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Je voudrais...
Je voudrais tant, avant que de partir : voir l'Algérie retrouvée
où règnent la Paix, la Consorde, la Soldarité, l'Amitié, le Bonheur...Je cherche :
- un électricien pour rétablir le courant entre les gens qui ne se parlent plus,
- un opticien pour changer le regard des gens vis-à-vis des autres,
- un artiste pour dessiner un sourire sur tous les visages.
- un maçon pour bâtir la paix,
- et enfin un professeur de maths pour ré-apprendre à compter les uns sur les autres.et
Une demeure semblable à chaque famille algérienne
où elle pourrait inviter des amisune Algérie dans la musique et la joie où chaque ville ait sa fête
et où les troufions se restaurent au Mess des Officiers, la fleur au fusilJe voudrais tant que les coeurs s'attendrissent et se lient d'amitié
Que tous les Algériens vieillissent en beauté
sans remords, sans regret, sans regarder l'heure,
aller de l'avant, arrêter d'avoir peur,
car à chaque âge, se rattache un bonheurEt qu'ils n'oublient pas leurs lunettes
Papy, je t’apporte tes lunettes ?
- Pourquoi faire ? Pas besoin de lunettes pour regarder la télé !
- Si papy ! cela fait une heure que tu regardes le four !Avec une moyenne de 75,6 ans, les Algériens ont
la meilleure espérance de vie du continent africain.
Les Algériens vivent en moyenne 75,6 ans.
C’est du moins ce qu’indiquent les statistiques de
ce mois de mai publiées par l’Organisation mondiale
de la santé (OMS). Cette dernière classe les Algériens
comme étant le peuple qui a la meilleure espérance
de vie du continent africainQu'ils prennent soin de leur pays et des leurs
Que leurs voeux se réalisent
Que l'Islam de tolérence à l'algérienne prédomine
Que l'Algérie soit préservée dans son unité et en paix
Que chaque famille ait une voiture
pour faire du tourisme en son beau paysQue nos traditions les plus nobles, perdurent
Et puis qu'il soit en tenue traditionnelle ou autre,
l'Algérien reste d'une élégance remarquable
et souvent avec plusieurs flèches en son arc (2 en 1, 3 en 1 et plus)Que l'Algérien mette ses capacités dans l'édification de son du pays
comme s'y préparent ingénument ces 2 ingénieurs en herbe
Que l'hospitalité soit éternelle
Que la borma soit toujours sur le feuAnecdote véridique : Président de l'Assemblée Populaire de la Wilaya de Laghouat (APW), mon ami Foudil Benbey, un jour de Ramadhan était parti de Laghouat pour rejoindre Annaba.L'adhan du F'tour le surprit sur la route, encore loin de Annaba. Dans une ville de passage, il repéra une maison ordinaire et frappa à sa porte. L'hôte qui lui ouvrit ne fut nullemment surpris de l'entendre s'inviter à sa table et partager son f'tour familial en toute simplicité confiant en l'hospitalité algérienne.
Et combien j'ai apprécié cette initiative. .
En suite de quoi, la famille de Foudil et celle de son hôte devinrent amies avec souventes visites mutuelles à Laghouat et Annaba malgré la grande distance les séparant. Ainsi est l'Algérie. Ainsi sont les Siens ....Que les puits ne tarissent jamais
Inviter et accueilir avec le sourire pour un thé d'amitié
que le sourire éclaire à jamais notre vie
Se Chérir jusqu'à la fin
Souhaits à toutes et tous d'être mamans et papas...
et partager ce qu'a dit Victor Hugo :
Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire,
Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire,
Ses pleurs vite apaisés,
Laissant errer sa vue étonnée et ravie,
Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie
Et sa bouche aux baisers !
Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j'aime,
Frères, parents, amis, et mes ennemis même
Dans le mal triomphants,
De jamais voir, Seigneur ! l'été sans fleurs vermeilles,
La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles,
La maison sans enfants !28 ans après son mariage, un collègue de bureau a eu la joie de voir la naissance de son premier enfant, une poupée qu'il a vue grandir et prouver que la stérilité du couple n'était pas définitive...
Le mariage à la Sidi Maâmar obéit à un certain nombre de règles ancestrales héritées en leur temps des prescriptions de Sidi Maâmar qui, pour faciliter les unions des couples avait considérablement réduit le montant de la dot à un louis d'or. Cela permettait aux jeunes filles de trouver époux et contournait un célibat qui laissait sur la touche nombre de jeunes par manque de moyens. Cette tradition a cours surtout entre Cherchell, Ténès, Chlef, Miliana et bien sûr en d'autres coins du pays. Les enfants des futurs devront respecter cette tradition à leur tour et c'est ainsi qu'elle se perpétuera.
Que les kheimas soient toujours celles d'El Joud oua El Karam
Lire, s'instruire
car un esprit qui ne lit pas est
comme un corps qui ne s'alimente pas
il meurt ...Que le thé , même ramené de Ghardaïa, réunisse les amis ci-dessus qu'ils soient de Miliana ou de Laghouat ou d'ailleurs
le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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