année avant sa disparition. Ce spécialiste des genres oriental,
haouzi et moghribi, cet homme à la voix d'or finira seul, sans femme et sans enfants,
terrassé par la maladie mais fier d'avoir mené une vie aussi mouvementée et aussi dense,
au service du chant et de la poésie. En plus de Sidi Hadj Aïssa, prédicateur au 18ème siècle,
Abou Al Abbas Tidjani, fondateur de la confrérie Tidjania (à qui l'association musicale
«Nassim El Andalous», sous la houlette de Yahia Ghoul, dédia, dans les années 80,
une qacida «Sidi Ahmed Tidjani» empruntée du répertoire sama' de la zaouïa Alaouïa
de Mostaganem), Cheikh Abdellah Benkeriou, illustre poète populaire, Laghouat inscrit
le nom de Rey Malek dans son histoire pour avoir été un précurseur de l'art musical
dans cette région, mais aussi à travers le pays. Et c'est à ce titre qu'il a été honoré
par l'Académie de musique arabe, lors de la 16ème édition de son congrès
qui s'est tenu à Alger en avril-mai
Appliquant la Tolérance
Ettarbiâ de nos invités de France après s'être "fruités"
Une histoire vraie : L'allumette et le nafekh
Quand l'ouïe et l'odorat suppléent les yeux.
Si Lakhdar Laâma HEBBOUL, plus connu sous l'appellation de Lakhdar Laâma car non voyant, était le plus grand propriétaire immobilier de Laghouat. patrimoine dont se sont délestés pour sa plus grande part ses enfants et leurs héritiers et cousin de mon père qu'il employait dans sa grande ferme de la Maâmoura, à qui il lui arrivait de le faire assister à des discussions d'affaires et avis éventuels.
Cette maâmoura que j'ai connue puisque nous y habitions chez Si Lakhdar Laâma, a été depuis complètement envahie par le béton
Un jour d'hiver, autour d'un nafekh - brasero-, il reçut en la présence de mon père, un juif avec lequel il devait créer une association. Au cours de leurs palabres, le juif claqua une allumette et Si Lakhdar Lama, aveugle donc, sentit l'odeur de la cigarette ainsi allumée. Immédiatent il mit fin aux discussions et donc à la future association d'avec ce juif en raison de ce que:- Ce juif, dit-il à mon père, doit être un gaspilleur !
Sinon pourquoi ne pas avoir économisé une allumette alors qu'il pouvait allumer sa cigarette avec une braise du nafekh ? Une fortune se construit à partir de petits riens et de petites économies...Si Bachir Tidjani Rahimahou Allah.
Laghouat à Miliana
Ci-dessus notre célèbre photographe à la Pointe aux Blagueurs de Miliana du nom de Ali la Pointe héros de la Bataille d'Alger
Pour ma plus grande joie, les vétérans du foot à Miliana dont des wakkaline el gtaf et la rouina, des miâd nouss n'har, (j'en suis un..)
de l'élégance du burnous, surtout d'oubar et de son porteur
Le grand père aurait aimé assister à ce "match": fils contre petit fils. Son coeur aurait balancé pour lequel ?
Confidence de Zakaria à son oncle Djelloul
De mon petit-fils Zakaria 6 ans I/2 alors.
La veille Zakaria vient m'annoncer que "son oncle" Djelloul, (mon frère) allait arriver de Laghouat pour nous rendre visite et qu'il l'attendait de pied ferme pour lui donner une "raclée" lors de leur "match" de foot-ball qui se disputait dans le couloir de chez nous à chaque venue de Djelloul à Miliana.
Mais à l'arrivée de Djelloul, point de ballon, déchiré entre-temps.
Ils sortirent tous deux en voiture pour en acheter un autre chez un revendeur où nous avions l'habitude de nous approvisionner. Il était fermé et Zakaria proposa à son oncle de lui en montrer un autre.
En cours de route, Zakaria évoqua Inès
- Qui est-ce demanda Djelloul ?
- C'est ma camarade de table à l'école, tu ne la connais pas ?
- Non.
- Sa mère est médecin et son papa docteur.
- ..... ???
- Elle a les yeux verts et les cheveux blonds.
- Et alors ?
- Eh, bien "on" l'amènera un jour à la maison !
- Allez on va la chercher tout de suite, dit Djelloul.
- Mais non, lui répondit Zakaria, c'est pour quand je serai grand !
Et l'histoire relatée par Djelloul à ses amis les fait sourire...
Pas impatients , alléchés peut-être ...
