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    Un bouquet de Belles Roses d'Algérie auxquelles je me joins pour vous souhaiter de la Santé, du Bonheur, des Victoires dans la vie  et surtout des Sourires aussi éclatants que les leurs...   

    Merci Nakhla, Aouali, Badra, Malika, Fatima, Hanane, Khadoudja, Kahina, Khadidja, Messaouda, Ouarda, Meriem, Rym, Fatiha, Seida, Badra, Fahla et que Dieu vous donne longue vie dans cette belle Oasis qu'est l'Algérie.

    Soyez vigilantes car des envieux d'ici et d'ailleurs aspirent toujours à sa destruction et à son éclatement....

     L'Algérie est jeune, qu'est-ce qu'une cinquantaine d'années  dans l'espace du temps...                        Chaque génération à venir contribuera à son mieux, patientons donc un peu                                        Le vieux qui plante un arbre n'en mangera pas forcément ses fruits...

     

     

    Et Dieu n'a crée que de belles choses empreintes d'amour

     

     

     

    Etes-vous Cerises ou Dattes

     

    Les jumeaux

     

    La Belle et la Bête 

     

    2 Chevreaux

     

     

     

     

     

    Rose et Roses des Sables

     

     

     

     

     

    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas


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    D'après M.R.Y. Un Ténietien inoxydable et raffiné,

    un milianais, c'est 

    BILLET A UN NEO MILIANAIS OPPORTUNISTE
    Dieu merci, les vrais Milianais existent toujours. Je suis Milianais de cœur, j’aime la ville des cerises et j’aime le « Milianais El Assil ». J’aime les respectables et respectueuses dames, mères de mes amis (es) Milianais et leur « maherma » qui laisse entrapercevoir une mèche de cheveux teinte au henné. J’aime leur « seroual m’daouar », son « kat » qui me rappellent ma mère à la démarche d’une barque tanguant sur les vaguelettes. Le Milianais se distingue par son éducation, par sa profonde, bienveillante et overdose politesse qui nous désarme. Etre un vrai Milianais de souche est davantage une question de culture que de classe sociale qui caractérise la société actuelle ou de biens matériels. D’ailleurs on me raconte que le Milianais n’est souvent pas riche. Ce ne sont que les nouveaux nantis qui ont envahis la cité millénaire, néo-Milianais qui meuvent dans des langages orduriers, qui n’ont pas épousé les us et les coutumes de la ville. Le Milianais est digne et altier. Il vit simplement avec art et élégance. Il est artiste dans l’âme, un art qui pas été acquis à l’école mais qui est vernaculaire et intrinsèque à la cité. Il n’a pas besoin d’être bardé de diplômes pour être cultivé, raffiné, subtil ou imbu de sagacité. 
    Enfin, je paraphrase Kader Bakou dans son billet journalistique qui nous décrit l’Algérois et je dirais que « le Milianais est tellement bien éduqué que certains énergumènes venus d’ailleurs croient que s’il se tait c’est parce qu’il a peur. « Kayen chi nesse me’sthaem yqoulou khaf » Nous dit Hadj El Anka.
    M.R.Y. Un Ténietien inoxydable et raffiné.

    2 commentaires:

     Nariman Samira : Merci mon ami pour ton témoignage tu m'as fait rappeler ma grand-mère Aouaouche Snouci la grande classe avec Kat et la maharma les belles femmes millianaises qui resteront à jamais dans notre mémoire merci Rachid!!!!!???

     Nadjiba Charif: Nariman Samira Bonjour. Snouci. Évoque en moi des souvenirs jeunes a l époque. Venu. A l enterrement. Au sein même du mausolé. De sidi Ahmed benyoucef. la maman de notre. Grand mère. Une elfoul c est une snouci. Et notre maman une antri. Bouzar. Allah. Yarhamhoum. Toutes. Reste que les souvenirs. Et la nostalgie d antan 

    Miliana

     La commune de Miliana est située au nord de la wilaya d'Aïn Defla. La ville se situe à 113 km au sud-ouest d'Alger, à 111 km au nord-est de Tissemsilt, à 64 km à l'ouest de Médéa et à 92 km à l'est de Chlef. La ville est bâtie à 740 mètres d'altitude sur une plate-forme rocheuse aux contours abrupts en saillie sur le penchant méridional du mont Zaccar qui la couvre entièrement au nord. Elle domine, à l'est et au sud la vallée du Chélif et à l'ouest un grand plateau qui s’étend jusqu'à la chaîne de l'Ouarsenis. Miliana a un climat Méditerranéen. Les hivers sont  frais, et les étés sont très tempérés. Les précipitations atteignent ou dépassent 800 mm par an.

