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    Non et non, ce n'est pas un Poisson d'Avril !

    Trumph , Pays Occidentaux, Arabie Saoudite,

    Pays du Golf, Turquie approuvent  pour que la

    Palestine devienne entièrement israélienne...

     

     

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    A la Mémoire et en Hommage à mon Ami le Chahid Hamid BOUYARBOU qui, aux dires de ses compagnons de combat, se sacrifia pour leur suvie...

     

     Hamid BOUYARBOU- Platine, de son vrai nom Bouyarbou Hamid, lieutenant de l’ALN et chef de commando. Il s’illustra dans de nombreuses batailles : Zbarbar, Aklouche, Oued El Malah et tomba au champ d’honneur en 1957 à Sidi Okacha, près de Ténès.

     L'Ecole des Enfants de Troupe de Miliana où ont étudié, entre autres, mon ami et coéquipier au Sport Club Milianais, le Chahid BOUYARBOU Hamid, le Colonel Abdelhamid LATRECHE, Secrétaire Général du Ministère de la Défense Nationale, Abdelmadjid Allahoum, Chef au Protocole du Président BOUMEDIENE, Randi Mohamed et Kastali Abed, enseignantsHamlaoui Mekachera, secrétaire d'Etat aux Anciens Combattants de France, 

    Mr Hamlaoui Mekachera Ministre des Anciens Combattants de la France :

    " lundi 06 sep 2010 : je n'oublirai jamais cette ville d'homme, parmi eux un ancien officier superieur de l'armée française qui a fait le viétnam et qui c'est rendu avec les viétnamiens. C'était Monsieur Larbi bouamrane Mustapha, c'est une légende."

    J'avais fait un article sur le Chahid Hamid Bouyarbou et l'Ecole des Enfants de Troupe de Miliana que ce ministre avait fréquentée, entrainant son commentaire. Mr Larbi Bouamrane Mustapha avait déserté l'armée française au Vietnam pour combattre avec le Vietminh dont il devint Commandant.Il sauva beaucoup d'Algériens de la mort dont l'ancien cafetier milianais appelé "Tarzan". Le fameux Général Giap n'omettait jamais de le rencontrer lorsqu'il venait en Algérie.Il était enseignant à Miliana et très discret mais tout le monde le connaissait.

     Au départ, l'Ecole Préparatoire Militaire des Enfants de Troupe fut créée et domiciliée à Hammam-Righa et Miliana n'en était que l'annexe. Lors de sa dissolution, en juillet 1946, elle fut transférée à Miliana qui prolongea ainsi la vie des Enfants de Toupe en Algérie

    Miliana, petite ville située à 130 Km au sud-ouest d’Alger, comptait dans les années 50 autour de 15 000 habitants. Suspendue à 740 m d’altitude, au flanc du Zaccar Gharbi qui la surplombe au nord, Miliana domine à l’est et au sud la vallée du Chélif, et offre à l’ouest une vue magnifique sur des vergers et des jardins luxuriants qui s’étagent en contrebas.

     Devant l’augmentation des effectifs et en raison de la nécessité de trouver une situation géographique mieux adaptée et plus centrale en Afrique du nord, et surtout moins isolée que Miliana, par décision ministérielle n° 7510 EMFAC 380/SC du 22 mai 1951, le ministre de la défense nationale fait transférer l’école près d'Alger, à Kolea

    Quelques combattants de Miliana morts pour la Liberté 

    - Ali Amar, dit Ali «La Pointe», enfant de la ville et adjoint de Yacef Saâdi, chef de la Zone autonome. La stèle commémorative a été inaugurée à la «pointe des blagueurs» en présence des autorités civiles et militaires.

    - Belechheb Hamid : officier de l’ALN et membre du célèbre commando.-Ali Khodja : tombé au champ d’honneur à Djebel Louh dans ’Ouarsenis.                                                                                      

    - Caserne militaire : sinistre lieu de détention dirigé par le tortionnaire capitaine Barere. De nombreux chouhada se trouvent au « parc à  fourrage».  

     - Dellouci Djillali : officier de l’ALN et membre de la katiba Hamdania : tombé au champ d’honneur à Amrouna en 1958.  

     - Ferroukhi Mustapha : membre du PPA et ambassadeur du GPRA à Pékin, mort dans un accident d’avion en rejoignant son poste.  

