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    Bou Saada, avait un célèbre guide touristique El Khadhir au bendir ensorceleur

    Bou Saada, au pied de l’Atlas saharien, surnommée  "la Cité du bonheur  " ou encore « La Porte du Désert », étant la première oasis, à 245 km au sud d’Alger. Un lieu riche d’histoire qui à inspiré de nombreux artistes, à la manière du peintre orientaliste Étienne Dinet  (Hadj Nasr Eddine Dinet ) dont le musée éponyme à Bou-Saada porte son nom mais aussi du bref séjour, en 1922, de Colette à celui de Simone de Beauvoir, en 1957.

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    Ces Bou Saâdiates, invitées par Bab Rayan à KHEÏMET EL JOUD WA EL QARAM pour assister et participer à sa soirée poétique, ont sollicité le guide touristique El Khadhir pour les y accompagner...

     


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     Je rêve d'une Algérie retrouvée où règnent

    Paix, Consorde, Soldarité, Amitié, Bonheur...

     

    Une demeure semblable à chaque famille algérienne

    où elle pourrait inviter des amis

     

    Je cherche :
    - un électricien pour rétablir le courant entre les gens qui ne se parlent plus,
    - un opticien pour changer le regard des gens vis-à-vis des autres,
    - un artiste pour dessiner un sourire sur tous les visages.
    - un maçon pour bâtir la paix,
    - et enfin un professeur de maths pour ré-apprendre à compter les uns sur les autres.

     

     Villes et villages en fête

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     Que l'Algérie, notre beau pays si généreux, retrouve la paix et la quiétude, que chaque ville ait sa fête et que notre troupe se restaure au mess des Officiers, la fleur au fusil

    Prendre soin de son pays et des siens

     

    Ecouter le bruit des vagues

     

     

    Se dire que quand une porte se ferme,

    Dieu en ouvre une autre plus grande

     

     
     
    De jamais voirSeigneur! voir                                                                                        
     l'été sans fleurs vermeilles,                                                                                      la ruche sans abeilles,                                                                                             -      la maison sans enfants!
     
    L’image contient peut-être : plante, fleur et plein air
     
     
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     Oasis veut dire Paradis sur terre :
      Les pieds dans l'eau sous l'ombre des arbres,
    eux-mêmes sous celle des palmiers, dans l'un
    des jardins de cet Eden terrestre, prendre un
    verre de 
    lagmi ou lakmi, sève de palmier,
    une boisson  divine, vaut tout l'or du monde !

    Blog de mumus : mumus, Oasis

     
    Voir l'équipe nationale au plus haut sommet
     
     
    4 jeunes de l'équipe du SCMiliana auraient pu prétendre
    aux sélections nationales, Ahmed Khelifa, Abdelkader Ykhlef,
    Krimo Landjerit et Fodhil Benguerine 
     

    Blog de mumus : mumus, Viillir en beauté 

    Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son coeur,

    Sans remords, sans regret, sans regarder l'heure,

    Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur,

    Car à chaque âge, se rattache un bonheur

     

    Toujours le sourire aux lèvres

    Quand les pensées déprimantes semblent t’abattre,                                                                                             mets un sourire sur ton visage et                                                                                                                           pense que tu es en vie et tu es encore là ! 
     Dieu nous garde 

     

         Que les Algériens restent toujours d'aussi bons cavaliers

     

    Blog de ghadames : ghadames, Si......

                   

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Nettoyer l'Algérie de ses impuretés

     

     

    Que l'Islam à l'algérienne prédomine

     

    Préserver l'Algérie dans son intégralité

     

     

     Que chaque famille ait une voiture pour sillonner son beau pas

     

    Tenir à nos traditions les plus nobles, burnous, kachabia, gandoura

     Résultat de recherche d'images pour "internet.google/mohamed hebboul"

     

     

     Que l'Algérien rejoigne ses capacités dans construction du pays

    ( ces 2 ingénieurs en herbe s'y préparent )

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Etre toujours aussi hospitaliers

     L’image contient peut-être : 1 personne

     

     

     

     

     

    Blog de ghadames : ghadames, ghadames

     

    Que le thé réunisse tous les amis

     

    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas 

     


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     Inviter son père au Restaurant du Port de Tipaza

     

    J'aurais pu le faire pour ma maman, j'aurais dû...Si vous avez la chance d'avoir encore votre mère, pensez-y ! Si vous avez la chance d'avoir encore votre mère, pensez-y !    C'est une immense joie pour les géniteurs  

     

    Mon fils, Mérouane, m'a invité sans sa maman précédemment conviée au Paradis...