    Photo de l'Association Ziriya El Andaloussia de Miliana

     


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    Echange Mosquée contre Eglise

    D'un entretien entre mon ami Hadj Aissa Mohamed et Hadj Aissa Bouameur, il ressort que des pourparlers ont eu lieu en 1900 pour l'échange de lieux du Culte, l'Eglise Saint Hilarion et la Mosquée Essafah de Laghouat aux motifs suivants :

     

    Une discussion  révélatrice d'un scoop de 1900...

     

    L'Eglse Saint Hilarion de venue Musée

    La Grande Mosquée Essafah (Djamaâ Essafah)

    Mohamed Hadj Aïssa :
    Hadj Kouider Bouamer , à une de mes questions relative à la construction de l’église, m’a raconté une anecdote que peu de gens connaissent, moi le premier. Il l’a entendue de son grand-père hadj Bouameur . Vers l’année 1900 quand la construction de l'église fut achevée, quelques français vinrent se plaindre au curé que le son des cloches ne leur parvenait pas assez et qu’ils entendaient plutôt le muezzin qui lançait ses appels à la prière du haut du minaret d’essfah. Le curé, malin comme il est, eut l’idée d’inter changer les deux édifices. Il prit contact avec des gens d’un certain âge , le plus souvent illettrés et habitant du coté d’el kabou et la partie nord de l’oasis pour leur tenir le discours suivant : » Vous êtes âgés , la mosquée est loin et la pente est trop pénible pour vos jambes vieillies , pourquoi ne demanderiez vous pas de vous rapprocher la mosquée ? Et je consens à vous céder l’église qui deviendra votre lieu de prières qui sera ainsi plus près » Certaines personnes furent enchantées par l’idée mais la majorité refusa un tel marché. 
    Le curé fit prévoirr une calèche qui transporta les quelques personnes dupées pour rejoindre Médéa , lieu de résidence du commandement militaire dont dépendait Laghouat, pour soumettre l’idée au général au nom de la population de la ville. 
    Arrivés à Médéah la délégation fut reçue par le colonel BENDAOUD , qui servait, en ce temps là, d’interprète au général français.
     Le colonel voulait savoir le but de leur mission et leur posa quelques questions.
      - Vous dites que vous parlez au nom de la population ? Dites-moi alors , quelqu’un parmi vous a-t-il versé de l’argent pour la construction de la mosquée ou participé par son travail à sa réalisation ?
      - Non personne dirent-ils
      - Alors retournez chez vous , vous ne représentez rien et encore moins la population que vous prétendez représenter.
     Et c’est ainsi que le plan du curé échoua grâce au colonel Bendaoud.
     
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    Mon Coup de Gueule

    Un écrit de Mr Mohamed-Seddik LAMARA, ex-journaliste à Algérie Presse Service (APS)                                         et Collègue de mon feu frère Ahmed peintre amateur et sculpteur sur bois (il m'a laissé                                     un coucher de soleil sur la mer et une statuette grandeur nature d'un salut scout) ,                                          Lah Errahma et en son souvenir..

     Elles, Ils chantent, mais...

     

    La Cigale, ayant chanté
    Tout l'été,
    Se trouva fort dépourvue
    Quand la bise fut venue :
    Pas un seul petit morceau
    De mouche ou de vermisseau.
    Elle alla crier famine
    Chez la Fourmi sa voisine,
    La priant de lui prêter
    Quelque grain pour subsister
    Jusqu'à la saison nouvelle.
    « Je vous paierai, lui dit-elle,
    Avant l'août, foi d'animal,
    Intérêt et principal. »
    La Fourmi n'est pas prêteuse :
    C'est là son moindre défaut.
    « Que faisiez-vous au temps chaud ?
    Dit-elle à cette emprunteuse.
    — Nuit et jour à tout venant
    Je chantais, ne vous déplaise.
    — Vous chantiez ? J’en suis fort aise.
    Eh bien ! Dansez maintenant. »
    — Jean de La Fontaine

    VOL AH 6132 ALGER – BECHAR : RENCONTRE AVEC LA DIVA DU « GNAWI »

    Le bel adage qui dit : « rouba soudfatin khayroun min alfi mi’ad »                                                                                                        (il se peut qu’une rencontre due au hasard, vaille mille rendez-vous !)   