     - Guenaoui Mohamed : rejoint l’ALN en 1956, lieutenant zonal en Wilaya 4. Tombé au champ d’honneur à Bab-El-Bekouche dans l’Ouarsenis en 1958,-  

     -Hafidha Barça : héroïne tombée au champ d’honneur le 11 décembre 1960, le drapeau à la main, tuée par les paras de Bigeard.    

      -Ilmaïne, Landjerit, Benblidia : ces noms évoquant les anciens maîtres de l’école indigène. Ils ont formé des générations d’hommes dont des dizaines ont pris le chemin de l’honneur. Paix à leurs âmes !  

     - Katiba El Hamdania : son nom résonne glorieusement à travers les monts du Zaccar, de Zbarbar et de l’oued El Malah.  

     - Larbi Bouamrane dit «Si El Miliani», chef de commando. Il organisa avec brio l’ALN dans les maquis du Zaccar. Tombé au champ d’honneur à Bouzegza dans l’Ouarsenis en 1958.      

      - Nedjmet-Chamal Ifriquia : l’ENA : les anciens se souviennent de la glorieuse Etoile nord-africaine avec les Ghersi, Bouzar, Bouchouka, Mouloud Hachemi. - Oued Guergour : un violent accrochage eut lieu en novembre 1957 entre l’ALN et les paras de Bigeard qui comptèrent beaucoup de morts    

     - Platine, de son vrai nom Bouyarbou Hamid, lieutenant de l’ALN et chef de commando. Il s’illustra dans de nombreuses batailles : Zbarbar, Aklouche, Oued El Malah et tomba au champ d’honneur en 1957 à Sidi Okacha, près de Ténès.  

     - Quatre cents jeunes ont rejoint le maquis lors de la grève de 1956. Rares ceux qui ont survécu. On peut citer : Temoulgui, Ramdane Omar, Sadek Batel dit «Rouget»     

     - SMA : école du patriotisme. Mohamed Bouras et ses compagnons Bouzar Hamdane, Sadel El Foul, Larbi Bouamrane Rachid furent les fondateurs des Scouts musulmans algériens, dont de nombreux combattants tombèrent au champ d’honneur. Si M’hamed, chef de la wilaya 4, Allili, Kadi et bien d’autres.

    - Tizi-Franco : première offensive de l’ALN en 1956 sur les monts du Zaccar et dirigée par Si Bouzar et Si Belahcène. Plusieurs postes militaires détruits et des armes récupérées.    

     - UGEMA : Union générale des étudiants musulmans algériens : une école de formation nationaliste, dont les membre s’illustrèrent à travers les maquis. Rendons hommage à quelques-uns , Kadi Miliani, Dellouci, Abdelouaheb, Antri-Bouzar, Kelkouli…      

     - De nombreux patriotes, tombés au champ d’honneur au cours d’un violent accrochage avec les légionnaires du général Ducorneau en août 1958, reposent désormais au cimetière des chouhadas à Oum El-Bouaghi.

     - Zeddine : les membres de l’OS ont choisi ce lieu pour préparer les grandes lignes de la Révolution armée en 1949.

     Gloire à notre Algérie éternelle ! Gloire à ceux qui sont morts pour elle!

    Commentaires en suite de cet article :

    automathing <http://automathing.artblog.fr/> 02/07/09 16:14

    Si Miliana a une histoire aussi dense, qu'est-ce que ça doit être pour d'autres villes algériennes plus peuplées dont l'importance était stratégique pendant les années d'affrontement avec la puissace coloniale

    plaizir <http://plaizir.artblog.fr/> 02/07/09 16:33

    Bonsoir Ghadames, Ghadames et ses articles si riches , si fournis ! restez comme vous Zêtes Bises Daphnée

    chantal <http://chantal.blog.radiofg.com/> 02/07/09 23:18

    toujours aussi passionant de te lire merci bisous

    leblogababa <http://leblogababa.blogspace.fr/> 05/07/09 08:04

    Voila une riche page de l'histoire de votre pays.L'école des enfants de troupe est elle aussi une longue histoire en France et je n'oublie pas que mon père y était parti à l'âge de 13 ans !Bravo pour votre blog cher Ghadames!

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    Une merveilleuse histoire

    intuition et reconaissance de ce  pigeon voyageur...

