• anecdotes

     

     On dit de vous...

     

    ~On dit de lui qu'il est le premier algérien écrivain.Mohamed ben si Ahmed ben Sidi Chérif (16 février 1879-21 mars 1921) était un fils de grande tente de la région de Djelfa Dans l'un de ses livres, on peut relever:                                                                             

    "Il parait, l'interrompt une jolie femme blonde, que chez vous, monsieur, on mange des sauterelles et qu’on fait sa prière sur les terrasses ! " - Qui vous a dit cela Madame ? - Mais je l’ai, je crois bien, lu dans Tartarin de Tarascon , - On prétend même, interroge une autre, que les arabes ont l’hospitalité si généreuse qu ils offrent tout…et, rougissant un peu, elle ajoute :même leurs femmes à l’hôte qui ils reçoivent….Pourtant vos femmes sont voilées et enfermées..

    -Vous ignorez tout de notre mentalité, les colons, qui exploitent mon pays font du sensationnel et déforment la réalité. Ils divisent mon peuple et lui inventent des fables. Nos épouses arabes, si on leur offrait de partager ce qui fait votre joie, madame, vos élans vers l’intellectualité masculine, votre souci constant et si charmant d’une vie plus active, plus agitée, elles vous répondraient que, seules suffisent à leur bonheur la satisfaction du mari et les joies de la famille.

     

    Miliana, la ville de tous mes bonheurs

    Son Saint Patron, Sidi Ahmed Benyoucef aurait dit :

    "Miliana, kharejha rabah, dakhelha rabeh"       =

    "Qu'on en parte ou qu'on y vienne, que du Bonheur!"

    J'y suis arrivé à 14 ans, que de la joie !

    Résultat de recherche d'images pour "Miliana, les belles sources"

     Milianaise, elle oublie de dire: à Miliana

     

     Mon ami, mon frère Mostefa Seridi

    En mars 1982, à l'occasion des vacances scolaires, en compagnie de mon épouse et de deux de nos enfants, Mohammed-Ali et Mérouane, encore en bas âge, nous fimes un voyage en Tunisie. On voyageait alors aussi pour faire quelques achats, les restrictions locales nous privant de pas mal d'articles et denrées. Les Algériens se retrouvaient donc en grand nombre dans les super-marchés et autres magasins tunisiens.

    Faisant une réflexion sur "les prix qui sont aussi élevés que chez nous", un couple voisin , des Algériens, se mêla à notre conversation et la sympathie aidant, nous continuames ensemble une balade à pied dans Tunis.

    - D'où êtes-vous?
    - De Miliana.
    - Et vous?
    De Guelma.

    Dieu m'avait donc mis en présence de guelmis susceptibles de me renseigner sur la famille de mon ami Mustapha.

    Et je formulais aussitôt ma question ainsi: "ça tombe bien que vous soyez de Guelma parce que ça fait des années que je cherche, sans succès, à retrouver la famille d'un ami devenu mon frère, tombé au champ d'honneur et je dispose de l'une de ses dernières photos que je voudrais remettre aux siens. Il s'appelait Mustapha SERIDI.

    - Ah! Mostefa, c'est mon frère" me dit la dame en se jetant à mon cou!
    - Oui, c'est son frère et mon cousin! renchérit le mari.

     

     L'oreille doseuse

     A midi, sous la Boutma, arbre centenaire sur les branches duquel pendaient de nombreux bouts de tissus attachés là en signe de voeux par des visiteuses car cet arbre était vénéré comme un "saint", nous nous mettions en rond autour du pôt de petit lait, notre matlouâ en main. Le pôt tournait et chacun en prenait une gorgée, aspirée fort bruyamment, avant de le passer au suivant.Cette gorgée de petit lait rejoignait un bout de galette préalablement embouché.
    Moi, "venant du collège où l'on apprend les bonnes manières",
    ma gorgée était toute silencieuse...
    Mal m'en prit et pas pour longtemps !
    "Hé, toi, fais-nous entendre ce que tu avales!"
    me lança mon oncle Ferhat, responsable de l'équité restauratrice.
    Je compris alors le pourquoi de cet ordre impératif !
    C'était la manière, le bruit d'aspiration aidant, de doser
    la gorgée de petit lait afin que personne ne boive plus que l'autre....

    Ainsi, je venais de découvrir l'Oreille Doseuse.. 

    Blog de ghadames : ghadames, L'oreille doseuse

     

    La clef

    Potache et interne au Collège, devenu Lycée Mustapha FERROUKHI, révolutionnaire décédé dans un accident d'avion en allant rejoindre son poste d'Ambassadeur de l'Algérie Combattante à PEKIN, je ne sais comment je m'étais débrouillé pour avoir la clef de la porte d'entrée principale du Lycée. Ainsi, chaque fois que possible, je m'esquivais pour des veillées en ville, particulièrement pendant le mois du jeûne.

