•  

    Retrouvailles entre laghouatis

    Il m'est arrivé d'en être

     

    Résultat de recherche d'images pour "rencontres de laghouatis"

     

     

    images--1--copie-1.jpg

     

     

    Photo 1 et 4: Hadj Khaled Yagoubi ( le garde corps du général MBG) Photo 2 et 3 : Hadj Larbi Mouattah ( ancien cadre de la jeunesse et des sports et ancien gardien de but )-Photo 5, 6 et 7: Tahar Abdelaziz-Bachir Bouameur- Chaifa dit Blek -TaharBenaidja- Aissa Bourouba-Hadj Maamar- Mohamed Sayadi - Mohamed Bensenouci ( mon ami d'enfance )- Bachir Mechraoui ( en retrait)

    Image associée

     

    Photo 1 et 4: Hadj Khaled Yagoubi ( le garde corps du général MBG) Photo 2 et 3 : Hadj Larbi Mouattah ( ancien cadre de la jeunesse et des sports et ancien gardien de but )-Photo 5, 6 et 7: Tahar Abdelaziz-Bachir Bouameur- Chaifa dit Blek -TaharBenaidja- Aissa Bourouba-Hadj Maamar- Mohamed Sayadi - Mohamed Bensenouci ( mon ami d'enfance )- Bachir Mechraoui ( en retrait)

     

    Résultat de recherche d'images pour "laghouat, ramadan"

     

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "Laghouat Musee Bouameur"

     

     

    Hamoudi a jnan el baylek

     

    Image associée

     

    Résultat de recherche d'images pour "laghouat, ramadan"

     

    Résultat de recherche d'images pour "laghouat, ramadan"

     

     

     

     L’image contient peut-être : une personne ou plus, personnes assises, boisson, arbre, table et plein air

     

    Résultat de recherche d'images pour "Laghouat Musee Bouameur"

     

     

    Image associée

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "laghouatis"

     

    Résultat de recherche d'images pour "ghadames.mohamed hebboul"

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "rencontres de laghouatis"

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "rencontres de laghouatis"

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "rencontres de laghouatis"

     

    Résultat de recherche d'images pour "rencontres de laghouatis"

     

     Image associée

     

    Résultat de recherche d'images pour "Laghouat Musee Bouameur"

     

    Résultat de recherche d'images pour "Laghouat Musee Bouameur"

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "Laghouat Musee Bouameur"

     

    Résultat de recherche d'images pour "Laghouat Musee Bouameur"

     

    Résultat de recherche d'images pour "Laghouat Musee Bouameur"

     

    Image associée

     

     

    Image associée

     

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "laghouatis"

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "laghouatis"

     

    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas


    1 commentaire
  •  

     

    Blacet El Fham - Place du Charbon à Miliana (Avant on y vendait des sacs de charbon en provenance des incendies provoquées sur la foret du Zaccar qui surplombe la ville).Vous y trouverez dans sa brocante des livres et pouvez les lire sur place en prenant siège sur ce café en plein air en sirotant un thé à la menthe..

     

     et même y acquerir quelque objet intéressant

     Les bouquinistes au secours de la littérature

    La fonction de bouquiniste est un métier très ancien. Aussi vieux que l'est dans l'espace très important du temps la littérature. Aussi précieux que l'est également dans la vie de l'être humain le livre de chevet. 

    Exercé sur les berges de la Seine, de la Tamise ou sur les rives de la Méditerranée, du Tigre, de l'Euphrate et celles de l'oued El Harrach, à Alger, il aura toujours existé ainsi, en côtoyant ces métiers de misère tels celui du brocanteur, factotum ou homme à tout faire, bien que lui s'adresse, en particulier, à une certaine élite de la société, vivant souvent bien loin des reflets des caméras de la télévision et des cercles restreints du pouvoir. 

    Le bouquiniste des années deux mille est donc un Monsieur qui a plutôt fière allure. Il tient vraiment à son métier, même si celui-ci ne lui assure, en retour, que très rarement cette peu évidente ou encore rassurante et confortable source de revenu, de nature à le mettre complètement ou définitivement à l'abri du besoin matériel. 