    L'un des plus vieux moyens de communication pour l'homme a été...le pigeon voyageur. De très anciennes gravures provenant de la plus haute époque égyptienne en témoignent, qui montrent l'envol de pigeons emportant des messages. Certes aujourd'hui, des méthodes plus modernes, plus rationnelles et plus sûres ont remplacé ce glorieux messager qui fit au fil des siècles la fortune des uns et le malheur des autres en apportant des nouvelles de guerre et de paix. Mais cependant, un peu partout dans le monde, les pigeons voyageurs contiuent à témoigner leur fidélité à ceux qui les élèvent. Les chercheurs ont tenté d'expliquer leur phénoménale mémoire qui leur permet de parcourir, par tous les temps, des centaines de kilomètres pour retrouver le nid où ils apportent leur message. L'explication la plus courante ne manque pas de romantisme : le pigeon voyageur revient à son nid, guidé par les appels silencieux de sa femelle qui l'attend. Pressé de retrouver la mère de ses petits, le pigeon est capable de battre des records de vitesse. Bien sur, cette explication est satisfaisante mais elle ne suffit pas. De nombreuses histoires prouvent qu'il existe chez les pigeons voyageurs un autre don, que la science des hommes n'a pas encore compris, et ne peut encore expliquer

     

     

     

     Ainsi cette histoire, absolument authentique qui s'est déroulée aux Etats-Unis, dans l'ouest de la Virginie, il y a quelques années. Ce fait divers extraordinaire a été vérifié et étudié par des savants éminents qui n'ont pu donner, à ce jour, aucune explication rationnelle. Voici les faits :

      Par une belle soirée de juin, Mark Peters regagne le confortable pavillon qu'il habite dans la banlieue de Summersville, près de Charleston en Virginie. Il gare sa voiture devant sa maison et gravit les quelques marches qui conduisent à la pelouse soigneusement entretenue qui l'entoure. Mark Peters est un solide gaillard de 43 ans, brun et râblé qui exerce la profession d'agent administratif. Il est marié et père d'un garçon de 12 ans, Anthony. Ce jour-là, Mark Peters s'arrête devant la porte de sa maison. Soudain son regard est attiré par quelque chose qui s'agite un peu plus loin dans le jardin. Intrigué, il s'approche, et il s'aperçoit alors qu'il s'agit d'un pigeon qui, blessé, bat faiblement de l'aile sur la pelouse. L'oiseau semble à bout de force, la mort est déjà sur lui. Mark Peters lz prend délicatement dans ses mains, sonne, et lorsque sa femme vient lui ouvrir, il dit simplement : "J'ai trouvé ce pigeon, je pense qu'il va mourir". Jusqu'à ce jour, Anthony n'a jamais eu d'animaux, et c'est la première fois qu'il voit de près un pigeon. Pourtant, il le soigne avec amour, trouvant instinctivement ce qu'il faut faire pour que l'oiseau guérisse.

    Et le pigeon guérit. Au bout de quelques semaines, il est capable de voler. Anthony qui veille à son alimenation depuis qu'il l'a recueilli comprend qu'il doit rendre à l'oiseau sa liberté.  Et tristement, un matin, il ouvre en grand la fenêtre qui donne sur les arbres du jardin. Le pigeon volette jusqu'au rebord, se pose, regarde Anthony, s'envole, fait un large tour au-dessus de la maison et revient très rapidement près de celui qui l'a sauvé. Anthony pousse un cri de joie. Le pigeon ne cherche pas à s'enfuir. Il veut rester près de l'enfant qui le nourrit et l'aime comme un compagnon.                                                                          A partir de ce jour, les fenêtres restent ouvertes chez les Peters. Le pigeon s'envole de temps en temps, s'évade quelques minutes dans le ciel, mais revient toujours très vite dans la chambre d'Anthony, où il se pose sur le bureau pendant que l'enfant travaille à ses devoirs. Anthony et le pigeon sont devenus inséparables.                                                                                           Quant son père organise une promenade en voiture, Anthony emmène son ami qui s'installe sur son épaule et regarde la route défiler avec un oeil rond et sans cesse étonné. Quand les Peters sont invités à dîner, Anthony est toujours accompagné du pigeon qui mange dans sa main des miettes de pain et attendrit ceux qui le regardent.