    J'’ai eu l’heur et le bonheur de le vérifier en cette journée du 17 avril 2O17 sur le vol AH 6132 ALGER – BECHAR. Une journée, toutefois, dès l’aube, parsemée de moult tracasseries inhérentes , entre autres, aux surréalistes embouteillages sur la sinistre RN 5, l’accès au parking de l’aéroport envahi par des véhicules stationnés dans une indescriptible pagaille, et cerise sur le gâteau…un retard de près de deux heures sur l’heure de départ fixée à dix heures.
    Dans l’aérogare, à l’enregistrement et dans le car surchauffé, portes et fenêtres fermées, bondé de passagers trépignant de rage, le calvaire s’exacerbait. Sur le tarmac, face à un ATR poisseux venant tout juste d’atterrir, il nous fallait encore poiroter une vingtaine de minutes, le temps de ravitailler l’appareil et de charger les bagages. La colère monte. Les bébés incommodés par l’humidité et la chaleur vagissent a tue tête.
    Enfin les portes du bus s’ouvrent libérant la foule de l’étuve sur quatre roues. Une vieille dame drapée dans un pagne et portant un chèche au blanc immaculé, le visage noir à moitié couvert de grosses lunettes de soleil, avait toutes les peines du monde à descendre. Deux jeunes l’aidèrent avec grande prévenance à descendre. J’ai entendu l’un deux lui dire avec douceur : « doucement el Hadja Hassna, agrippe toi bien à bon bras, c’est la dernière marche. » On lui ouvrit le passage pour lui permettre de grimper la première sur le trolleybus volant !
    La vieille dame tout de blanc parée et la femme d’un certain âge qui l’accompagnait prirent place sur la rangée arrière adossée à la cabine de pilotage. En passant près d’elles, mon regard s’attarda sur la première dont le visage noiraud était éclairé par le hublot. « Mais je la connais celle-là », me suis-je dit très confiant en mon infaillible mémoire visuelle ! Près du réduit réservé aux stewards j’ai fait exprès d’attendre que tous les passagers prennent leurs places. Entre temps, j’avais pris la liberté de causer avec les premiers pour leur demander les causes de ce long retard dont les voyageurs continuaient à maugréer. 
    L’hôtesse de l’air esquissa un haussement d’épaule accompagné d’un sourire-rictus désolé et le steward un écarquillement des yeux appuyé par une moue des plus dubitatives. J’avais tout de suite compris qu’il ne fallait pas poursuivre la discussion. Une fois le calme revenu dans les travées de l’aéronef, je me suis approché de la vieille dame qui finissait de s’essuyer le visage perlé de grosses gouttes de sueur. La climatisation faisait cruellement défaut.

    Mu par l’élan professionnel, j’ai osé « l’importuner » pour lui demander tout de go : « ne seriez-vous pas Hassna el Bacharia, la perle du gnawi et de la Saoura ? » Nullement dérangée par ma question, elle me répondit souriante de sa voix éraillée rappelant celle des gospels : « wah w’lidi anna hiaya, wa enta chqoun ? » Une fois les présentations faites, elle m’apprit qu’elle avait été invitée par le ministre de la culture pour prendre part aux cérémonies du 16 avril consacrées à la célébration de « Youm El ‘ilm ».
    De fil en aiguille, elle me confia qu’elle ne pouvait rater cette exceptionnelle occasion à la faveur de laquelle les autorités se sont rappelées d’elle pour l’honorer. Mais, ce faire valoir lui importait peu ou prou. « Je tenais à mettre à contribution cette fête pour sensibiliser les autorités sur la détresse dont je pâtis à l’orée de la décrépitude, après avoir donné le meilleur de moi-même à la culture nationale, me voilà aujourd’hui, démunie malade et croupissant dans un taudis », a-t-elle tenu à préciser avec, à la fin, un long soupir qui en dit long sur le poids des épreuves qui ne cessent de la poursuivre depuis son enfance.   

    Rey Malek de ma prime jeunesse qui faisait parler le OUD,
    qui fréquenta le Roi du Maroc Mohamed V et 
    qui mourut dans le besoin alors qu'il souhaitait qu'on
    l'aide à ouvrir une simple Ecole de Musique à Laghouat


    Elle me confia encore qu’elle avait remis une lettre à M. Azeddine Mihoubi sollicitant de sa part une intervention auprès du wali de Béchar dans l’espoir de se faire attribuer un logement pour y passer, dignement, les derniers jours de sa vie. Je ne pus résister à la tentation de fixer ce moment historique par des photos et une vidéo jointe à cette contribution. Pris sur le vif, elles sont de loin plus exressives que mes dires.
    Une fois arrivé à Béchar pour rendre visite à un ami intime malade, et une fois mon devoir accompli, je me suis empressé avec l’aide d’un taxieur de me rendre au quartier où réside la diva du gnawi. Un quartier ? C’est trop dire ! Le taxieur stoppa au milieu d’une rue défoncée logeant la berge de l’oued Béchar et me montra du doigt le gourbi dont un pan était déjà en ruine. « C’est là qu’habite la grande Hassna El Bacharia » me dit-il, sans ajouter un mot. Nous nous fixâmes des yeux dans un grand silence. Un silence qui parle. Avons-nous tout dit sur la détresse des artistes ? Que non ! Hassna a tout dit ! Peut-être pour la dernière fois. L’âme en peine, j’ai prié mon compagnon de me conduire jusqu’à l’aéroport « Colonel Lotfi BOUDGNEN » pour prendre l’avion retour sur Alger. ....