    Et c'est ainsi qu'au retour d'une soirée ramdanesque, j'ai trouvé l'un de nos surveillants d'internat devant la porte du Lycée sonnant indéfiniment sans qu'on vienne lui ouvrir C'était Mr KACEDALI qui, l'indépendance du pays acquise, deviendra Proviseur de ce Lycée avant sa désignation comme Directeur de la prestigieuse Ecole Nationale d'Administration (ENA).

    Vite fait, je me dissimulais derrière l'un des platanes faisant face au Lycée, attendant que la voie se libère. Mais personne ne vint lui ouvrir. Au bout d'un long moment, je me suis présenté à Mr KACEDALI, lui disant par peur de punition, de consigne et surtout de perdre ma clef: "! Monsieur, je vous ouvre, mais vous ne m'avez jamais vu...!" pour m'entendre répondre: "Ouvre, mais tu ne m'as jamais vu et je ne t'ai jamais vu"... !!!
    Et c'est ainsi que nous sommes devenus tous les deux subitement aveugles aux portes de la Lumière et du Savoir

     

    Dis Papy !  C'est quoi être vieux ?     

    Être vieux vois-tu, c"est se lever le matin avec ses petites douleurs.
    Cest se dire souvent : il y a longtemps, avant …
    C'est ne plus parler que d'hier, comme si l'avenir n'était qu'un projet flou, irréalisable.                                    
    Mais tout ça n'est rien à côté du bonheur d'avoir à mes côtés mes petits enfants
    Hamza, Mériem, Rym, Abderrahim, Kenza, Maroua, Louiza et Zakaria.
    Que Dieu leur prête longue vie dans la santé et le bonheur
     Mohamed Hebboul

     

    Ma mère, ma maman
    gadames.eklablog.fr
    Mohamed Hebboul :Merci mon ami Lazhari Labter pour les cadeaux de tes écritures offerts à ma petite fille Meriem et moi-même qui revivrai grace à toi ma jeunesse durant laquelle ma grand'mère Chouikha et sa mère Nakhla - mon arrière grand'mère que j'ai eu la chance de connaitre- ne juraient que par Sidi Lazhari 'Ourass Bouzahra" et la rouina des Rahmaniates (un sujet fort intéressant pour l'écrivain que tu es qui te fera aller à Ksar-El-Hirane comme tu l'as fait du côté de Sétif pour Hizya dont j'attends avec impatience la parution - elle m'a toujours passionné-).Mes petits enfants bien que nés ailleurs sont tous laghouatis de coeur et Hadj Kaddour du Musée pourrait te raconter combien ils l'ont "malmené" lors d'une visite du musée où ils m'avaient demandé de les amener.Merci à lui pour le temps et la patience consacrès à ces gamins qui lui ont offert comme cadeau un livre de Hadj Kazi.Et sais-tu, Lazhari, que si Meriem suit des études médicales, c'est sur les conseils insistants de notre ami commun Mohamed Mahcen ? à qui je te demande de passer le bonjour .Moi, je me suis offert ce plaisir ...

     

    Recommandations

    Résultat de recherche d'images pour "peintures Dinet"

    (illustré par une peinture de Dinet)

    Mon grand-père Ahmed a laissé les recommandations suivantes

    à mon père encore adolescent avant de rendre l'âme :

    - Je laisse sous ta resonsabilité ta mère jusqu'à ce que tu l'enterres

    - Je laisse sous ta responsalité tes frères jumeaux Harzallah et Belgacem 

    jusqu'à ce que ton burnous et tes souliers leur iront,

    - Je laisse sous ta responsabilité tes soeurs Fatna et Hanina jusqu'à ce que tu les maries.

    Et il en fut ainsi...

     Et j'eus beaucoup de cousins

     

    Léon Tolstoï, Anna Karénine

    L'épouse, c'est bon pour le conseil ;
    la belle-mère,c'est bon pour l'accueil ;
    mais rien ne vaut une douce maman.

     Carl Gustav JUNG

    On ne peut voir la lumière sans l'ombre,
    on ne peut percevoir le silence sans le bruit,
    on ne peut atteindre la sagesse sans la folie.

    Raymond Devos

    Je suis adroit de la main gauche et 

    je suis gauche de la main droite.

     

    Photo de Mohamed Hebboul.
    Nous ne les oublions pas...
    Et j'étais parmi eux dont nombre furent
    mes jeunes joueurs de foot au SC Miliana (SCM)
    Lahoum Errahma
    Ya khwati cha3let ennar fi djbel Zaccar
    Dakhlouha chobbane sghar ya lali, ya lale
    Dja chikh El Farouzi bech isselekhoum...
    Ha sa3a tah m3ahoum Ya lali ya lale
    http://gadames.eklablog.fr/ a-leur-memoire-a127372568 ..

     

     

    Bouyarbou Youcef

    Oui ..malheureusement la lecture de toutes ces lignes et témoignages , me renvoient à cette fatidique nuit où tout à basculer.... Si je suis aujourd'hui encore en vie , c'est très sûrement graçe à l'intervention de Madame El-Foul ( Allah Yerhamha )qui est descendue à la cave où nous répétions en prévision de la soirée musicale du lendemain , pour nous aviser qu'un fo...urgon de police rodait dans la rue et que nous pouvions nous faire embarquer pour éteindre le feu dans la montagne ....Après avoir éteint nos instruments et les lumières chacun s'en est allé se mettre à l'abri...Malheureusement le destin s'acharna à lui enlever son plus jeune fils -Abderrahmane El-Foul- qui fut une des victimes de ce terrible drame ...... Allah Yerhamhoum ....et commémoration ou non ...ils resteront toujours dans nos coeurs .....car ce jour là ..impossible de l'oublier , et/ou de les oublier      L'accordoniste des WHAT'S

     

     

    C'est Sidi Ahmed Benyoucef, Saint Patron de Miliana  qui suggéra à son élève Sidi Naïl de fixer les siens du côté de Djelfa et de teindre en bandes rouges sa tente pour la distinguer des autres afin que ses visiteurs la reconnaissent.
     
     

    Une histoire vraie : L'allumette et le nafekh


    Quand l'ouïe et l'odorat suppléent les yeux.
    Si Lakhdar Laâma HEBBOUL, plus connu sous l'appellation de Lakhdar Laâma car non voyant, était le plus grand propriétaire immobilier de Laghouat. patrimoine dont se sont délestés pour sa plus grande part ses enfants et leurs héritiers et cousin de mon père qu'il employait dans sa grande ferme de la Maâmoura, à qui il lui arrivait de le faire assister à des discussions d'affaires et avis éventuels.



    Cette maâmoura que j'ai connue puisque nous y habitions chez Si Lakhdar Laâma, a été depuis complètement envahie par le béton
    Un jour d'hiver, autour d'un nafekh - brasero-, il reçut en la présence de mon père, un juif avec lequel il devait créer une association. 
    Au cours de leurs palabres, le juif claqua une allumette et Si Lakhdar Lama, aveugle donc, sentit l'odeur de la cigarette ainsi allumée.

    Immédiatent il mit fin aux discussions et donc à la future association d'avec ce juif en raison de ce que:

    - Ce juif, dit-il à mon père, doit être un gaspilleur !
    Sinon pourquoi ne pas avoir économisé une allumette alors qu'il pouvait allumer sa cigarette avec une braise du nafekh ?

    Une fortune se construit à partir de petits riens amassés !!!

     

     

    Isabelle EBERHARDT

     

       

    Une des rares écrivaines qui a suscité autant de controverses sur sa vie, son parcours, ses idées et ses rapports avec la société.

    Tout désarçonne chez cette femme: son jeune âge - elle est morte à 27 ans, emportée par la crue d'un oued à Ain Sefra -, ses déguisements en homme, ses prénoms masculins, sa maitrise de la langue arabe, son amour du Sahara, sa soif de l'Islam mais aussi de liberté, la qualité et la quantité de ses écrits, sa générosité mais aussi son anarchisme, son humanisme...           Elle assumait parfaitement ses contradictions...                                                                      " Je ne suis qu'une originale, une rêveuse qui veut vivre loin du monde, vivre de la vie libre et nomade pour ensuite essayer de dire ce quelle a vu et peut-être communiquer à quelques uns le frisson mélancolique et charmé qu'elle ressent enface des splendeurs tristes du Sahara "

     

     

     

     

     
    Mahfoud Touahri (Tahari) Lah Errahma, était un plaisantin supporter du Sport Club Milianais (SCM) et inséparable ami de Abdeslam Chérabli.Lors d'un match à El Biar où le SCM affrontait l'équipe locale, les supporters milianais de la tribune jetaient quelques objets sur l'équipe d'El Biar et la police vint chercher les perturbateurs et à Mahfoud Touahri de s'adresser à Abdeslam en leur présence "Abdeslam, dis-leur que c'est toi qui a balancé ces objets...Et c'est ainsi, exploit rare, que Mahfoud fit rirela Police

     