    Le sourire bourgeonnant aux lèvres, Djamel, la quarantaine ébréchée, l'œil scrutateur, accueille chaque jour ses clients à l'intérieur de son petit réduit qui lui sert de magasin de vente mais aussi de stockage au sein du marché Boumati d'El Harrach, banlieue Est d'Alger. 

    Son métier lui permet de communiquer et de côtoyer les grands noms des universités et de ceux des écrivains et autres auteurs qui ont pris cette bonne habitude de lui rendre très fréquemment visite dans sa petite échoppe, en quête de ces vieux mais très précieux livres, susceptibles de répondre favorablement à leurs goûts et autres besoins professionnels ou de distraction du moment. 

    Lui, venant de Blida, tout comme Hamid de l'Arbaâ, lequel étale sa marchandise à même le sol, ont tous les deux leurs clients habituels qui se recrutent parmi cette population très cultivée qui enseigne au sein de nos prestigieuses universités et autre grandes écoles du pays. Et dans toutes les spécialités ! 

    Bien que peu rémunérateur, le métier de bouquiniste a encore de beaux jours devant lui, tant que le gain digne qu'ils en récupèrent, représente pour eux cette suffisance qui leur permet de voler au secours d'une littérature qui patauge au plus profond des méandres de son histoire, rendant par la même occasion ce précieux service aux rares bouquineurs du pays. 

    A Alger-centre, rue Didouche Mourad, opèrent déjà deux grands bouquinistes dont l'un a pour nom Mouloud (décédé depuis peu) et l'autre Boussaâd, activant presque côte à côte, dans un climat très sain qui inspire confiance et sérénité. 

    Leurs deux échoppes sont garnies de livres parfois très anciens, tandis que d'autres juchant à même le sol, le sont tout autant sinon encore moins. Mais tous sont à très bas prix, tenant compte de leur précieux contenu. 

    Plus bas que la rue Ferhat Boussaâd, juste en face de l'ex siège de l'ambassade de la république de la Palestine, se dresse un grand magasin sous son enseigne alléchante ‘'grande surface du livre'' appartenant à la société ‘'Ediculture'', tout comme cet autre magasin du même propriétaire sis légèrement plus haut ; le client y trouvera cet embarras du choix tant la gamme de livres à proposer y est très variée et le prix pratiqué à portée de toutes les bourses, avec parfois, en sus, une remise de l'ordre de 20% à la clef. 

    De quoi encore donner de la frousse à ces tenaces et téméraires libraires qui voient donc, jour après jour, leur nombre diminuer comme des soldats installés aux premières lignes du combat ou sur le pied de guet du front, et leur part de marché considérablement se rétrécir telle une peau de chagrin. 

    Si les premiers-cités ont tous cet avantage plus que certain d'assurer ou d'associer à la fois le sourire commercial allié à ce rapport qualité/prix jugé très intéressant, les seconds, par contre, buttent plutôt sur un marché très fermé et peu prospère. 

    Face à l'esplanade de la gare d'El Harrach, on y trouve également un autre bouquiniste, médecin de son état, que ses nombreux clients appellent par-dessus tout par ce vocable de ‘'Docteur''. 

    Celui-ci connait son métier sur le bout des doigts si ce n'est à la perfection, et est capable de prendre part à toutes les conversations en rapport avec les productions littéraires des plus prestigieuses œuvres de la planète. 

    Grace à son profil, il assure, parfois gratuitement, ce grand rôle de bibliothécaire d'appoint à de nombreux étudiants de la filière de médecine ou même ceux fréquentant ces grandes écoles implantées dans le rayon de sa zone de chalandise, très fréquentée par les jeunes gens de la contrée. 

    A Bab El Oued, existe un autre bouquiniste, pratiquant des prix souvent imbattables, installé à proximité d'un kiosque de cosmétique, ancien employé de la défunte SNED, qui s'est spécialisé dans la revente des vieux livres, faute de mieux. 

    Son ancien métier l'aide à orienter les jeunes étudiants, en plus de cette capacité inouïe ou considérable à leur rapidement procurer le support didactique ou manuel parascolaire demandé, à moindre coût ou encore très bas prix. 

    Plus bas que l'horloge florale, face à la grande poste d'Alger, activent, au milieu d'un rush quasiment quotidien plein de lecteurs et de gens curieux, un grand nombre de bouquinistes chevronnés, grands connaisseurs, pour leur plupart, du produit littéraire qu'ils proposent sur leurs étals en plein air. 