     Et nous avons rendu visite à mon ami Abderrazak à Ain-Tagouraït (ex Berard), ancien Directeur de l'Ecole Larbi Tébessi à Miliana et qui a ouvert une école primaire privée - Ecole de la Plage - à Ain-Tagourait très bien équipée et aux enseignants remarquables

    avec cet ami, nous avions voyagé et je vous avais conviés à cette sortie entre amis http://gadames.eklablog.fr/voyage-dans-le-retroviseur-a129310446

     

    L’image contient peut-être : une personne ou plus et personnes assises

    Une histoire très émouvante lue sur la toile que je partage avec mes amis.

    "Après vingt ans de mariage, j'ai commencé à trouver une nouvelle lueur d'amour.Je commençais en effet à m’intéresser à une femme autre  que la mienne et c'était l'idée de mon épouse qui m'a dit un jour : «Je sais très bien combien tu l'aimes ! »La femme avec laquelle mon épouse voulait que je sorte, était ma mère qui est veuve depuis longtemps mais que je ne voyais que rarement,  à cause des activités de la vie courante, mes six enfants et d'autres responsabilités.

     Un jour, je l'ai appelée et je l'ai invitée à dîner. Elle m'a demandé : «tu vas bien ?»...Elle n'était pas habituée à recevoir des appels de ma part à cette heure-ci. Elle s'est inquiétée mais je l'ai rassurée : « Oui je vais très bien, mais je voulais juste passer un moment  avec toi maman »..« Nous deux, seuls ? » demanda-t-elle, elle resta songeuse .Jeudi, après le travail, je suis passé chez elle pour la prendre. J’avais un peu le trac. En arrivant chez elle, je l'ai trouvée aussi perturbée. Elle m'attendait devant la porte dans une belle tenue !

    Il semble que c'était la dernière robe que mon père lui avait achetée avant sa mort. Avec un sourire angélique, maman me dit : «J'ai dit à tout le monde qu'aujourd'hui j'allais sortir avec mon fils.  Ils sont tous contents et ils attendent impatiemment ce que je vais leur raconter à mon retour.»Nous sommes allés à un restaurant exceptionnel, calme et magnifique. Ma mère tenait mon bras, comme si elle était La Première Dame.

     Nous étions assis, j'ai commencé à lire le menu car elle ne pouvait lire que l'écriture large.Tandis que je lisais, elle me contemplait avec un large sourire sur ses lèvres ridées...                 Elle m'a dit : «C'était moi qui te faisais la lecture quand tu étais petit »  Je répondis : «Le moment est venu pour te rendre un peu de ce que tu as fait pour moi. Ne te dérange donc pas maman » On a beaucoup discuté pendant le dîner. Rien d'inhabituel mais c'était de vielles histoires et de nouvelles. Et sans nous en rendre compte, le temps s'est écoulé et nous n'avons pas remarqué que minuit fût passé..

    A notre retour, devant sa porte elle me dit : «Je suis d'accord pour une autre sortie, mais cette fois-ci, ce sera moi qui vais payer! ». J'ai embrassé sa main et j'ai pris congé d'elle.

    Quelques jours plus tard, maman décède subitement.Cela s'est produit si vite que je n'ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit.Quelques jours après, j'ai reçu une lettre du restaurant dans lequel nous avions pris ce dîner.Avec une remarque écrite de sa propre main, me disant : «J'ai payé d'avance car je savais que je ne serais pas là... L’essentiel, le repas est payé pour deux personnes, toi et ton épouse.Tu ne pourras pas savoir l'importance de cette nuit pour moi. Je t'aime mon fils !»  A ce moment-là, j'ai vraiment compris ce que signifie le mot « aimer» le mot « aimer» et « Je t'aime »  et ce que signifie l'expression de cet amour pour l'autre. Rien de plus important que les parents, surtout la mère. Donne-leur le temps qu'ils méritent surtout en leur fin de parcours..tu en seras le plus grand gagnant."

     

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    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas


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    Miliana, Miliana, Eden Terrestre, Paradis en perdition...

