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Par gadames le 14 Janvier 2018 à 21:10
Cette manière toute laghouatie a toujours cours.
"Sortir" le plateau de thé ou de café devant sa porte pour des amis,
plateau qui génère des discussions tous sujets en un language fort imagé.
Et d'autres fois c'est un plat (souvent une gassaâ) de mardoud qui fait
la réputation de Laghouat et dont est friand notre Président
Abdelaziz Bouteflika et auquel s'invitent souvent des passants.Une convivialité toute laghouatie
à positions diversesEl Mardoud, son hstoire
Le Général Pélissier, le criminel, le sanguinaire, à l'invasion de Laghouat, le 4 décembre 1852, a commis des actes affreux et odieux envers la population de Laghouat.
C'est ainsi que six mois après l'occupation, en juin 1853, il s'est acharné sur cette population, en déportant hors de Laghouat, 70 chefs de famille, choisis parmi les notables de la ville pour les interner dans un camp de concentration aux environs d'Aflou. Juste après leur départ, les femmes de Laghouat ont préparé le mardoud - المردود - dans l'espoir d'un retour prochain de leurs maris internés.
Depuis 1853 à ce jour, les Laghoutis préparent le mardoud, à l'occasion du départ en voyage d'un membre de leur famille pour se rendre soit dans une ville d'Algérie, soit à l'étranger, voire même à la Mecque, dans l'espoir d'un retour à Laghouat, sain et sauf.__________________________________________________________________________
Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
1 commentaire -
Par gadames le 11 Janvier 2018 à 14:42
Hommage
J'ai eu l'honneur de côtoyer ces illustres Enseignants
sans être leur élève Lahoum Errahma
Et comme le burnous qu'ils quittaient rarement leur allait bien,
la guelmouna (capuchon) débordant de titres et de sagesseCheikh Boubekeur Hadj Aissa enseignant en la Médersa de Laghouat
eut à connaitre Abdelhamid Benbadis ainsi:" Ce que tu viens de faire , Boubekeur, Moi Benbadis suis incapable de faire aussi bien à cet âge là"
Si Haoues Hamdi dont le père , Allah yarahmou, tenait boutique à Laghouat sous les arcades en face de la boulangerie des Bensenouci tout près de la Place des Oliviers a tenu à nous raconter ceci à propos de Cheikh Boubakeur Hadj Aissa El Aghouati .
« Le Cheikh Boubekeur Hadj Aissa était venu nous rendre visite à notre école de Ksar el Bezaim vers l’année 86 ou 87 , bien après être sorti en retraite . Nous lui avions posé la question suivante ( on pouvait se le permettre car le cheikh n’exerçait plus ses fonctions d’inspecteur) pour le compte du journal de l’établissement que nous comptions éditer.
- Cheikh , pouvez-vous nous dire quel est votre meilleur souvenir de la vie passée au sein de l’association des oulémas ?
- Mon meilleur souvenir a été le jour où alors que j’avais à peine 17 ans ( un enfant quoi…) et alors que nous étions au Nadi Attaraki نادي الترقّي cheikh Abdelhamid Benbadis me fit signe et m’ordonna d’improviser un cours sur un sujet ( dont je n’ai pas retenu le thème) . J’étais désarçonné au tout début mais après avoir pris la parole j’ai commencé à prendre de l’assurance et j’ai parlé pendant deux heures devant un parterre de oulémas . Après avoir terminé le Maitre Abdelamid Benbadis vint vers moi , m’embrassa sur le front et me dit ces quelques paroles qui restèrent gravées dans ma mémoire « Je peux t’avouer, Boubekeur , que ce que tu viens de faire , moi Benbadis ne me sens pas capable de faire aussi bien à cet âge-là ». Le grand poète Laid Al Khalifa , présent dans la salle improvisa à ce moment là un poème de louanges à mon encontre
Hadj Mecheri Aouissi
Hadj Mecheri Aouissi était professeur de droit musulman de longues années durant à la médersa de Tlemcen, à Ettaâlybia (Alger), au lycée franco-musulman de Ben Aknoun (actuel Amara Rachid) et aux Facs d'Alger pour devenir ensuite Conseiller Spécial au Ministère de la Justice.
Hadj Mechri Aouissi a été l'un des membres fondateurs du Mouloudia Club d'Algérie (M.C.A). J'ai assisté à Alger au mariage religieux d'un ami laghouati sous l'égide de Si Hadj Mechri Aouissi et j'eus l'honneur d'échanger quelques mots avec lui, sa simplicité m'enhardissant
La Médersa de Laghouat
L'ancienne Médersa de Laghouat fut bâtie
grâce aux dons de la population
et était le signe de la résistance à l'occupant .