    Ils sont cette destination plutôt privilégiée des rares touristes étrangers, encore de passage dans le pays, tous soucieux de connaitre davantage sur la culture et les traditions ancestrales de la contrée, pour l'occasion visitée. En plein milieu d'un trottoir squatté à la rue Hamani (ex Charras), ont pignon sur rue quelques vendeurs de vieux livres ou titres d'occasion, dont un certain Slimane, dessinateur de portraits de son état, très convoité et bien connu de ce monde qui apprécie à juste titre le beau travail qu'il réalise souvent à merveille et grand art. 

    Enfin, il reste que ce nouveau bouquiniste, installé à Chevalley, tout prêt de l'université de Bouzaréah, est celui qui s'est lancé, il y a deux ou trois années de cela, dans cette opération de marketing de charme et non moins haute portée commerciale, qui l'aura vu placarder de nombreux bus de transport de l'université de sa contrée de ses affiches publicitaires qui l'ont fait connaitre à travers toute la région centre du pays. 

    Bénéficiant d'un endroit stratégique, ce bouquiniste installé sur les hauteurs d'Alger se taille donc la part de lion du marché du livre ancien, en raison de l'absence totale de librairies dans ce grand espace d'enseignement et du savoir que constitue l'université (Alger II) de Bouzaréah et des facultés qui lui sont mitoyennes. Voici donc –nous semble-t-il- cerné de toutes parts ce marché des vieux livres de la capitale qui n'intéresse, à présent, plus grand-monde comme jadis ou autrefois, hormis ceux qui sont dans le besoin impérieux d'y aller. 

    Dans les autres villes du pays, notamment au sein des grands centres urbains, le livre connait apparemment la même situation, même si dans la région du Djurdjura le lectorat semble plus important, notamment celui encore attaché à la littérature d'expression française. 

    Et si les jeunes le fuient, le marché des vieux livres dispose, lui aussi, de ses propres clients : des vieux en particulier ! Berceau du Savoir et des grandes découvertes, le livre se trouve être décalé de plusieurs crans ou niveau comparé à ces nouveaux réseaux de la communication qui désormais le supplantent sans jamais pouvoir dans l'absolu vraiment le remplacer ou le faire oublier. 

    Dans sa lutte âpre et durable contre l'invasion de l'image désormais instantanée (en live), le livre tient encore le coup, en grand maitre de l'art scriptural. 

    En ami fidèle du lecteur intéressé à son contenu, il ne doute jamais de sa capacité à convaincre ces nouvelles générations de choisir ce « bon chemin» autrefois emprunté par leurs ainés, étant pleinement conscient qu'il leur sera d'une très grande utilité. 

    A ces grands artisans de bouquinistes, le livre saura le moment voulu les distinguer et surtout les récompenser pour l'effort fort louable qu'ils louent à cette belle littérature qui nous procure encore ce formidable goût de vivre.             par Slemnia Bendaoud 


    votre commentaire
  •  

    Oui, oui, on sait que votre enfant
    est le plus beau et le plus intelligent du monde !
     
    .C'est avec beaucoup de fébrilité mêlée parfois d'angoisse que les parents attendent 
    l'arrivée du chéri bébé. Mais il arrive parfois qu'il ramène avec lui un, deux, trois, quatre, 
    cinq ou six compagnons, vous imposant des invités pour la vie...Et il vous faut alors improviser 
    l'hébergement, l'intendance et plein d'autres obligations imprévues. Mais il n'en demeure pas 
    moins que ces arrivées font votre bonheur. 
     
    Deviendra-t-il Président
     

     

    Barack Obama, enfant, dans les bras de sa mère Ann Dunham. Le 44e président des Etats-Unis est né le le 4 août 1961 à Honolulu. Il dit toujours avoir été élevé dans un univers "idéaliste et exigeant". 


     


     Il ne veut pas être seul et réclame une soeur ou un frère.  Alors...qu'attendez-vous ?
     