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    Héroïque Algérie

    Fier de son histoire et sa géographie

    Ce pays a lutté, relevant les défis

    Son peuple a combattu l’hydre sanguinaire

    Lorsque le monde entier voyait et laissait faire

     

    Les uns riaient sous cape, voulaient la soumission

    Les autres soutenaient bien fort la régression

    Au moment où nos lions livraient une bataille

    Sur les monts, dans les vaux, une lutte sans faille

     

    L’Algérie a déjoué les plans machiavéliques

    Lui barrant le chemin du progrès authentique

    Elle a payé le prix comme à l’accoutumée

    Fidèle à ses martyrs, c’est connu désormais

     

    La forêt, la montagne, le désert et la mer

    Embellissent cette terre dont les siens sont fiers

    Contraints de vivre ailleurs, souvent à contrecœur

    Ses enfants qui l’adorent y reviennent et meurent

     

    Merci mon bel éden et que le ciel pardonne

    A ceux qui n’ont pas su l’affection que tu donnes

    Même tes ennemis aux clameurs honteuses

    Reconnaissent maintenant ta position sérieuse

     

    Ceux qui chantaient naguère, qu’ils dansent maintenant

    Comme la cigale du fabuliste Jean

    Les années rouges sont derrière et l’avenir promet

    Aux braves de ce pays de vivre et de s’aimer.

    De Brahim Boumedien, mon ami, cité dans l'anecdote de fin de page

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    La ga3da ou Gaâda nomade ou à la nomade                                                                        Moments de déclamation de poèmes                                                                          dans  une convivialité toute saharienne sous la khaïma
    Admirable attention en capture et appréciation de chaque mot. 
     
    La poésie est un genre littéraire très ancien aux formes variées,                                                         écrites généralement en vers mais qui admettent aussi la prose,                                                                 et qui privilégient l'expressivité de la forme, les mots disant plus                                                         qu'eux-mêmes par leur choix (sens et sonorités)                                                                                          et leur agencement (rythmes, métrique, figures de style).
     
     
    Houari Boumediene s'y reporte en disant à El Kaddafi :
     
     
     
    Quand Kadhafi se faisait reprendre par Boumediene
    Échange entre “zaïms” sur la culture des Algériens 

    À la fin d’un dîner de sommet arabe des années 1970, Kadhafi fut pris d’un malaise. Ne pouvant mettre la main sur son médecin, Boumediene lui propose les services de son docteur.                                                                                                            “D’accord, répond le “guide”, mais ça m’étonnerait qu’il comprenne l’arabe, les médecins algériens étant formés par la France et, peut-être, sera-t-il gêné par l’inconfort de la khaïma, habitués que sont vos médecins au luxe parisien…?”                                       Devant ces insinuations sur l’inculture et l’influence dont souffrent les Algériens, Boumediene rétorque:                                                                                                                      “Tu auras toujours intérêt, mon cher Mouammar, à fréquenter les Algériens. Mon médecin est médersien et excellent bilingue, en plus d’être très bon clinicien. Il va soulager tes maux, mais connaissant ton penchant pour la poésie arabe, tu auras le privilège d’apprendre, avec lui, quelques notions de “balagha”, des Mou’alakat et les différences de style entre Imr-ou-El-Kaïs et Zoheïr Ibnou Abi Salma. Il peut t’entretenir de science, de fiqh, d’histoire des civilisations et de littérature latine, et non pas uniquement française. Et pour la khaïma, c’est un fils d’une région du Sahara, connue par sa race ovine, ses palmiers et par ses poètes ; il a grandi dans une tente moins luxueuse, éclairée à la bougie et dotée de lait de chamelle !”
     
    Boumediène parlait ainsi du Pr Kebbab Mohamed, ami de mon ami Brahim Boumedien qui m'a rapporté à son sujet : 
     
    le médecin dont il est question, le professeur Kebbab Mohamed (Rahmatou Allahi alayhe) était un frère et ami d’Ouled-Djellal, où lui, comme moi, sommes nés et avons grandi pour ensuite continuer nos études à la médersa de Constantine où il me dépassait de deux classes. C’était effectivement une sommité sur le plan professionnel et intellectuel et d’une modestie sans égal. C’était le genre de gars qui t’animait une discussion avec une grande spontanéité et sans effort. Il était aimé et apprécié de tous, pour ses qualités morales et sa disponibilité à rendre service chaque fois que quelqu’un frappait à sa porte. Malheureusement, ce médecin-militaire, officier supérieur de surcroît a rejoint l’éternel trop tôt, à l’âge de cinquante-trois ans ! Celui qui est au ciel, saura le récompenser.
     
     
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