    On parle de moins en moins de Miliana, ce nid d'aigle, où poussent toutes sortes de fruits aux 
    noms enchanteurs, Reines-Claudes, Cerises, Mirabelles, Plaquemines,Amendes, 
    Grenades, Pommes, Pêches Rustiques, Prunes, Coings, et bien d'autres encore qui
     vous mettent l'eau à la bouche...
     A l'évocation de Miliana, on lui associe automatiquement, ville des cerises qui en 
    faisaient sa renommée et aussi Fête des Cerises qui était l'une des plus belles 
    d'Algérie, très fréquentée et prisée par des visiteurs des quatre coins du pays.
     On pouvait y voir des chars fleuris, aller danser au bal, animé pour l'un d'entr'eux, 
    par Perez BRAVO et son orchestre, venus du Brésil, ou à la sauterie dansante à la 
    piscine etc...

    Mais cela, c'était hier et le dépérissement de cette fête en a fait une sorte de 
    braderie locale...Miliana ne vit plus qu'en travers de ses nostalgiques souvenirs ...

     

    Et le SCMiliana est à l'image Miliana et sombre dans l'oubli.

    Opinions :

    Boualem Abdesselam La génération de mes 20 ans .
    Je reconnais là " Ali Rabia, Mahmoud , le gardien Chikhna ( je m'excuse j'ai oublié son nom) Belacheheb, Bessekri,
    Meliani Gouti, Ahmed Khelifa, Krimo Landjrit, Kadi Meliani et la suite." sans oublier notre valeureux entraîneur " Med Habboul". RABI YERHAM MEN MAT ET YAHFADH ELI MAZAL 3ALA KAID EL HAYAT. 

    Mrc Cheikh pour cette NOSTALGIE !!!

     

    L’image contient peut-être : 12 personnes, plein air

    Mohamed Hebboul De g à dr, debouts:Mustapha Benmerad,Ali Abzouzi, lah errahma,Mahmoud Saadia, Guemouri Boulenouar,Abdelkader Tibahine,Beskri Bouziane, Mohamed Hebboul, Mohamed El Foul,Benlecheheb Abderrazak. Assis de g à dr: Mahdi Bentabak, Miliani Ghouti, Khelifa Ahmed, Krimo Landjerit, Fodhil Bengurine et Kadi Ykhlef

    Boualem Abdesselam Mrc Si MOHAMED de nous rappeler les NOMS DE CES VALEUREUX HÉROS DES ANNÉES D'OR DE L' SCM D'ANTAN .

        

    Moh Bens une equipe de reve sous votre houlette qui a fait la joie et le bonheur de toute une genération, merci grand chef

     

      Mourad Zouaoui Quelle belle époque c'était ,avec SCM qui a fait la gloire et l'honneur de Miliana et de sa région pendant plusieurs décennies .Le mérite revient à si Mohamed Hebboul et si Mohamed Landjerit qui ont su forger chez nous le sentiment d'appartenir .à une Grande ville riche de son passé et de sa jeunesse !! .............                                                                                                                                                    

    Abdelkader Barbara bonjour à tous n oubliez jamais qu un grand presidant etait à la tete du club et une grande partie de ces succès sont dus à son grand sens de generositè ALLAH YERHAM ELHAJ SAMIL                                                                                                                                                              

    Abdelkader Barbara LE merite revient aussi à deux autres pillers MUSTAPHA BENMERED et ELHAJ HMED BOURICHA                                                                                                  

     Mohamed Hebboul Mohamed Richa   

    Yazid Chahdaoui Jamais taalna laabna fi l honneur ....apres les complot....pas de releve.

    Douce Gentille Douce Gentille Allah yerham ceux qui sont mort, et longue vie à ceux qui qui sont vivant : essaha ou tolet el 3mo3 ,yaaaarab.

    Mahmoud Khelifa on a fait deux accessions de suite avec cette equipe

    Pye Papye Arechache Croyez-moi ou pas j'ai les larmes aux yeux jetais jeune avec mon père adoptif Six Ahmed Blouchouka Allah yarhmou c'était la belle époque

    Abdelkader Barbara ALLAH yerhmou 3ammi AHMED grand dirigeant et aimable supporteur

    Boualem Abdesselam La génération de mes 20 ans .

    Je reconnais là " Ali Rabia, Mahmoud , le gardien Chikhna ( je m'excuse j'ai oublié son nom) Belacheheb, Bessekri,

    Meliani Gouti, Ahmed Khelifa, Krimo Landjrit, Kadi Meliani et la suite." sans oublier notre valeureux entraîneur " Med Habboul". RABI YERHAM MEN MAT ET YAHFADH ELI MAZAL 3ALA KAID EL HAYAT. 