    Bertrand et Christophe ont des anecdotes. Des histoires classiques : se faire passer l'un pour l'autre en classe ou pour les épreuves du brevet.
    Mais aussi des récits plus étonnants : « J'allais passer à la radio pour parler de la gémellité, raconte Bertrand, et deux minutes avant d'être à l'antenne je me suis mis à penser très fort en me disant : Christophe écoute la radio. » À l'autre bout de la ville, au même moment, 
    Christophe arrêtait de travailler pour descendre écouter la radio dans sa voiture, 
    « Juste au moment où mon frère intervenait. »

    Des jumeaux black and white 



     

    Pour la photo, à chacun sa couleur...

    Des jumeaux de couleur différente sont nés au mois de juillet à Berlin en Allemagne. 
    Cas extrêmement rare, mais pas impossible. Les deux garçons s’appellent Ryan et Leo, et sont les enfants d’un couple mixte. Florence, la mère est originaire du Ghana tandis que Stephan, le père, est originaire de Postdam en Allemagne.« Ryan est sorti en premier et les choses se passaient tranquillement. Mais quand Leo est né, je n’en croyais pas mes yeux » a déclaré le docteur, Mme Birgit Weber. Elle affirme avoir assisté à près de 10 000 naissances en vingt années de carrière, mais n’avoir jamais vu un événement pareil.
    « Les deux enfants ont bien le même père » a-t-elle ajouté. Les jumeaux sont nés le 11 juillet, mais avaient été gardé à l’écart des médias jusqu’à ce que la presse soit invitée.



    Et trois paires de jumelles

    Mon père, ne nous reconnaissait pas et il lui arrivait fréquemment de nous confondre et de se tromper dans nos prénoms, il arrivait moins souvent mais également à ma mère de se tromper
    Il arrivait également de temps en temps qu'à l'école, qu’ un soit puni pour l'autre sans que l'autre le dénonce
    A notre service militaire au moment des classes, je me souviens que mon frère Laurent avait été pris et moi ayant mieux négocié auprès du sergent recruteur n'est pas été pris, j'ai donc été trouver mon frère Laurent et je l'ai ramené au sergent recruteur qui a accepté de nous 
    exempter de notre service militaire tous les deux parce qu'il avait compris qu'on ne pouvait séparer des jumeaux

    .
     

    L’été dernier, Leanne Salt devenait la plus grosse femme du monde ayant donné naissance a des triplés. Cette jeune maman, âgée de 24 ans, pèse aujourd’hui 184 kilos.

    Et c’est sans retenue ni complexe qu'elle a expliqué aux journalistes venus l'interviewer qu'elle amène régulièrement ses triplés de huit mois au McDo. Elle se dit "trop occupée" pour nourrir sainement ses filles Deanna et Daisy et son fils Finlee.  "Mes enfants avaient six mois quand je les ai emmenés pour lapremière 
    fois au McDonald’s. Ils ont mangé du poisson et des frites. Je mâchais d’abord la nourriture, parce qu’ils n’avaient pas encore de dents," explique-t-elle. "Parfois je leur cuisine des lasagne au micro-onde. Les bébés ont toujours faim. C’est plus simple de leur donner de la nourriture déjà préparée."
      Elle déclare encore : "Je laisse les triplés manger des frites parce que je pense que c’est la meilleure façon pour savoir quelle nourriture ils aiment." La jeune femme affirme que ses enfants sont en bonne santé
    Une lueur d’espoir tout de même : "Je donne des légumes à mes bébés tous les dimanches et il y a des fruits dans beaucoup de plats tout faits pour les bébés." La maman de Leanne, quant à elle, explique qu’elle essaye de changer les habitudes alimentaires désastreuses de ses petits-enfants, en vain : "J’achète de la salade mais  personne n’en mange. Ils préfèrent la nourriture sucrée."
    Je ne sais pas vous mais moi... ça me fait peur...


      Des triplés heureux



    Une femme blanche peut aussi avoir des jumeaux noirs.

    C'est une blonde qui a accouche de 2 beaux bébés, des jumeaux, cependant, elle pleure a n'en plus finir !
     L’infirmière lui dit alors- Mais voyons madame ! Pourquoi pleurez-vous ? Vous êtes maintenant mère de 2 beaux bébés bien en santé !- Je sais, répond la blonde, mais je ne sais pas qui est le père du deuxième !
     

     Quadruplés en mélange



    Que du bonheur !!!


    D'après un sondage :63% des jumeaux sont de même sexe .