Mon grand-père Ahmed a laissé les recommandations suivantes à mon père Saâd, encore adolescent, avant de rendre l'âme :
- Je laisse sous ta responsabilité ta mère jusqu'à ce que tu l'enterres
- Je laisse sous ta responsalité tes frères jumeaux Harzallah et Belgacem jusqu'à ce que ton burnous et tes souliers leur iront,
- Je laisse sous ta responsabilité tes soeurs Fatna et Hanina jusqu'à ce que tu les maries. Et il en fut ainsi.Et j'eus beaucoup de cousinshttp://gadames.eklablog.fr/el-harrag-a126719228
Fortifiez-vous de "Déglet Nour" (Doigt de Fée) pour une vie pleine
Pour vivre pleinement votre vie, vous devrez débuter par profiter de chaque jour comme si c’était le dernier de votre existence. Si on part du principe que personne ne sait ce que demain lui réserve, chaque jour qu’on vit doit être considéré comme un cadeau.
Miliana et Laghouat sont de même altitude et vous pouvez vous régaler de Cerises et de Plaquemines dans la propriété de mon ami Moulay Benahmed grâce aux plants que je lui ai apportés de Miliana
J'ai essayé , mais en vain, de faire venir de Laghouat un excellent joueur de foot, Abdelkader Benchnati, pour me rejoindre au SC Miliana (SCM), en vain, son amour de Laghouat était + fort..
De Sidi El Hadj Aissa, le Saint Patron de Laghouat à Sid Ahmed Benyoucef, celui de Miliana
http://gadames.eklablog.fr/de-laghouat-a-miliana-a127567480Deux de mes amis poètes Lazhari Labter (à gauche) et Benyoucef Abbès-Kebir ou l'amitié de Laghouat et Miliana, villes chères à mon coeur
http://gadames.eklablog.fr/zag-ettir-a126225128 Existe-t-elle encore ?...
http://gadames.eklablog.fr/sohbane-a127437272 une voix d'or
Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
2 commentaires -
Par gadames le 22 Mars 2017 à 01:30
Avez-vous été prénommés de noms qui rappellent un événement et en avez-vous donné en souvenirs mémorables à vos enfants ?
Jouez le jeu... que je commence...
Mohamed-Ali, à gauche, bien que prénommé du Cassius Clay islamisé, n'a pu atteindre la corpulence du grand champion du monde toutes catégories...Il vous invite néansmoins à acquérir les produits d'art de nos artistes milianais à qui on oublie de faire appel à la décoration de leur ville
Muhammad Ali — nom couramment retranscrit en français Mohamed Ali ou Mohammed Ali — né le 17 janvier 1942 à Louisville, au Kentucky, et mort le 3 juin 2016 à Scottsdale, en Arizona, est un boxeur américain évoluant en catégorie poids lourds.
Mes enfants,
- Saâd-Eddine, du prénom de mon Père,
- Zeineddine, du nom du Ministre des Affaires Etrangères Syrien qui défendit à l'ONU notre cause pour l'Indépendance,
- El Malik-Mohamed du nom du nom du Roi du Maroc Mohamed V déporté partie pour son soutien à la Cause Algérienne,
- Mohamed-Ali, du nom du grand boxeur Cassius Clay, objecteur de conscience qui refusa d'aller combattre au Viet-Nam alors qu'il était le champion du monde toutes catégories. Il fut suspendu avec perte de son titre.
- Benyoucef, du nom du Saint-Patron de Miliana, Sidi Ahmed Benyoucef,
Amateur music : http://www.soundclick.com/bands/default.cfm?bandID=289516
- Merouane en celui de Sidi Merouane de Ténès, ce grand marin qui termina sa vie en prières sur le mont de Ténès au-dessus de la mer. L'un de mes joueurs de foot, pour une erreur de jeunesse, était sous menace et j'ai dû plaider sa cause auprès du juge qui était en pélerinage à Sidi Mérouane.et dont le dénouement fut heureux.Merouane a crée un site, CORBUSMIL reliant la mer à Miliana. CORBUS=mer, MIL=Miliana, très fréquenté, Merouane pratiquement né au bord de mer à Gouraya
- L'une de mes petites filles se prénomme Rym en souvenir d'une jeune gazelle ramenée de Laghouat encore bébé et élevée au biberon et qui grandie et sautillant de joie en notre jardin se planta une corne au sol et mourut les larmes aux yeux provoquant les nôtres autour d'elle...Elle est toujours au jardin...
- Hamza, mon petit-fils, en mémoire de l'un des créateurs du Hilal Club de Laghouat (HCL , Hadj Hamza Benterbah à la paire de burnous et à la canne menaçante lorsque nous perdions un march.
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