La pose de la première pierre l'a été le 8 Mai 1945
après le prononcé de ces motsبسم الله وعلى بركة الله
et ses enseigants
des nationalistes convaincusCorps enseignant de la Medersa de Laghouat avec quelques mecènes de la ville.
Une classe de la Medersa de 1952 avec cheikh Atallah KAZOUAI
Anecdote:
Ouléma de la Médersa de Laghouat.
Ce qu'ils dirent à leur élève Ahmed Hebboul, mon frère, Lah Errahma: Elève à la Medersa de Laghouat, il voulut rejoindre le maquis et ses Enseignants l'en dissuadèrent "les combattants, nous n'en manquons pas, c'est de gens instruits pour l'édification du pays post-indépendance dont nous aurons besoin " Le FLN l'envoya ensuite en Tunisie pour poursuivre ses études et les terminer en l'Université de Pavia en Italie.Les Chouyoukhs de la Médersa de Laghouat, eux étaient du combat libérateur et gloire à eux et à leurs, nos, Chouhada...
Les Chouyoukh de la Médersa furent arrêtés dans la nuit du 15 aout 1958
et toutes les personnes qui avaient été prises ce jour là devaient être
exécutées sans jugement. Si Ahmed Chatta et Si Attalah Choul le furent
quelques jours après leur arrestation. Cheikh El Hocine a raconté qu’après
les séances quotidiennes de torture, on adopta une autre méthode
encore plus barbare :on sortait les prisonniers loin de Laghouat et on leur
ordonnait de creuser leurs tombes, une fois celles-ci creusées on leur prescrivait de les combler et le même scénario se répètait le lendemain.
Ainsi, chaque matin les prisonniers croyaient que c'était leur dernier jour.
Quoi de plus terrible que de vivre ce scénario quotidiennement ?
Gloire à Eux !
LaghouatTon charme m'appelle et m'entraîne
A écrire ce poème.
Que je dédie aux laghouatis restés dans leur arène.
Penché sur un rocher, face au sud saharien,
Il y a un fort qu'on appelait Bouscarin,
Du haut duquel on veillait sur nomades et citadins,
Sillonnant routes et chemins.
Dans ce fort je suis né,
A cet endroit, Dieu m'a donné,
Une mission à remplir selon sa volonté,
Dans un monde bien perturbé.
Durant des années, ce fort fut hôpital,
Où on combattait le mal :
Trachome, variole ou maladies semblables,
Les médicaments faisaient son arsenal.
Sous l'ombre de ces palmiers,
Toute une ville vous accueillait,
ses enfants vous souriaient,
De la porte d'Aain-Madhi à la porte d'Alger.
Derrière ses remparts de pierres rougies
Par un brûlant soleil qui vous éblouit
S'associe le blanc d'un minaret qui surgit,
Et dans le bleu du ciel un croissant vous sourit.
Sur ce même rocher se dressait
Cette majestueuse mosquée
Où le vendredi se rassemblait
Pour la prière, les humbles et les notabilités.
Le jour, la nuit, dans cette oasis, j'étais roi
Le soir, du haut de la colline j'entendais la hadra
De ces hommes qui chantaient avec foi
Cet hymne de la joie.
Abdallah Ben Keriou, ce poète du pays
A su exploser les cœurs et les esprits
Pour mieux comprendre ce qui conduit
A mieux connaître cette oasis qui séduit.
Clair de lune se reflétant sur l'Oued M'zi,
Au loin dans les dunes le chant de nos cricri,
Ces fraîches soirées qui suscitent l'envie
Du plaisir d'en savourer toute une nuit.
Dans les profondeurs des roches du Dahraoui,
Jea Danflous entreprit
Cet exploit sans répit
A capter l'eau de la vie,
Les daïas sont alors fertilisées
De cette eau vive canalisée
Par des seguias qui traversaient
Laghouat sous des yeux émerveillés.
Pour ces sahariens, c'est l'eau de l'ardeur,
L'amour d'un jardin de fleurs,
C'est aussi toutes les couleurs
D'une ville dans son bonheur.
Jour de marché, c'est un monde grouillant
De conteurs, de charmeurs de serpents
Un folklore que seuls les habitants
Savent animer en tout temps.
Autour d'une flûte, on chante,
D'un tam-tam on danse
Dans une folle ambiance
Avec toutes les convenances.
Place des oliviers, lieu rêvé
Pour les marchands d'agrumes et de beignets
Présentant avec l'art qu'on leur connaît
Les produits du pays, leur grande fierté.
Avec les galèbes, les hommes bâtissent les maisons
Les femmes tirent la laine des toisons,
Chacun à sa façon
Pour assurer leur vie, apporte sa contribution.
Ces maisons que les hommes bâtissent
Charme de la ville sur lesquelles on hisse
L'oriflamme qui appelle les touristes
A visiter avec guide à leur service.
On y voit aussi ces tapis que les femmes tissent
Aux mille couleurs d'un feu d'artifice
Avec ce goût et le soin de l'artiste
Dont seul l'art est complice.
De ces maisons se dégage une odeur d'encens
Qui attire comme dans les temples d'orient
Pour découvrir un peuple généreux, épatant
Qui fait de vous des amis pour longtemps
Honneur à Ben Gueddouda la bâtisseur,
Senouci l'entrepreneurBoukamel le transporteur
Zouba l'administrateur.Honneur aussi à Dhina l'institeur,
Kada le facteur,A Brahim le coiffeur, Boudor le restaurateur,
Trait d'union dans l'hnneur
Des habitants pour leur bonheur.
Il y a aussi Mohamed Larbi Khenifer,
Cet homme robuste comme un rocher de fer,
Une vie entre briques, chaux et plâtrière,
Pieds et mains dans un argile de lumière.
Tête haute, il était fier
D'appartenir à cette race de Khenifer,
L'œil vif, l'esprit lucide, débonnaire,
Mais quel homme de caractère ?
Ses enfants sont mes frères
Par le lait tété aux seins de nos mères
Echange de procédés sans manière
Dont je suis très fier.
Son fils est un digne successeur,
Il est mon frère dans l'honneur
Comme ce grand baroudeur,
Il sut faire face à ses détracteurs.
Hommage à son épouse qui dans sa maison
Malgré les soucis des mauvais moments
Et cela sans affolement
Veillant sur la vie de ses enfants
Heureux ceux qui connurent ce temps
De confiance et d'affection
Réunissant toutes les conditions
D'une assurance sur l'UNION.
Dans leur fief, installés et avertis,
Les Ben Salem Cheikh Ali savaient régler les ennuis
De ce qui forme ce peuple Laghouat
Poète, sensible, généreux affranchi.
Quant les fêtes religieuses sont là,
Elles sont célébrées avec foi.
L'Aid-Seguir, fin de ramadhan,
Annoncé par ce filet d'argent
A peine visible au firmament
Et c'est l'enthousiasme éclatant.
Avec le printemps, c'est la fête de l'union,
Qui n'est pas présent
Pour jouir de ces bons moments
De cette grande fraternisation,
Pour tous, c'est la fête
Avec tambours et trompettes,
Des you-yous de nailas coquettes,
Juchées sur des bassours en tête.
Avec les larbâa, les Makhloufias
Assurent les fantasias
Ces cavaliers à la rouge chéchia
Crânement voltigent avec éclat.
Ces cavaliers aux gestes harmonieux
Montant des chevaux majestueux
Ne sont ni pitres, ni gueux,
Mais des nobles au cœur chaleureux.
Le folklore, c'est aussi Djérina
Avec ses brochettes de Kercha,
C'est p'tit frère et ses beignets,
Djeridi et ses champignons rosés
Ben Naceur le roi du baquet
Ben Halima à son mortier de café.
Ali, le porteur d'eau,
Lakhdar et ses escargots,
Zohra ben alia et ses chapeaux
Messaouda et ses ragots.
Et aussi les courses de bicyclette,
De la route du point jusqu'au schttet,
En passant par nos sablettes
Pour le honneurs sur la carpette.
Des champions, avec Benamar Hamida,Bachir Cherif et Bachir Tayoussa,
Sans oublier Ben Yahia Gueddouda,Du vélo, ils étaient rois.
A ce folklore s'ajoutait Celui de Salomon qui faisait défiler
Ses Citroën sous des regards émerveillés
Devant cette belle porte d'Alger.
Toi, Atallah Soufari,Tu comptais parmi les bons amis
Avec Amar et Mohamed Souffi
Pour jouer les Antars, une équipe réussie.
Et toi, Cherif Ouazen Hamida
De cette mystérieuse rue des seguias,
Des amis du quartier, tu étais le plus droit,
Ce qui te conférait le titre de Sidna.
Tu étais pour moi, ce frère, dans les cas
Ou chacun de nos pas
Nous amenait au feu de joie
De l'amitié dans la foi.
Devant l'église sur l'escalier,
Sur un pan du rocher de la grande mosquée,
Ou face à la synagogue, sous l'ombre des oliviers,
Nous nous retrouvions pour une histoire à raconter.
Comme dans ce petit monde de Don Camillo
Longuement on discutait à propos
Du dernier film, d'une histoire de Zorro,
Des derniers exploits de Zig et puce, genre Piniccio.
Rien ne semblait nous séparer
Même si notre avenir nous préparait
A prendre des responsabilités
En dehors du pays où nous sommes nés.
Et pourtant c'est la dure réalité,
Enfant, nous ne pouvions le penser
Qu'un jour, nous serions séparés,
L'histoire serait longue à raconter.
Vous tous, amis et frères de mes jeunes années,
Dans ce Laghouat, ensemble sur ces sentiers,
Nous avons construit le phare qui doit nous éclairer
Le chemin de la maison pour nous retrouver.
Pour moi Laghouat ce n'est pas terminé,
C'est dans cette ville que ma vie fut marquée
Pour davantage l'aimer
Et lui rendre l'hommage mérité.Marital TRO,Le 21 Mars 1979
__________________________________Le coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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Par gadames le 28 Décembre 2017 à 15:06
Au bout d'une amitié de toujours mon ami Ahmed, cet anesthésiste de talent s'en est allé au Paradis me laissant en peine الله يرحمه و يغفر له و يسكنه فسيح جنانه كان رجل طيب Rabi Yerhmou,Yeghferlou W Ywéssa3 3lihe, Inchallah
Anecdote publiée de son vivant :
-
Histoire vraie
Pour une fois, il nous invita
avec deux ou trois copains à un thé qu'il nous
apporta non loin de chez lui à la Pointe des Blagueurs,
une placette de Miliana qui domine la plaine du Cheliff
avec vues magnifiques, cernée par un rempart
de pierres de tailles qui arrivent à ...la taille.Il déposa donc le plateau de thé sur le rempart.
Les verres avec sous-tasses avaient une anse
et sur le ton de la plaisanterie je lui dis
- Oh, qu'ils sont beaux !
Il voulut appuyer mon compliment avec un air
de suffisance en ajoutant :
- Et incassables !
- Ah, bon ?
Je me devais de tester ses dires et confirmer
cette rare qualité du verre et pris un premier
verre pour le jeter sur le dessus du rempart.
Bien sûr, il vola en éclats.
- Peut-être que ce verre a un défaut, lui dis-je en
prenant un deuxième pour refaire le même test.
Et en il résulta le même dégât, que d'éclats !
Vous imaginez la colère de mon ami en rentrant
à la maison suite à ce désastre et surtout comment
devra-t-il l'expliquer à la maitresse de maison !
Il jura que plus jamais il n'inviterait personne alors
qu'il en était à sa première générosité !
Bien sûr, le soir même j'achetais un beau service à
thé que je lui offris ce qui atténua son courroux et
calma la colère de son Ministre de l'Intérieur.
Adieu l'ami !
Autre anecdote le concernant :
Mon ami, après avoir raccroché ses crampons de foot-ball, voulut rester dans le même domaine et se consacrer à l'arbitrage au foot-ball où il avait excellé. Il jouait à l'époque au centre de la défense du SC MILIANA - arrière central alors - et avait une renommée régionale tant il "éteignait" son adversaire direct.
Etant encore nouveau dans l'arbitrage, on lui confiait la direction de petites équipes et il officiait dans les environs de MILIANA. Et c'est ainsi qu'il fut amené à arbitrer une rencontre au stade de KHEMIS-MILIANA qui se jouait en ouverture d'un match de plus haut niveau opposant l'équipe locale (SKAF) à une formation d'Alger.
C'est dans un stade plein comme un oeuf que la partie débuta. A un moment donné, mon ami, donc Mr l'Arbitre, voulant faire une remontrance à l'un des joueurs, lui intima l'ordre d'un geste menaçant, de venir vers lui. Craignant, je ne sais quoi, ce joueur détala à toute vitesse s'éloignant d'un danger imminent.
Et c'est alors que Mr l'Arbitre, oubliant que souvent se sont les joueurs qui lui courrent derrière pour l'agresser en contestation d'une décision qu'ils jugent en leur défaveur, Mr l'Arbitre donc, se mit à courir derrière le fuyard ! Et ils firent ainsi deux tours de stade l'un essayant de rattrapper l'autre, jusqu'à ce que les autres joueurs s'interposent pour mettre fin à cette course-poursuite...et aux rires des spectateurs !
Cette anecdote nous fit bien rire lorsque je la racontais à un autre ami commun, lui aussi footballeur à TENES et Secrétaire Général de la commune de Ténès.Il me gratifia à son tour d'une histoire qui s'est passée sur le même stade de KHEMIS-MILIANA opposant TENES au SKAF local.
Auparavant, il me rappela la légende, connue dans la région et spécialement à Miliana, celle de Sidi Ahmed Benyoucef, Saint Patron de MILIANA. Invité à TENES, ses hôtes voulurent tester son pouvoir surnaturel et ce fut avec de la viande de chat qu'ils garnirent le couscous de leur invité. En se mettant à table, Sidi Ahmed Benyoucef s'en apperçut. Il dit "Essab" (manière de chasser le chat) et le chat détala de dessus le couscous...
L'arbitre allait donc siffler le début de la rencontre SKAF - TENES lorsque, pour destabiliser l'équipe de TENES, un grand nombre de chats furent lâchés en plein terrain de jeu par les supporters du SKAF.
Et de voir Mohamed et ses coéquipiers courir derrière eux pour les chasser hors du terrain...
ESSAB, essab, ESSAB, essab.....
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Par gadames le 25 Décembre 2017 à 09:43
Mes Meilleurs Souhaits pour l'Année 2018
et les suivantes Inchâ Allah.
J'ai consulté ce gazzane, liseur sur le sable,
pour chacun d'entre vous
et il m'a assuré que 2018
sera pour nous tous pleine
de bonheur, de santé, de joies.
Il a toujours dit vrai...Que tous retrouvons le sourire
J'ai trouvé:
- un électricien pour rétablir le courant entre les gens qui ne se parlent plus,
- un opticien pour changer le regard des uns vis-à-vis des autres,
- un artiste pour dessiner un sourire sur tous les visages.
- un maçon pour bâtir la paix,
- et enfin un professeur de maths pour ré-apprendre à compter les uns sur les autres.Que ce coeur de galet attendri contagie ses semblables
à devenir Rose des Sables
et sautiller de bonheur
Que ces enfants gardent pour toujours leur Innocence
Que Dieu nous donne Santé, Bonheur et Paix
Et que votre année ne soit que douceurs et melfoufsans oublier notre bon plat nationalAmine Ya Rab El Aalaminele coeur perçoit ce que l'oeil ne voit pas
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Par gadames le 24 Décembre 2017 à 13:33
Dieu préservez le plus longtemps possible nos vies
avant que de rejoindre la demeure de notre éternitéParents et Dirigeants joignent leurs prières pour ces jeunes qui reposent au cimetère de Sidi Braham
Les trois jeunes cyclistes du Vélo Club de Miliana,
victimes d’un accident de la route durant un entrainement, vendredi 1er février 2013.
A Dieu nous appartenons, à Lui nous retournons...Mohamed Landjerit : salut khaled! essem houlna ya h babha si je puis me permettre de preciser que la ville de miliana est l'une des rares en Algérie a avoir un cimetiere par grand quartier . Ainsi sidi bouziane est le cimetière de tous les habitants de chergue et hamama , sidi braham pour anasseur ET MILIANA VILLE, sidi sbaâ pour zougala et ain berkouk , mekbarat bni mzab au nord et kdiet et gharib pour ceux et celles qui ont elus domicile recemmment ou du moins en début du 20 siècle ( ne voyons aucune discimination , rejet ou marginalisation des nouveaux habitants ), ainsi cette disposition semblait satisfaire tout le monde . Depuis et à ce jour les plus vieux habitants residants a oued rehane par exemple ne se formalisent point par le fait qu'ils enterrent leurs morts a kdiet el ghrab ( qui entre-nous n a rien a voir avec cet oiseau de mauvaise augure qu'est ce brave corbeau ) allez ! bonne journee a tous et a toutes .
J'ajoute :
Il y a aussi les cimetières de
- Oued Réhane vers Ben Allel
- des Barça, je crois au bas
- de celui des EuropéensColonel M'Hamed Bougara à gauche - Capitaine Tahar Bouchareb
à droite qui, blessé, a séjourné en l'infirmerie de l'ALN
du Zaccar juste au dessus de MilianaA un intime ami de mon père, père de Chahid,
le Capitaine Bouchareb Tahar, déserteur du Lycée de Médéa
que j'ai retrouvé après recherches enterré à Ain-Defla, j'avais proposé de le tranférer vers Laghouat, sa ville de naissance, m'avait répondu :
"Laissons-le reposer là où il est,
"Gaâ Ardh Allah Tarham" - Toute Terre de Dieu est accueillante
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