    Quintuplés grandiront...





    sextuplés en mélange
    et 3 filles 3 garçons



     Alors voilà. on est 7. 7 ados totalement identique, à quelque détails prés. on est né le 9 septembre 1990 entre  10h00 et 10h42. aujourd'hui, à 23h34, nous avons décidé de vous montrer le phénomène des septuplés. on se ressemble totalement au niveau physique. y a que dans la tenue vestimentaire qu'on change (de temps en temps, la plus part du temps on s'habille pareil), dans le caractère, et par notre point de différence (chacun s'est fait un point reconnaissable par rapport à son carctère). c'est trés bizarre mais c'est comme ça. sur cette photo vous allez pouvoir nous voir tout les sept (enfin, six sont visibles et le septième est un peu au fond). au premier coup d'oeil, on est sûr que vous allez trouver nos caractères et ce qui nous différencie les uns des autres.



    Les filles: lucille anaisLes jumeaux axel et noemiLes triplés nathan, geremy et theo  

    A la douzaine !...

     A.F. est une jeune Tunisienne d’une trentaine d’années qui est en voie de battre un record mondial.
    Imaginez-vous, elle est enceinte de... douze enfants!
    Oui, vous avez bien lu, douze enfants : six garçons et six filles, selon Le Figaro.fr.
    La jeune maman, originaire de Gafsa, dans le sud de la Tunisie, est à terme et «se porte bien ainsi que ses futurs bébés» précise le journal local Essabah.
    Son époux ne semble pas «épaté» par ses douze futures naissances.
    «Elle est très heureuse et attend avec impatience de les voir tous les douze gigotant en bonne santé entre ses mains» a-t-il déclaré, selon Le Figaro.fr.
    Les ministères de la Santé et des Affaires sociales ont d'ores et déjà annoncé qu'ils prenaient en charge ce cas unique, précise le quotidien Essabah.
    La Tunisie pratique la limitation des naissances depuis plus de 40 ans...Si l'ensemble des bébés survivent, ce qui, d'après  les médecins, est peu probable, cette Tunisienne pourrait battre le record de naissances détenu par une femme Grecque.
    En 1996, cette dernière avait mis au monde... onze bébés.

    ________________________________

    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas


    votre commentaire
  •  

     

     

     

    La légende d’Algérie:

    Jadis , vivait dans cette belle région de l'Algérie ,une tribu puissante et redoutée dans tout le pays .Un héros du village s'illustre avec son intelligence et sa supériorité et il devient ainsi le cavalier le plus valeureux de toute la tribu. Rien ne paraissait pouvoir l’arrêter. Les sages de la tribu essayaient, en vain, de lui inculquer les principes de la force maîtrisée.                       Difficile de croire en autre chose qu’en sa propre force quand on est le plus fort de tous et dans tous les domaines ...

    Le valeureux cavalier avait une sœur qui aussi était la plus belle femme qu’on ait jamais vue dans toute la région et même dans tout le pays, chose qui poussa hélas notre puissant cavalier à être persuadé de plus en plus de sa supériorité ...


    Le jour vint où notre cavalier, devenu le plus grand guerrier qu’ait connu tout le pays, voulut aimer une femme. Il n’en trouva point à son goût. La seule qui lui plut fut sa propre sœur, laquelle ne s’opposa pas à cette idée.                                                                                    Les gens scandalisés crièrent au sacrilège.                                                                              Les sages dénoncèrent cette nouvelle ...                                                                                      et voulurent l’en empêcher et l’appeler à la raison ...

    Rien de cela ne suffit. Il persista dans son entreprise, organisa la fête de mariage qui fut célébrée sur la plus belle colline de toute la vallée. Beaucoup ne voulant pas assister à ce mariage et quittèrent les lieux. Quelques-uns choisirent le camp du puissant guerrier qui trouva même un juge pour officialiser son union ...                                                                       et la fête commença ...

    Les habitants de la région, enfuis, ne revinrent à cet endroit qu’un certain temps après cet « événement ». Ils n’en crurent guère leurs yeux. Ils se trouvèrent devant une scène effrayante : les mariés furent pétrifiés au moment où ils allèrent officialiser leur union, ainsi que tous leurs invités, le juge surpris voulant prendre la fuite le fut à son tour à quelques lieues de là ...