     

     

     

     Les mois passent, l'automne aux feuilles dorées chasse l'été, et puis l'hiver s'installe avec la neige, la pluie et le froid. Quelques jours après Noël, Anthony tombe brusquement malade. Une forte fièvre et des douleurs violentes dans le ventre le clouent au lit. Le docteur est appelé d'urgence. Il diagnostique une péritonite. Il faut opérer Anthony sur-le-champ. Une ambulance emporte l'enfant inconscient à Philippi, une ville située à cent kilomètres de là, qui possède un hôpital moderne. Mark Peters et sa femme accompagnent leur fils dans l'ambulance et referment la porte de leur maison sans penser au pigeon affolé qui vole dans tous les sens à la recherche de son jeune maître. Anthony est admis aux urgences. L'opération est pratiquée immédiatement. Au petit matin, le médecin de agrde rassure les parents inquiets : "Anthony se porte bien, l'opération a réussi." Dans la matinée, après avoir rendu visite à leur fils endormi, Les Peters reprennent la route de Summersville. Ils reviendront dans trois jours pour ramener Anthony à la maison s'il ne se produit pas de complications.

     

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    Lorsque les Peters arrivent chez eux, ils constatent la disparition du pigeon. Mark Peters sait que son fils sera triste s'il ne retrouve pas son compagnon, et il passe une partie de la journée à chercher le pigeon introuvable. Lorsque le soir tombe, il abandonne ses recherches. le pigeon s'est envolé depuis la veille. Il a dû se perdre dans la neige et sans doute a-t-il succombé. Le lendemain matin, Anthony reprend conscience, dans la chambre blanche de l'hôpital. Il est pâle, fièvreux et semble flotter dans un coton moëlleux qui lui soulève le coeur. Les infirmières entourent l'enfant, lui donnent à boire, lui apportent des illustrés pour le distraire. Mais Anthony est trop faible pour bouger. Ses yeux fixent la fenêtre qui montre un coin de ciel gris brouillé par la neige. Le médecin l'examine et le réconforte en lui disant que le lendemain ses parents seront là et qu'il pourra retourner chez lui. Soudain Anthony fronce les sourcils et fait un effort pour se redresser sur son lit.

    - Que ce passe-t-il ? demande le médecin, avec curiosité...

    - Chut répond l'enfant, écoutez, écoutez bien.

    Le médecin écoute et se tourne instinctivement vers la fenêtre. Il entend une sorte de grattement, imperceptible, puis plus fort. Un grattement qui s'arrête pour reprendre, plus faiblement. Anthony se dresse. "Vite ouvrez la fenêtre ! " Le médecin le regarde sans comprendre. "Ouvrez la fenêtre je vous en supplie", répète l'enfant. Le médecin hausse les épaules, se dirige vers la fenêtre et s'exécute. Dès qu'elle est ouverte, son oiseau jaillit et vient directement sur le lit. Anthony le prend dans ses mains. C'est son pigeon...! Son ami qui vient de parcourir plus de cent kilomètres pour le retrouver...Oui, le phénomène est là. Un pigeon vient de parcourir 100 kilomètres dans une direction qu'il ne connaissait absolument pas. Il a traversé les dangers d'une ville, après avoir affronté la neige, la nuit et le froid. Il a trouvé tout seul le chemin de l'hôpital, perdu au milieu des centaines d'immeubles et une fois au-dessus de l'hôpital il a su trouver la bonne fenêtre de la chambre d'Anthony. Une fenêtre pareille à des centaines d'autres...!!

      Mais justement disent les savants du monde entier, dans ce cas précis, il ne peut s'agir de l'instinct du pigeon, puisqu'il ne regagnait pas son nid, qu'il se dirigeait vers un lieu qu'il ne connaissait pas. Cela est bien plus incroyable que l'instinct. Cela ne s'explique pas. La très sèrieuse revue "PSI International" qui rapporte ce phénomène, évoque la possibilité de chaînes invisibles et sensorielles qui peuvent réunir les oiseaux et les hommes. Ou, du moins, certains oiseaux et certains hommes. Toujours est-il qu'Anthony Peters a retrouvé son pigeon. Il ne cherche pas à comprendre, lui, comment le phénomène dont il a été le héros involontaire peut être expliqué. Dans la simplicité de son âme enfantine il se dit, peut-être, Anthony Peters, que le monde des oiseaux est certainement beaucoup plus intelligent et meilleur que celui des hommes...