     Grâce et beauté algériennes

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    Photo de Mohamed Hebboul.
    Nous ne les oublions pas...
    Et j'étais parmi eux dont nombre furent
    mes jeunes joueurs de foot au SC Miliana (SCM)
    Lahoum Errahma
    Ya khwati cha3let ennar fi djbel Zaccar
    Dakhlouha chobbane sghar ya lali, ya lale
    Dja chikh El Farouzi bech isselekhoum...
    Ha sa3a tah m3ahoum Ya lali ya lale
    http://gadames.eklablog.fr/ a-leur-memoire-a127372568 ..

     ces salopards au  ZERO SUR ET DANS LA TETE ravagent nos gazelles et outardes..Ils poursuivent les gazelles avec leurs 4x4 jusqu'à épuisement.Lorsqu'elles sont à bout de forces, elles s'arrêtent et les larmes aux yeux - oui les gazelles pleurent- attendent la mort des tirs  assassins de ces emirs. Criminels, Criminels, Criminels. Tfouh alihoum.Que d'articles j'ai publiés à ce sujet devant ces bourreaux destructeurs à qui nos dirigeants permettent ce qu'ils nous interdisent et regardez comment ils exposent leurs victimes à les faire souffrir même après leur extermination.Et tout ça aussi avec partie de l'argent que leur apportent les hadjis. Révoltant...

     

     

    Celle que j’aime s’inquiète

    Brahim BOUMEDIEN-

    celle-que-j-aime

     

    Celle que j’aime est dans mon coeur

    Elle sait qu’elle y restera

    Elle sait, cette immense fleur

    Que rien ne l’y délogera

     

     Mais celle que j’aime s’inquiète

    Des aléas de la vie

    Car elle n’est pas encore prête

    A subir encore ce qu’on lui fit

     

    Celle que j’aime est une victime

    Frustrée encore de son enfance

    Mon adorée est un abîme

    D’instants pénibles et de souffrances

     

    Elle me demande obstinément

    Comment je vois les choses

    Je lui réponds assurément

    Que je vois la vie en rose

     

    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas

     

      

    Avant

     

    Aujourd'hui les gens passent leur temps

    à désirer ce qu'ils nont pas

    et à regretter ce qu'ils n'ont plus.

    Maintenant

     

     

     

    ferhaouiferhaoui | 30/09/2013

    bonjour la grande famille! ah! quel bonheur...quelle joie! certes, personne n'échappe à l'usure,phénomène insidieux mais tenace auquel est exposé tout homme,phénomène comparable à l'érosion.que de tetes innocentes pour ne pas dire des angesj'ai essayé de mettre un nom sur chaque visage helas impossible cependant un seul a retenu mon attention parmi tous:le sacré bouzar b mohammed.malgré le collier de barbe qui lui va superbement classe...on ne s'est plus revu depuis les années 1973,ca fait plus d'une génération et comme dirait ouah ya khoua kada:oui! il est dit quand la mémoire va tout??? au reste je sens dans la totalité des photos dieu merci,le moral est excellent par ce commentaire,j'ai voulu seulement vous rendre à tous un humble et fraternel hommage bon vent pour une prochaine rencontre incha-allah.l'ami ferhaoui,oran.

     

     

    Que ceux qui n'ont jamais péché
    Me jettent la première pierre.
    Que ceux qui n'ont jamais aimé
    Me refusent une prière.

    J'ai péché par colère
    Contre toi, contre moi,
    Contre toute la terre.
    Mea culpa !

     

     François Mitterand Président de la République Française à sa fille adultérine,

    «Mazarine, J'écris pour la première fois ce nom»

    Mazarine chérie,

    J'écris pour la première fois ce nom. Je suis intimidé devant ce nouveau personnage sur la terre qui est toi. Tu dors. Tu rêves. Tu vis entre Anne, le veilleur, et ce joli animal qu'on appelle le dormeur. Plus tard tu me connaîtras. Grandis, mais pas trop vite. Bientôt tu ouvriras les yeux. Quelle surprise, le monde! Tu t'interrogeras jusqu'à la fin sur lui.

    Anne est ta maman. Tu verras qu'on ne pouvait pas choisir mieux, toi et moi.

    Je t'embrasse

    maxime

    Les femmes sont comme des fruits :

    Chacune a sa couleur unique ,

    sa forme , son arôme et son goût.......

    Le proléme c' est que

    les hommes aiment la salade de fruits !!

     

    Dieu est partout et Celui de tout le monde             

     سبحان الله

     

     

    La Fidélité,

                L'amour,

                            Le Courage    

                                       L'Exemplarité  

                                                      font traverser l'oued de la VIE

                                                                                              avec le Sourire ...

     Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas

     


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