    Mrc Cheikh pour cette NOSTALGIE !!!

    Pye Papye Arechache Oui il aimait b coup Miliana Allah yarham boum tous hadj Zerdi Ali main et tant d'autres

    Mohamed Hebboul A la mémoire de Si Ahmed Djaballah dit Bouchouka, lah Errahma, cette anecdote;Si Ahmed vivait par le foot et pour le foot et son amour pour le SCM était sans limites et il appelait les joueurs par "mes enfants".Au retour d'un match important remporté par le SCM et autour d'un thé au cercle du SCM, Si Ahmed me demanda quelle tactique j'avais fait appliquer pour remporter une si belle victoire. Sur le ton de la plaisanterie, je lui ai répondu que nous avions joué en 6 - 4 - 2. Et à partir de cet instant et pendant longtemps, Sid Ahmed ne fit part à ses interlocuteurs que de ce fameux 6 - 4 - 2, n'ayant pas fait attention qu'alors nous jouions en surnombre de l'adversaire...

    Pye Papye Arechache Effectivement Très cher Si Mohamed on sait régaler de cet anecdote merci de N'Djamena rappeler de ces beaux moments

    Mustapha Bendali Merci du récit, comme si j'ai vecu ces moments avec vous.

     


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    Notre enfance revisitée....

    par notre ami M.Seddik Lamara

    L’âtre de mon enfance

     Combien était exquise la douceur se dégageant de l'âtre, quand, accroupies à l'aube autour du foyer serein et lumineux, nos mamans s'affairaient à déposer sur le tadjin grésillant ces galettes enduites de beurre qui seront gloutonnement avalées par nous enfants affamés avant de nous rendre à la mahdara pour affronter les "foudres" du taleb devant lequel nous devions réciter par cœur les versets tracés la veille sur les tablettes de bois.
    Chaque famille d'apprenant devait, à tour de rôle, offrir tous les matins, un petit déjeuner assez copieux pour le cheikh. Généralement, une galette au beurre, des dattes sèches et un broc en métal émaillé débordant de café parfumé au "jertil" (une plante aromatique poussant sur les collines enserrant la vallée de Bousaada) ou au poivre noir. Quand venait mon tour de présenter à notre maître coranique, juste après la prière de l'aube, un plantureux plateau garni d'un broc de lait, d'un autre de café et suprême délice d'épais losanges de galettes au beurre fourrées de "ghars" (dattes écrasées) au goût rehaussé d'une secrète mixture de clous de girofle et de pelures de grenades finement pillés, c'est l'occasion pour moi de fanfaronner et de frimer devant mes camardes. En me voyant pénétrer dans la salle recouverte de tapis d'alfa, le cheikh ne peut s'empêcher d'écarquiller les yeux face à cette corne d'abondance matinale. Avec les mêmes gestes mesurés, il rabat avec grâce sur ses épaules les pans de ses deux burnous, l'un en laine l'autre en "oubar" (poil de chameau), esquisse un large sourire dessiné par une bouche lippue bordée de dents à la blancheur immaculée avant de se précipiter vers moi pour me débarrasser de cet alléchant présent minutieusement préparé par ma mère. Et de me lancer avec un air taquin: "alors sdidek, c'est le jour de la zerda, tu diras à ta maman qu'elle aura aujourd'hui droit à mes nobles prières;" Notre maître prend toujours le soin de s'isoler dans la "maqssoura" afin de déguster ce régal loin des yeux des petits apprenants dont les narines à l'odorat aiguisé, avaient aussitôt reniflé les irrésistibles senteurs dégagées par les douceurs au dattes mêlées à la capiteuse fragrance émanant de la cafetière encore fumante. En voyant leurs mines désolées par la déception de ne pas avoir eu droit à cette agape, un indicible sentiment de culpabilité m'envahit. La plupart d'entre eux étaient issus de familles extrêmement démunies qui arrivaient à peine à leur assurer le pain quotidien rarement accompagné d'un maigre ragout ou d'un petit lait souvent aigre. Notre famille, loin d'être aisée, avait la chance de disposer d'une vache et d'un non négligeable garde manger ravitaillé par les moissons de nos minuscules parcelles céréalières et les dattes que nous envoyaient depuis les zibans nos grands parents maternels.

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    Le coeur perçoit ce quel'oeil ne voit pas

     

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