    Et il a raison...

    Image

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     Est pris qui croyait prendre...

    Le Poisson d’avril, tout le monde le sait, n’est autre chose
    qu’une attrape, un piège innocent (et bienséant, cela va sans dire)
    que l’on tend à quelque personne amie, parente ou familière,
    le premier jour de ce mois d’avril. Donner un poisson d’avril à quelqu’un,
    c’est lui faire faire une démarche inutile, lui annoncer une nouvelle
    qu’on invente, l’envoyer au-devant de quelqu’un qui ne vient pas,
    en un mot, se divertir un peu à ses dépens, et éprouver sa patience.                                  Que ceux de mes amis à qui j'ai fait quelques tours me les pardonnent                                 et moi j'en ris encore des leurs et pour lesquels je ne leur en ai jamais voulu.

    quelques lègers poissons d'avril :

    Inverser les boutons de la souris de l’ordinateur familial en allant dans Paramètres > Panneau de configuration > Souris > Boutons > permuter les boutons principal et secondaire, ou choisir la configuration pour gaucher. Ils cliquent, ils cliquent, ils cliquent et rien ne se passe : petite crise de nerfs garantie !

    « On a renversé un seau d'eau sur la chaise de notre prof d'anglais avec des camarades. C'était une remplaçante. On a bien ri, mais elle beaucoup moins. A l'époque, on avait 15 ans, on était très blagueurs. J'ai aussi mis du film plastique transparent sur les toilettes au lycée. Quand les gens allaient aux WC, ils s'en mettaient partout. J'avais vu ça dans une émission à la télé et je trouvais ça hilarant. »

    toilettes celophane

     

     « Mon oncle a glissé un poisson en papier dans mon casse-croûte, à la place du jambon et du fromage. A l'école, à la pause déjeuner, j'ai croqué dans le sandwich et j'ai failli avaler le papier en entier. C'est le poisson d'avril qui m'a à la fois le plus contrariée et le plus amusée. Avec cet oncle farceur, c'était le 1 er avril toute l'année. Quant à moi, je préfère raconter des blagues que préparer des farces. »

    « Des amis m'ont fait croire que je devais jouer en concert à Lyon. Une vingtaine de personnes étaient dans le coup. J'ai donc pris le train avec ma guitare. Au bout d'une demi-heure, j'ai appelé un ami qui m'a avoué que c'était une blague. Pendant dix minutes, je leur en ai voulu. J'ai repris le train jusqu'à Paris. Mes amis m'attendaient, ils étaient tous pliés en deux et m'ont finalement payé le resto. » 

    Celle-ci vient de Belgique. Un gérant d’hôtel de Gosselies à Charleroi avait préparé une petite plaisanterie pour le 1er avril : faire croire à son ami qu’il était pris en otage par des bandits, rapporte l’agence belge Belga. A 1h45, il décroche son téléphone, réveille son copain, lui dit, affolé, qu’il est pris en otage par deux hommes armés. Son ami le croit. La blague tourne au vinaigre. La police débarque en nombre à l’hôtel. Et constate : aucune prise d’otages n’est en cours. Le patron de l’établissement est arrêté et emmené au poste. Il a finalement été relaxé par le magistrat de service.

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  •  Il y a plus de cinquante ans

         Bribes d'instants de vie et d'amitié...

     

    En réalité, je publie cet article en direction de mes petits-enfants Hamza et Abderrahim qui envisagent de faire une tournée de ce genre à l'étranger avec deux de leurs camarades pour qu'ils prennent des cartes d'Aubergistes de Jeunesse et ainsi retrouver d'autres jeunes de tous pays pour hébergement et séjour à moindre frais. Et je vais partager cet article sur leurs pages facebook

     

     Blog de mordu : mordu, Voyage dans le rétroviseur

    Ecole Larbi Tebessi à Miliana

    Il était enseignant , moi fonctionnaire, et nous nous liames d'amitié en cette ville de Miliana dont tous deux n'en étions originaires.
    Une regrettable mésentente dans son ménage faisait qu'il était souvent chez moi - où il était chez lui - et il avait même fait du vieux piano du salon que taquinaient mes enfants, la cachette de sa "fortune" sans qu'ils ne s'en aperçoivent. Moi, non plus.
    Nous décidames en ce début des années d'indépendance de l'Algérie  de faire un voyage aux pays nordiques Danemark, Norvège, Suède avec dans mon esprit l'idée d'atténuer les ennuis de mon ami.