    Cette effroyable scène se tient de nos jours au même endroit, les mariés sont toujours là se regardant, les invités discutant et écoutant de la musique, le juge s’enfuyant sur la montagne d’en face ...                                                                                                                             tous changés en pierre...                                                                                                           pour rester une leçon pour l'éternité....

     

     

     ________________________________

    Le coeur perçoit ce que l'Oeil ne voit pas


    votre commentaire
  •  

    La "tara" tournait, tournait et nous la poussions avec nos menus bras
    et nos frêles corps portés par nos pieds nus. Le jeu de la "tara" pouvait
    durant les saisons douces,se poursuivre jusqu'au crépuscule.
    Rentrés à la maison harrassés par nos cavalcades, nous n'avions plus
    la force de diner. Morphée nous prenait aussitôt dans ses bras.

    Survoler un peu notre jeunesse et ses quelques jeux
    dont quelques uns se pratiquent encore
    En avez-vous pratiqué d'autres dans votre jeunesse ?

     

     

     LES  NOYAUX D'ABRICOTS

    Il fallait d'abord se constituer un petit stock de noyaux.
    Ce jeu a été un « best-seller » dans les cours de récréations
    à  mon époque. La règle de base de ce jeu est d'une
    simplicité toute enfantine, démolir un tas constitué de
    3 noyaux assemblés en triangle, le quatrième posé dessus,
    finissant la pyramide. Il fallait bien viser et projeter
    un noyau sur le « tas », alors que nous nous trouvions
    à 2 où 3 mètres de celui-ci. Celui qui réussissait gagnait
    la totalité des noyaux mis au sol par ses partenaires de jeu.
    Le nombre de joueurs était illimité.

     

    LE FOOTBALL

    Le roi des jeux en Algérie, le foot des rues, des places,
    des terrains cabossés  La règle, il n'y en avait pas,
    à 5, à 6, à 7, à 8, à 9, à 10 ou plus, peu importait,
    le principal était de courir derrière un ballon.
    Il fallait d'abord trouver ce qui ressemblait à un ballon,
    à un vrai ballon de cuir avec lacet, ballon en caoutchouc,
    balle de tennis où balle de chiffon, tout était bon.
    Le perdant quand les "moyens" y étaient : une bouteille de gazouze

    LES TOUPIES

    A qui détruira celle de son adversaire par des coups répétés

     

     

      

     

    La marelle

    La Corde

     

     

     

    LE CERCEAU 

    Prendre une roue de bicyclette, lui enlever tous ses rayons,
    et voilà le cerceau est fait. Il faut maintenant, fabriquer
    le guide qui nous servira à faire avancer ce cerceau.
    Trouver un fil de fer assez rigide, en le tordant,
    lui donner la forme voulue, en U. Quelquefois ce fil de fer
    était rajouté au bout d'un manche en bois ou en roseau.

    Chez les Touareg

    Jeux d'enfantss Touareg 

     

    Toujours, au printemps, quand les vents devenaient forts,
    le cerf-volant faisait son apparition. Les enfants algériens,
    faut de papier glacé de couleur qu’utilisaient leurs camarades
    pieds noirs, avaient recours à de vieux journaux ou à du
    papier d’emballage d’épicier pour confectionner leurs
    cerfs-volants, utilisant ainsi des morceaux de roseau
    et de la farine mouillée, en guise de colle,
    pour les faire voler haut dans le ciel.

     

    Le carico était un petit véhicule en bois qu’on fabriquait à l’aide
    grâce à des roulements à billes. On s’asseyait dessus et on se
    faisait pousser par un camarade, surtout dans les rues en
    pente qu’on dégringolait imprudemment grisés par la vitesse.

     

     

    LES TIRE-BOULETTES.

    Une branche d'olivier en Y, deux élastiques, un morceau de cuir.
    Et « entention » les ampoules électriques des lampadaires  des
    alentours. Quelques oiseaux y ont aussi laissé des plumes.
    Les projectiles étaient des cailloux, des billes de plomb
    (extraites de roulements à billes).

     

    Le jeu de billes n’était pas non plus des moins préférés.
    Les enfants achetaient des billes de différentes couleurs
    uniformes et les plus chanceux pouvaient acquérir de
    belles billes en verre aux tons multicolores. Les compétitions
    se déroulaient en un endroit sablonneux où chacun essayait
    de gagner celles de son adversaire.

    ______________________________

    Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires