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Par gadames le 30 Juillet 2018 à 23:33
Tatouages
"Henné, arbuste à feuilles relâchées dont le suc est recherché pour ses propriétés colorantes. Egalement connu sous le nom d’alkanna ou de réséda, cet arbuste est très répandu dans les régions chaudes et humides du nord de l’Afrique et du Sud asiatique. Ses petites fleurs très parfumées, roses ou blanches, forment des grappes. La teinture rouge orangé extraite des feuilles est utilisée pour la coloration des cheveux. Les musulmanes l’utilisent pour teinter leurs ongles, le bout de leurs doigts et une partie de leurs pieds, les musulmans pour teinter leur barbe. Cette teinture se prête également à la coloration des cuirs et des peaux ainsi qu’à celle des sabots et des crinières des chevaux. Des momies ont été retrouvées enveloppées dans des bandelettes teintées au henné." J'ai vu aussi un ami se "rajeunir" une tête blanchie...mais était-ce au henné ou à l'Eau de Cologne ?
1 commentaire -
Par gadames le 27 Juillet 2018 à 20:41
C'est une histoire qui se passe dans ma belle petite ville de Miliana et que je vous fais visiter par quelques vues de la ville de Sidi Ahmed Benyoucef. J'ai même connu certains noms cités dans le livreavec d'autres de mon âge : Moh Smina, le crieur public aveugle, Ahmed Bounif
L'HISTOIRE MOUVEMENTEE D'UN MILIANAIS AVEC SA VOISINE JUIVE
Par M‘HAMMED B. LARBI, Professeur de médecine né à Miliana en 1949.*"Le Piano d’Esther" de M’Hammed B. Larbi est un roman qui oscille
entre le passé et le présent avec pour toile de fond une histoire d'amour
mouvementée. Pédiatre de formation, l’auteur M’Hammed B. Larbi, invite le lecteur à découvrir les coulisses d’une histoire d’amour incestueuse. Comme le mentionne l’auteur en quatrième de couverture, l’histoire racontée dans ce roman est celle des amours maudites : « Celui d’un Arabe pour sa voisine juive, celui d’un exilé pour sa ville avec, pour toile de fond, l’intolérance, la haine et la violence, sentiments qui composent le cortège des sociétés troublées. »Hakim est un jeune médecin qui s’installe à Marseille. Il arrive à
décrocher un poste dans un hôpital. Un jour, il sauve la vie d’une
vieille femme juive Esther. La fille de cette dernière, Hélène, ne
sait pas comment remercier ce remarquable médecin qui a sauvé
sa mère d’une mort imminente. Les visites d’Hélène ne feront que
renforcer ses liens avec Hakim.
Tombé éperdument amoureux, le couple décide de vivre ensemble
avant de s’unir par les liens sacrés du mariage. Ils filent le parfait
amour. Hélène tombe même enceinte. Une grossesse qui sera
interrompue. Cette histoire d’amour tourne à la fin au drame.
Hélène est en fait la demi-sœur de Hakim. Esther qui habitait, à l’époque, à Miliana avait eu une relation secrète avec Mohamed, le père de Hakim. Ce dernier décède dans un accident de voiture emportant le secret avec lui. Hakim se souvient, que durant son enfance, il allait très souvent, chez une voisine juive Esther qui jouait merveilleusement au piano.
A l’indépendance, elle est contrainte de quitter l’Algérie pour la France. Une double déchirure qu’elle vivra en secret.
M’Hammed Bouziane Larbi a structuré son roman en un va-et-vient entre le passé et le présent, imbriquant ainsi deux histoires. Celle du père et du fils.
La fin du livre se referme sur la mort tragique des deux amoureux.
Hélène meurt d’une fausse couche chez elle en France, tandis que
Hakim est assassiné sur la route de Miliana par une horde intégriste.
Le voyage effectué dans sa ville natale Miliana pour régler un héritage
familial lui sera fatal.
’Hammed B. Larbi "Le Piano d’Esther".
Editions Musk. Novembre 2005. 198 pages.Le piano d'Esther (extrait)
Chapitre 1
- Bon Dieu ! Pas si vite, Christian ! On va se planter. S‘écria-t-elle
en se cramponnant à son siège.
- Ne l'inquiète pas ma belle ! J'ai fait ça toute ma vie, répondit le
chauffeur en accélérant de plus belle. Il y a urgence, n‘est-ce pas Doc?Hakim ne répondit pas. Il avait fini par s'habituer. Impassible il
regardait s'enfuir les platanes du boulevard Baille, affolés par les
hurlements de l‘ambulance du SAMU13 dont le gyrophare
ensanglantait les immeubles endormis. Dans un crissement à
faire pâlir d‘envie un ingénieur du son, le véhicule s‘arrêta, à la
grande joie de Mary-Jo, devant le 43 rue Paradis, une artère
qui n‘en finissait pas d‘étirer à travers Marseille.
Les trois urgentistes, s‘engouffrèrent dans le hall d‘un immeuble
vétuste et, chargés de leur matériel, se lancèrent à l‘assaut de
l‘étroit escalier qui les mena au troisième étage. Une jeune
femme les attendait sur le palier.
- Merci d'être venu si vite, s'exclama-t-elle d'un ton oppressé.
Une grande inquiétude n'arrivait pas à enlaidir son visage
illuminé par de grands yeux noirs.
- Maman vient d‘avoir une attaque, leur dit-elle en les précédant
dans le spacieux appartement. Nous étions en train de
dîner en regardant la télévision quand elle s'est effondrée :
je crois que c'est son coeur !
Ils entrèrent dans une chambre â la suite de la jeune femme dont
la longue chevelure noire dansait au rythme de son empressement.
Sur le lit, était allongée une vieille dame. Hakim eut, en la
regardant une étrange sensation. Ce visage qui reflétait une
grande souffrance comme en témoigne la crispation qui le déformait,
se faufila dans sa mémoire. Il connaissait cette dame au teint
cyanosé dont les narines se pinçaient à chaque inspiration et
dont la poitrine se soulevait avec peine, comme écrasée sous
un poids énorme. Il connaissait ces mains diaphanes aux
doigts interminables. Il connaissait ces longs cheveux
envahis de grisaille qui disaient leur détresse de n‘avoir pas
pu résister au temps. Hakim sentit les signes avant-coureurs
du grand voyage. Il ferma les yeux très fort. Le frisson
commença son invincible cheminement le long de l‘échine.
Lorsque l'étreinte fut complète, enserrant la tête et
envahissant le cerveau. Le médecin prit le chemin de son passé.Chapitre 2
Les maisons ont-elles une mémoire Que ressentent-elles
à la veille de leur destruction ? Le film de leur vie se déroule-t-il
devant leurs yeux comme cela se passe pour l'homme ?
Hakim avait bien souvent, vécu ces moments de vérité,
brefs et intenses, pendant lesquels, les notions
fondamentales de l'existence prennent le dessus sur les
futilités qui empoisonnent le quotidien des êtres humains.
Très tôt, il avait fait la connaissance de l'odeur âcre et
fétide de la mort. Sa prime enfance en a été fortement
imprégnée. Il savait que le point filial, l'aventure ultime
pouvaient survenir â tout instant. Il avait appris, au décours
de ces fractures du destin que les seules certitudes
étaient celles générées par l‘amour et la tolérance.
Debout devant la grande porte noire et muette, annoncée
par deux grandes marches en ardoise ébréchée,
Hakim se posait toutes ces questions tandis sa main,
moite d'émotion, étreignait la grosse clé en fonte que
venait de lui remettre la voisine chargée de veiller sur
la vieille dame, déshabitée depuis presque trente ans.
Avant de l'introduire dans la serrure, il se tourna vers
la maison d'en face, là où il avait passé les moments
les plus étonnants de son enfance, auprès de celle qui
l'avait nourri d'affection et de musique, celle qui l'avait
serré dans ses bras avant d'entamer son chemin
de croix, chassée par les tremblements de l'histoire,
le laissant au seuil d'une existence d'orphelin solitaire,
errant de familles d'accueil en internats, de
chambres de bonne en foyers universitaires.
Le camion de l'exil avait, plus d'une fois stationné là,
au bord de l'étroit trottoir. C'est étrange! On s'en va
toujours à i'orée du jour pour conjurer le sort,
comme pour faire du départ une renaissance,
alors qu'il s'agit d‘une déchirure mortelle.
L‘enfance de Hakim avait été cisaillée par
plusieurs départs. Cela se passait toujours de la
même façon. Le petit garçon avait appris à
reconnaître les prémices du grand chambardement.
Mohamed, son père, rentrait le soir, l'air sombre
et préoccupé. II répondait très distraitement aux
sollicitations ludiques de son enfant unique,
avalait rapidement son repas et s'enfermait dans
sa chambre. Cela durait deux au trois jours, puis un
matin, la quiétude familiale, était rompue par les
éclats d'une grande dispute sous le regard apeuré
du petit ;
- Partir ? Encore ? Partir pour aller où cette fois ?
- Là où je pourrais trimer pour vous apporter la pitance
que vous avalez !
- Tu ne vas pas me dire que tu as quitté ton travail à la mine?- Je n'ai pas quitté cet enfer ! On m'a mis à la porte, tu
comprends, mis à la porte. Je ne peux plus descendre
au fond, car il n‘y a plus rien à gratter dans cette maudite
mine qui a tué mon père et le père de mon père.
Elle ne m'aura pas, moi aussi, cette mangeuse d'hommes.
C'est un signe du destin et notre destin est ailleurs.
Alors ne discute pas et emballe les affaires. Je vais
m‘absenter deux ou trois jours et quand je reviendrai
je veux que tout soit prêt. Tu as compris ?
- Je suis maudite, reprenait de plus belle Kheira, la
maman de Hakim ! Mille fois maudite ! Ya Sid Ahmed
Benyoucef (Saint Patron de Miliana), pourquoi m‘as-tu
infligé une destinée pareille. "Pourquoi me fais-tu souffrir
depuis mes treize ans ? Je n'ai même pas eu le temps
de vivre mon enfance."
- Tu as fini de te plaindre, cria Mohamed en se levant, l'air
furibond ! Tu crois que je mène la belle vie ? Un fils solitaire,
une femme qui n'a pas su me donner d'autres enfants et qui
passe sa vie à geindre '
- Ce n'est pas de ma faute si la tuberculose est passée par là !
Et toi qui n'es jamais là ! J'ai été malade comme une chienne !
J'ai craché mes poumons devant l'Œil indifférent de
Lalla Zéhira qui ne répondait qu'à la voix suave de
son mari, le caïd gras et libidineux, toujours vautré dans son lit
à baldaquin avec pour seule occupation son chapelet et ses
incantations, ce gros lard qui passe son temps, à guetter du
coin de l'oreille le bruit des persiennes de la maison d'en
face pour se précipiter dans l'espoir d'apercevoir Esther la catin.
- C‘en est trop, tu dépasses les bornes, hurla Mohamed en
levant la main ! Tu vas la recevoir ta tannée …
A ce moment un piano se mit à égrener ses notes. La musique
traversa la rue, envhit la pièce et couvrit de son harmonie les
vociférations et les cris, opposant sa magie à la violence
des gestes, retenant la main de l‘homme dont le visage se
transforma comme sous l‘effet d‘un enchantement. Tous les
protagonistes du drame naissant se figèrent : les mouches
s‘arrêtèrent de voler ; le crieur public aveugle qui se tenait
au coin de la rue de Tanger ravala son tonitruant « sardines
au marché » ; le cheval harassé condamné à traîner le
tombereau de l‘éboueur stoppa au milieu de la chaussée ;
l‘éboueur oublia de lever son fouet sur la bête ; les
gamins de la houma (quartier) suspendirent leur partie
de foot et retinrent leurs grossièretés au portillon de leurs
bouches adolescentes ; Ahmed Bounif, le chef de la
bande qui s'imposait à ses camarades plus par sa
force que par son intelligence desserra ses doigts
d‘autour de la gorge de Moh Smina, son souffre-douleur
qui commençait à suffoquer ; P'tit Poucet qui s' imposait
plus par sa ruse que par sa corpulence détourna les
yeux de la bagarre ; Omar le harki qui accompagnait
les parachutistes en patrouille ne vit pas Khaled le
collecteur de ronds destinés aux maquisards, qui
passait pourtant tout près de lui ; Yamna pensait
fort â Salim son amour d'enfance qui l'avait quittée
pour un amour plus puissant en prenant les armes ;
Baya la voyante laissa tomber la main de Jeannine
à qui elle prédisait une longue vie d'amour et
de fortune ; Jeannine la blonde maîtresse du
commissaire de police prit un air alangui face à
son miroir qui ne se lassait pas du spectacle, de la
poitrine généreuse et provocante à l'étroit dans
la sortie de bain rose bonbon, cadeau de
Si Belgacem le commerçant ; celui-ci stoppa
son élan vers le bar de Gonzalez où l'attendait
sa bouteille d'anisette ; Monique la serveuse
laissa tomber le verre qu'elle était en train de
laver ; les vieux, assis sur les bancs à l'ombre
des platanes de la pointe des blagueurs semirent à sourire béatement et se détournèrent de
leur partie de cartes ; les oiseaux à l'abri des
feuillages cessèrent leur chant ; le Zaccar,
montagne déflorée et stérile, se pencha un peu
plus sur la ville en faisant trembler le mausolée
de Sidi Abdelkader, ; la ville oublia de regarder
la plaine du Chellif du haut de sa morgue acquise
pour avoir été le fief de l'Emir ;décida de ne pas donner l'heure pour ne pas gêner
la mélodie ensorceleuse qui prenait possession
de la ville et des hommes : Esther, la belle juive au
cheveux noirs, s'était mise à son piano.
caramel
Une amie internaute de France qui n'oublie pas sa ville Annaba où dit-elle elle a vécu ses plus belles années :
merci Ghadames pour cette belle et triste histoire
je vais m'empresser d'acheter ce livre, car la lecture
est une de mes passions, avec la cuisine et les animaux !______________________________
Le cour perçoit ce que l'oeil ne voit pas
2 commentaires -
Par gadames le 22 Juillet 2018 à 05:40
Les villes algériennes en fête
En voici quelques unesSebeiba (S'biba) à Djanet
Djelfa : la Fête du Mouton
Miliana et Larbaa Nath Irathen : la Fête des Cerises
Miliana : La Fête des Cerises, c'était, un c'était qui dure, que c'est dur !
Que cet écrit soit un appel à nos édiles municipaux pour
une reprise de la Fête des Cerises de MILIANA
Miliana, Miliana, Eden Terrestre, Paradis en perdition...
On parle moins de Miliana, ce nid d'aigle, où poussent toutes sortes de fruits aux
noms enchanteurs, Reines-Claudes, Cerises, Mirabelles, Plaquemines, Amendes,
Grenades, Pommes, Pêches Rustiques, Prunes, Coings, et bien d'autres encore qui
vous mettent l'eau à la bouche...Ghardaïa : la Fête du Tapis
Bou Saâda : La Fête du Burnous
Vêtu d’un burnous marron, l’ambassadeur des États-Unis à Alger a souhaité une bonne année amazighe aux Algériens. « Assegas ameggaz », a-t-il prononcé avant que sa compagne emboite le pas en souhaitant « lahna d talwit » autrement dit : paix et prospérité.
La fête du burnous bat son plein depuis dimanche à Bou Saâda, dans la wilaya de M’sila, réunissant une cinquantaine d’artisans issus d’une vingtaine de wilayas.
Selon le directeur de la PME et de l’artisanat (DPMEA), cette rencontre de cinq jours vise à promouvoir ce manteau traditionnel à capuchon qui se décline, selon les régions, en plusieurs modèles dont «el khitoussa», tissé avec des poils de chameau, le burnous blanc répandu à Bou Saâda et en Kabylie et le burnous noir moins en vogue dans le Hodna.Ath Yenni : Fête du bijoux d’argent
El Kala : la Fête du Corail
Mâatkas : Fête de la Poterie
Laghouat : Fete du Printemps (Fantasia (cavalerie))
Timimoun : Fete du Maouled Ennabaoui
Le Mawlid Ennabaoui est célébré durant 7 jours et 7 nuits
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Par gadames le 7 Juillet 2018 à 19:37
Nostalgies des lieux de ma naissance...
Caravanier revenant de l’oasis enchanteresse
Je te prie, arrête ta monture et délivre moi
Que devient Laghouat, et ses douces ivresses
Son éloignement a laissé mon âme en émoiA
La simplicité des retrouvailles entre amis
la franche amitié laghouatie :Hadj Kaddour BENBEHAZ et Si Mahmoud EL HOUITI
A l’extrême gauche Hadj Amar BENMOUSSA (Allah Yarhmou) à l’extrême droite Si Mahmoud EL HOUITI
Ennas Ezzaïnine en vie ou partis au Paradis, leur unique Destination
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Par gadames le 25 Juin 2018 à 00:17
Coiffe des enfants de grande tente de Laghouat
La plume contre le sabre, Mohamed Bensalem laghouat (1904-1985)
"Je sais qu’en ce qui me concerne, je n’ai peut-être pas assez fait et pas assez donné pour la cause nationale. Colonisé, quoique je fasse et quelles que soient les souffrances que j’endure, jamais je ne me considérerais comme quitte vis-à-vis de Dieu et vis-à-vis de la patrie. Notre cause est tellement belle et si sacrée qu’elle exige de nous une vigilance sans relâche et un dévouement sans bornes. Etre militant, c’est se donner entièrement au service de la justice et de la liberté. " (CHEZ LAZHARI LABTER EDITIONS )Rey Malek artiste en musique, Laghouat
«Si El-Hadj, dis-nous, Rey Malek, c'est qui aujourd'hui ?», lui demande le journaliste.
Et son interlocuteur de répondre humblement: «C'est le vieil homme que je suis devenu et que vous voyez.
Le vieil homme qui chaque trimestre perçoit 1500 DA et qui attend calmement la mort...».
C'était en juin 1982, une année avant sa disparition. Ce spécialiste des genres oriental,
haouzi et moghribi, cet homme à la voix d'or finira seul, sans femme et sans enfants,
terrassé par la maladie
mon papa, mon ainé porte son prénom, Saâd-Eddine
son petit fils en coiffe naturelle
Le Roi Mohamed V. L'un de mes enfants, en son honneur,
s'appelle El Malik MohamedMoncef Bey, nom francisé de Mohamed El Moncef Bey,
né le 4 mars 1881 à Tunis et décédé le 1er septembre 1948 à Pau,
est bey de Tunis du 19 juin 1942 ...exilé à Laghouat- années 40 - à qui,
gamins, nous rendions visite, rue du Kabou et "entretenions" conversationCoiffe sud saharienne
Coiffe d'une Naïlia de Bousaada
Coiffe moderne passe partout chez nous
Coiffe et tenue sportive
coiffe croix du sud
coiffe maritale de Tlemcen
Cerise en coiffe
Isabelle Eberhard, écrivaine,
devenue algérienne apres son entrée en IslamCoiffe d'Ain Madhi
Aurélie Picard
La Roumia Devenue
Lalla Yamina Tidjani
1849 – 1933La lorraine du Sahara
Coiffe laghouatie de couleur
Coiffe du Colonel Amirouche au maquis
coiffes laghouaties
Mustaha Brahim-Djelloul de Miliana, le beau gosse
Et Mohamed Mohamed-Azizi de Miliana
J'aurais voulu voir mon ami Hadj Tayeb Benabbad
élégamment vêtu de la tête aux pieds à l'algérienne
comme l'était son père Si BenyoucefHommes de Foi à Miliana
Coiffe du premier écrivain algérien (Djelfa)
Mohamed ben si Ahmed ben Sidi Chérif (1879-1921)"Il parait, l'interrompt une jolie femme blonde, que chez vous, monsieur, on mange des sauterelles et qu’on fait sa prière sur les terrasses ! "
- Qui vous a dit cela Madame ?
- Mais je l’ai, je crois bien, lu dans Tartarin de Tarascon ,
- On prétend même, interroge une autre, que les arabes ont l’hospitalité si généreuse qu ils offrent tout…et, rougissant un peu, elle ajoute :même leurs femmes à l’hôte qui ils reçoivent..Pourtant vos femmes sont voilées et enfermées..- Vous ignorez tout de notre mentalité, les colons, qui exploitent mon pays font du sensationnel et déforment la réalité. Ils divisent mon peuple et lui inventent des fables. Nos épouses arabes, si on leur offrait de partager ce qui fait votre joie, madame, vos élans vers l’intellectualité masculine, votre souci constant et si charmant d’une vie plus active, plus agitée, elles vous répondraient que, seules suffisent à leur bonheur la satisfaction du mari et les joies de la famille.
Il veut changer de coiffe et demande votre aide
Pris en stop à Hassi Messaoud et disant qu'il était de Miliana:
- Connaissez-vous mon ami Mohamed Hebboul ?
- Bien sûr, c'était mon entraineur de footBenyoucef, bédéiste et poète de Miliana,
ami de Lazhari Labter poete, journaliste, écrivain, éditeur de Laghouat
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