    Ce sera donc un voyage des bruns chez les blonds !


    Nous n'allames pas plus loin que la Hollande mais eûmes le bonheur de séjourner à Scheveningen, la ville des rois.
    Nous embarquâmes d'Alger avec la voiture de mon ami, une Renault Dauphine, mais aussi avec Azizi et Saidani, que Dieu ait leur âme, qui s'imposèrent à nous pour être du voyage mais que nous abandonnames à Paris, après avoir assisté au défilé du 14 juillet sur les Champs Elysées, leur incompatibilé d'humeur en étant la cause.
    De Marseille à Paris, nous nous arrêtames souvent pour nous restaurer et nous nous rappellerons toujours en particulier d'une auberge du côté de Montelimar, spécialisée dans les grillades de sardines que nous dégustames jusqu'à satiété... 
    Nous repartimes donc mon ami et moi de Paris vers le Luxembourg où, un jour férié, le Syndicat d'Initiative de la ville nous fit le change (les banques étaient fermées ce dimanche), en panne que nous étions de la monnaie locale car nous faisions caisse commune.
    Depuis notre départ de Paris et jusqu'à notre retour à Marseille pour embarquement vers chez nous, un leitmotiv de mon ami revenait sans cesse:

    "T'as pas soif, toi ?"
    C'était sa manière à lui de me dire qu'il fallait qu'on s'arrête au devant d'une buvette ou tout autre débit de boissons où il étanchait sa soif d'une bière bien fraiche.  Je me devais quant à moi, même quand je n'avais pas soif, de prendre une orangina ou un soda pour l'accompagner dans son rafraichissement de gosier, non consommateur d'alcool que j'étais...
    Les règlements de l'Auberge de Jeunesse de Bruxelles prescrivaient aux aubergistes de participer aux tâches d'entretien des lieux et il nous échut, mon ami et moi, de balayer devant l'auberge qui ouvrait sur une grande place. Dans son appareil photo, mon ami m'emmagasina, à mon insu, tout accaparé que j'étais par ma noble tâche, un balai à la main.
    Et à notre retour à Miliana, je fus étonné des réponses qu'il apporta à nos amis qui nous demandaient comment s'était déroulé notre voyage.
    -"Nous sommes tombés en panne d'argent à Bruxelles et ce n'était Mohamed - c'est donc de moi qu'il parle ! - je ne sais comment nous nous en serions sortis. Heureusement que Mohamed a déniché un emploi de balayeur à la commune de Bruxelles dont voici la photo-preuve que j'ai prise ! 
    Et combien il me fut difficile de rétablir la vérité !

    En Hollande, à Amsterdam, toujours à cause de sa bière, nous échouames dans une taverne où étaient fixées au sol de longues tables avec de part et d'autre des bancs façonnés dans du gros bois.


    Comme dans les films de ports et de corsaires, la maitresse tavernière trônait derrière son comptoir et portait un bandeau sur un oeil, le borgne. Le garçon qui vint nous servir nous demanda, en arabe de chez nous, si nous étions  Algériens. A notre réponse affirmative, il nous conseilla, sitôt nos consommations avalées, de nous en aller au plus vite car les lieux se transformaient souvent en arènes de grandes bagarres.
    Comme dans les films.
    Nous eûmes à prendre un africain auto-stoppeur belgo-congolais (solidarité africaine oblige !) qui voulait rejoindre la prochaine ville sur notre route et  arrimâmes ses bagages  - un sac à dos - sur la galerie de la voiture, contre son avis. Mal nous en prit car le vent les emporta à notre grande peine mutuelle.      

    Ainsi paya-t-il très cher la gratuité de son transport !
    Bien sûr, notre séjour en Hollande se passa en totalité dans diverses auberges de jeunesse où nous arrivions en voiture alors qu'on y attend plutot des gens à pieds et sac au dos.
    On nous classa dans la catégorie des aubergistes riches !
    Dans l'un de ces lieux, nous fimes connaissance d'une jeune fille belge, Cartouche.
    Cartouche ne nous quitta plus et mon ami ne pouvait plus s'en séparer.Elle non plus d'ailleurs, au point qu'elle lui proposa de rentrer avec nous en Algérie.
    Pour avoir mon aval, mon ami me soumit autrement cette proposition: que je rentre seul en Algérie avec sa voiture qu'il m'offrait, lui, restant aux Pays-Bas avec Cartouche. Il y enseignerait le français et ainsi aurais-je un pied-à-terre à chaque fois que je désirerais passer des vacances en Hollande !
    La corruption venait de naitre en Algérie !
    Je dûs rester avec eux plusieurs jours - en absence irrégulière de mon boulot - pour qu'il retrouve raison et que nous rentrions ensemble car comment expliquer aux siens son non retour.
    Finalement, c'est lui qui décida de ce retour avec certainement en arrière pensée de revenir en Belgique ou en Hollande retrouver Cartouche.
    Je me rappelle avoir pris le volant en direction de la France vers 18 heures - nous devions conduire chacun durant 6 heures -et à minuit, j'ai réveillé mon ami pour qu'il continue notre route, une décision commune faisant que l'un dormait pendant que l'autre conduisait.
    Quelle ne fut ma surprise de me retrouver le lendemain matin à l'endroit d'où nous étions partis la veille !!! Là où était Cartouche !
    "C'est plus fort que moi, je croyais rouler vers la France. Excuse-moi"  Il était mon ami et savait bien que mon pardon était acquis.
    Ce fut un voyage inoubliable.
    S'en souvient-il de temps à autre ?

    Renault Dauphine

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    Défilé du 14 Juillet sur les Champs Elysées, la plus belle avenue du monde

    Syndicat d'Initiative de la ville de Luxembourg

     

    «Luxembourg City Tourist Office», a été créé le 6 décembre 1933 en tant que «Syndicat Officiel d’Initiative et de Tourisme de la Ville de Luxembourg» sous la forme d’une association sans but lucratif régie par la loi du 21 avril 1928.

    L'auberge de jeunesse de Bruxelles où nous passames 2 ou 3 nuitées

    Blog de ghadames : ghadames, Abderrazak

     

    L'Auberge de jeunesse Jacques Brel est au centre de Bruxelles, à 10 minutes de la Gare du Nord et à 15 minutes de la Gare Centrale. Cette auberge organise des concerts et des visites à thème de la ville. Elle a une salle de télé et de jeux, et une laverie. Il y a aussi un bar avec terrasse d'où vous pouvez relaxer et goûter aux bières et petits délices traditionnels de Belgique. Draps et petit déjeuner sont compris dans le tarif de la nuitée.
    Bruxelles est une ville bilingue – on y parle français et flamand. Des édifices très modernes dominent la ville et ils font bon ménage avec le patrimoine ancien. La Grand Place enchante les visiteurs; on dit que c'est la plus belle place d'Europe.

     

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    . Pour qui cherche à décompresser, Scheveningen offre d'innombrables solutions Scheveningen est incontestablement la station balnéaire la plus connue des Pays-Bas. Sa plage fait le bonheur des baigneurs et des amateurs de sports nautiques. Mais à Scheveningen, les loisirs et les divertissements ne se limitent pas à la plage : cinéma, théâtre, casino, musées, bowling, front de mer et boutiques, écoles de surf, manifestations sportives, restaurants, kiosques, clubs de loisir et fêtes les pieds dans le sable.
     Que le soleil soit au rendez-vous ou non, certains lieux de Scheveningen méritent une visite. Il y a d'abord la jetée, qui offre un superbe point de vue sur la mer, la plage, le boulevard et la majestueuse bâtisse du Kurhaus. Vous pourrez également découvrir l'univers sous-marin au SEA LIFE. Côté culture, les dunes de Scheveningen vous réservent une surprise : un étonnant jardin de sculptures, le Beelden aan Zee (Sculptures du bord de mer). Et pour finir, une information importante, et non des moindres. Scheveningen, avec ses énormes rouleaux, est la station favorite des surfeurs hollandais.
    Scheveningen n'est pas une simple succession de longues plages sablonneuses. C'est le lieu vers lequel convergent les amoureux de l'eau et des sports nautiques, de la nature, les adeptes de la fête et des loisirs

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